L’agressivité appartenait aux chasseurs, se disait Homère. Elle n’était pas l’apanage de ceux qui se nourrissaient de charogne et n’éprouvaient pas la nécessité de tuer. Tout ce qui est vivant meurt naturellement un jour ou l’autre. Tout, par la force des choses, était condamné à devenir leur pitance. Ce n’était qu’une question de temps et de patience.