[…L]es désirs, les peurs et les ambitions des hommes sont les mêmes dans le monde entier. L’histoire de l’humanité est l’histoire de ses peurs. Mais les mythes pour les définir, les nommer et tenter de les contrôler sont différents. Je crois à l’intuition. Je crois à la façon naturelle avec laquelle notre esprit primitif établit des liens instinctifs, peut-être pas tellement logiques, mais terriblement pratiques pour la survie. (p. 517)