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3.88/5 (sur 55 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Flumet, Savoie , le 08/11/1915
Mort(e) à : Aoste, France , le 08/11/2009
Biographie :

Dominique Arly, de son vrai nom Constant Pettex, est un écrivain.

Sous les pseudonymes Dominique Égleton et Dominique Égly, il publie de la littérature d'enfance et de jeunesse et de la littérature érotique.

Il gagne à huit ans un concours de poésie organisé par Franc-Nohain dans L'Écho de Paris. Puis, il rédige sa rédaction du certificat d'études primaires en vers, obtient la note maximale de 10 sur 10 et reçoit un prix spécial de l'inspection académique.

En 1935, il publie un essai, intitulé "Je veux vivre", signé Dominique Égleton. Il suit les cours de l'école normale primaire et devient instituteur, avant d'être nommé directeur d'école. De 1948 à 1980, il collabore au quotidien "Le Progrès".

Sous le pseudonyme de Dominique Égleton, il publie en 1946 deux romans, "Les feuilles du matin" et "Neige", puis plusieurs ouvrages pour l'enfance et la jeunesse.

En 1964, il interview Frédéric Dard qui lui conseille de se lancer dans le roman policier. En 1966, sous le pseudonyme de Dominique Arly, il publie "Les Revenantes" dans la collection "Angoisse" du Fleuve noir.

Il devient un des piliers de cette maison d'édition en y faisant paraître dix-neuf romans dans la collection "Angoisse" et quarante-cinq dans la collection "Spécial Police", dont "Meurtre en Eurovision", inaugure la série en 1966 .

De 1980 à 1985, il publie treize romans érotiques signés Dominique Égly.

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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
la conscience ne peut être tranquille que si les péchés sont éloignés de son regard.
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Il a voulu, en outre, que j'écrive le présent prologue.
Je crois qu'il projette d'offrir des exemplaires de ce qu'il sera convenu d'appeler un roman, aux amies et amis qui viendront en week-end dans sa résidence de Dolgelley.
Ainsi, les soirs d'orage, si ses invités s'ennuient, ils disposeront d'un peu de lecture. Il serait peut-être bon, cependant, de déconseiller ce roman aux personnes trop impressionnables, qui l'emporteraient au lit, alors qu'elles s'y trouvent seules...

Page 23
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4ème de couverture :

Faut pas me prendre pour un cave. Le suicide maison, avec moi ça ne marche pas. Et vous, ne faites pas semblant d'y croire.
Les poignets tailladés, c'est la manière de trucider les gens, dans la famille. Il y a eu Angèle, la grand-mère, ma mère. Pour chacune d'elles on a prétendu qu'elles étaient mortes d'une hémorragie. Une hémorragie de bonne femme. La version officielle, avec la complicité d'un toubib pourri.
En réalité, elles ont été assassinées. Parce qu'elles déplaisaient, ou pour les punir. Les saigneurs du château les avaient condamnées.
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Tout à coup, il y eut, quelque part, un nouveau craquement. Il provenait, à n'en pas douter, du coté de la fenêtre. Comme si l'on avait secoué un volet...Le vent, c'était certainement le vent.
Et puis, je me retins de crier : le bruit s'était encore produit et ce n'était pas le vent. Il y avait eu comme un raclement avant que le volet ne fut ébranlé.
Quelqu'un devait essayer d'atteindre l'un des crochets, entre les lamelles du volet.
Terrorisée, je m'étais assise dans mon lit. L'esprit encore obscurci par le sommeil, et je restais là, paralysée, alors que j'aurais dût m'enfuir. De ma gorge, un cri étranglé monta, se dégagea, éraillé, pitoyable.
Au secours !
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Contrairement à ce que des profanes pourraient supposer, il y a des flics qui supportent mal la vue d'un cadavre. C'était le cas de l'inspecteur Lherminet.
On s'en était aperçu deux ans plus tôt, par un triste soir d'automne où un épais brouillard descendait sur la ville. On avait reçu un appel téléphonique au commissariat, en provenance d'un café de la rue Saint-Robert, dans le Vieux Montferrand. Le bistroquet prévenait la police au nom de plusieurs bonnes femmes de la rue de la Poterne.
- Faut envoyer quelqu'un. Elles ont entendus un sacré boucan dans un taudis habité par des Algériens. Des grands hurlements. Puis un mec est sorti en courant...
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4 ème de couverture :
Un canton rural comme tant d'autres . Quelques voyous commettent des méfaits , en dépit du zèle des gendarmes dont le chef fait preuve de beaucoup d'opiniâtreté . Ses collègues de la section de recherches également .
Et voilà que , près du chef- lieu , on découvre un cadavre féminin brûlé , défiguré , méconnaissable .
Une identification difficile puis la patiente recherche de l'assassin de piste en piste , de la Haute-Saône à Lyon et à Paris .
Une enquête de gendarmerie comme si vous y étiez , criante de vraisemblance dans ses moindres détails .
avec , pour finir , une surprise de taille .

****************************************************
Dans le petit village habituellement assez tranquille de Faucogney en Hte - Saône , malgré quelques petits délinquants habituels , 2 personnes âgés ont été agressées pour donner leur magot...
Cerise sur la gâteau on découvre le cadavre d'une femme à moitié brulé...
La gendarmerie va avoir une enquête difficile à mener en remontant toutes les pistes disponibles .
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Ces sales bohémiens, pourquoi est-ce qu’on les laisse entrer en France ? Chacun sait qu’ils se nourrissent en chapardant dans les vergers, les champs, les clapiers et les basses-cours. Rien que pour ça déjà, on devrait les refouler aux frontières. Mais on les laisse vagabonder Alors ils s’attaquent aux gens.
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- Pardonnez-moi. Vous ne m'avez encore pas entendue arriver. Voici des livres.
Elle en apportait une dizaine. Je la remerciai, mais je ne me déplaçai pas. Je me trouvais devant l'évier et j'achevais de laver un peu de vaisselle.
Quand je fus seule, j'examinai les titres et je fus plongée, une fois de plus, dans une grande perplexité. Il s'agissait de romans policiers ou d'espionnage, ou d'anticipation. Je m'attendais à des classiques ou à des romans d'amour. Certes on peut aimer la littérature d'action à tout âge, mais le personnage de Mrs Potter s'accordait mal avec ses lectures.
Ou alors, il fallait soupçonner que Mrs Potter n'avait que l'aspect extérieur d'une vieille dame avenante et bonasse.
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Je ne me suis jamais pointé nulle part à l’instant précis où un assassin était en action. Ni d’ailleurs un voleur. Dans la vie, ce n’est pas comme au cinéma, on ne nous appelle qu’après. Mes seuls flagrants délits, c’était des constats d’adultère… Et encore…
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Des indices qui mènent tout droit aux coupables, c’est extrêmement rare, croyez-moi. A moins que l’on ait affaire à des maladroits, ou à des amateurs qui aient perdu la tête.
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