Nous sommes venus dans ce pays que nous ne comprenions pas, sur ce continent dont la culture nous échappe, sans rien connaître de sa philosophie, de son histoire. La seule chose qui nous importait était de mater et les communistes par la force, de leur montrer que nous étions les maîtres du monde. Et puis, nous avons donner libre cours à la violence. C'est notre haine qui s'est exprimé, ce sont les armes qui ont parlé. À partir de cet instant, tout a changé. Notre rapport à l'autre est devenu différent.
Nous avions agi de la sorte avec les Indiens en siècles plutôt. Nous pouvions recommencer avec les Vietnamiens.