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Critiques de Dominique Rolin (17)
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L'enragé

Dominique Rolin commence son livre en nous présentant Pieter Breughel sur son lit de mort. Et, c’est à travers le regard de Breughel agonisant que nous faisons sa connaissance. Il ne sera pas tendre avec lui et nous permettra de connaitre ses amours, ses états d’âme et ainsi la genèse de certains de ses tableaux comme par exemple "le dénombrement de Bethléem", "la chute d'Icare" ou encore "la pie sur le gibet" . Nous n’avons en revanche , aucune indications sur la peinture en elle-même, sur la technique, sur les pigments, le choix des couleurs etc. C’est dommage, c’est toujours intéressant.

J’ai eu un peu de mal à entrer dans ce livre qui n’est pas très facile d’accès. Est-ce qu’il devient plus facile au cours des pages, ou est-ce que l’on se laisse emporter par sa vie ? je ne sais pas, toujours est-il qu’au final je l’ai vraiment apprécié !

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Journal amoureux

La narratrice est une femme d'environ 45 ans au début de cet ouvrage, veuve de son premier mari, auteure et qui s'est mis en ménage avec un jeune auteur de 24 ans son cadet. Evidemment, cela fait un peu scandale autour d'elle mais celle-ci reste indifférente. Elle en vient même à quitter sa demeure pour habiter dans un modeste appartement à Paris. Les journées de cet homme et de cette femme se ressemblent et pourtant, ne sont jamais les mêmes. Souvent en voyage pour faire la promotion de ses ouvrage, lui est allé un peu partout dans le monde tandis qu'elle, reste souvent à Paris mais quand ils sont ensemble, ils écrivent et n'ont pas forcément besoin de mots pour se dire ce su'ils ressentent. La narratrice est émerveillée par la beauté de la vie, les oiseux, la musique et tous les petits plaisirs.



Un livre qui par moments, ressemble plus à de la poésie qu'à un roman, ce qui m'a un peu déconcerté et qui, malgré une écriture raffinée et soignée, ne m'a pas enchantée. A découvrir !
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L'enragé

Prevoyant une semaine à Bruxelles prochainement et dans le désir de ne pas me contenter d'admirer l'anatomie du Mannekenpis, je suis partie à la découverte de Brueghel sous la plume de D.Rolin. Double très belle découverte:celle de la vie du peintre et celle de l'auteure.La postface du roman est enrichissante et vient confirmer que les éléments du récit reposent sur un sérieux travail historique ce qui m'était indispensable au vue de l'objectif de mieux comprendre les tableaux que je contemplerai !

Plus que la technique du peintre c'est à sa vie que nous accédons et même surtout à sa vie intérieure.

Depuis son enfance jusqu'à sa mort,Brueghel sera galvanisé par la souffrance, qu'elle soit physique ou psychique.Très vite, il va obtenir la certitude que sa voie est celle du dessin(puis de la peinture) et que sa souffrance,comme celle du monde sera l'énergie de sa créativité.Le rejet vêcu dans son enfance semble à l'origine de sa personnalité pas franchement sympathique de part son côté égocentré, mais passionnante par sa complexité.Il veut maîtriser,decider, n'en faire qu'à son idée comme si c'était le seul moyen de devenir acteur plutôt que victime de la mise à l'écart et de la brutalité du monde,y compris celle de l'oppresseurdu pays,les espagnols.Pourtant cette mise à l'écart dont il a été l'objet enfant ne résume pas son parcours.Contrairement à de nombreux artistes,il sera vite protégé et soutenu,intégré au monde bourgeois;mais ni cette reconnaissance ni l'amour ne suffiront à le réconcilier avec les hommes.La mort et la souffrance sont omni présentes dans ses oeuvres ainsi que la folie qui le révulse autant qu'elle l'attire.Il est un fervent admirateur de Jérôme Bosch dont la peinture traduit cette folie des hommes mais aussi l'enfer qu'ils portent en eux.Brueghel fonctionne par binôme: mort/création; reel/folie; désir/sanction;vérité/mensonge.

A travers la vie de cet illustre flamand, D.Rolin nous permet d'autres rencontres artistiques:les Coecker,Martin De Vos, les peintres italiens...mais ce qui a été pour moi un plus indéniable c'est son analyse psychologique du peintre et la fresque, j'ai envie de dire "le tableau" historique qui accompagne le portrait.

Très belle lecture que je recommande.
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Journal amoureux

J'ai mis sur mes rayons "Babélio", "Passion fixe" de Sollers et "Journal amoureux" de Dominique Rolin parce que ce n'est plus un secret que le Jim de Rolin et la Dora de Sollers sont le même amour.
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Le gâteau des morts

En 1982, Dominique Rollin imagine sa propre mort, le 5 août 2000. son agonie commencera. Cette agonie, si elle atteint par instant à l'insupportable, n'est nullement un lamento. L'auteur passe outre à tous les tabous qui tendent à nous voiler notre propre mort. Face à la mort, la romancière développe toute sa pugnacité. Mourante, elle s'écrit sans cesse, se recréant par le pouvoir des mots. Ce récit de mort est aussi une histoire d'amour, l'amour de Jim, le compagnon de toujours. Le style, mouvant, agile, heurté ou méthodique fait de cette longue méditation sur la mort une aventure exaltante.
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La Rénovation

Dominique Rolin est une femme écrivain déjà de plain-pied dans la vieillesse et les souvenirs, lorsque son cadre de vie, son intimité, sa tranquillité sont gravement attaqués par un programme de travaux dans son immeuble. Un cortège de personnages fait également irruption dans son quotidien, venant visiter son appartement, tester ses intentions, la convaincre d'acheter, ou encore de laisser la place à de nouveaux occupants. D.Rolin découvre alors que rien n'est pérenne, que sa vie écoulée entre ces murs anciens ne pèse rien devant un programme immobilier et les plans de revente à la découpe. Elle va supporter toutes les nuisances, stoïquement d'abord, puis à son tour elle en fait un enjeu. Rester, et écrire l'expérience qui la replonge dans un présent et un avenir.

Paradoxalement, elle reprend pied au fur et à mesure que, volontairement ou non, les différents acteurs de la rénovation déstabilisent son existence. Elle sort de ces mois d'épreuve victorieuse et comme rénovée elle-même.

Ce petit livre est le récit de cette lutte personnelle, absurde peut être, mais courageuse , humaine et tenace. Une illustration des rapports de l'individu et de ce qu'une autre écrivain(e) de talent dénommait: l'horreur économique.
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Journal amoureux

Petit texte de 140 pages, déroutant par rapport à mes lectures habituelles.

Je l'ai trouvé exigeant, poétique, parfois décousu ... j'ai pourtant pris beaucoup de plaisir à le lire et surtout j'ai envie d'en savoir plus sur l'autrice, sur qui est "Jim" l'amoureux de son journal.

Livre trouvé dans une boîte à livres, à Vezoul ... je n'avais pas de connexion internet durant ma lecture donc j'ai effectué les recherches une fois rentrée à la maison. Et il y a sur le net de quoi apprendre à connaître l'autrice et Philippe Sollers ... Cela me promet de beaux moments d'écoute radiophonique (via podcasts évidemment) et sans aucun doute d'autres lectures d'elle, et de lui ...
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Le souffle

Le père se meurt dans la grande maison près du cimetière ; dans celle-ci vivent encore ses 5 enfants. Parmi eux il y a Simplice qui fait des bébés et qui part avec son dragueur de mari musicien s'installer en ville, Laure, l'ainée, célibataire malgré sa beauté, comme obligée par ses responsabilités, Valentin, le jumeau dont le frère est mort et qui s'entiche de poules qui se moquent de lui, Lilou puis Norine qui le poussera à l'irréparable, Jérome qui se marie avec une paysanne et part cultiver sa terre et enfin Olympe, la plus jeune, pleine de rêve et d'amour, la seule qui semble un peu heureuse et fraîche, mais ça n'est pas si sûr. Dominique Rollin dresse un portrait et une intrigue, car c'est un drâme qui se noue, qui est magnifique et qui prend de la première à la dernière ligne. Elle se meut dans les affres, les mesquineries et les petits bonheurs du quotidien en terrain connu et avec maîtrise et panache. Un grand moment de littérature.
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Journal amoureux

Écriture d’une grande énergie fluide qui m’a donné à expérimenter une lecture concentrée et rapide. Comme si le style était travaillé moins pour produire de petites trouvailles sous formes de belles formules comme des bijoux, que pour que le texte complet, relativement court, apparaisse ainsi, vif, éclatant, dynamisant. Mais pas le dynamisant forcé des livres de développement personnel! Un dynamisant allant chercher dans les vibrations de jouissance de vie, douce, qui n’épuise pas la source; la révèle au contraire.

Le style est soutenu par le personnage de Jim, vif, vivant, insaisissable mais présent, attentionné, d’une attention qui porte la narratrice à se laisser travailler pour que parte enfin les scories de ses démons intérieurs, ramenés au final à de l’évanescent laissant place à la vie nouvelle.

J’ai commencé L’amant de Duras et m’aperçois que cette qualité d’écriture simple et vibrante existe ailleurs et différemment, que chez Sollers et Rolin. Rolin comme tremplin vers la bibliothèque entière après les découvertes de Sollers!
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Lettres à Philippe Sollers 1958-1980

Sa correspondance avec Philippe Sollers nous révèle un amour hors du commun. De la pure littérature.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Moi qui ne suis qu'amour

La critique n'est pas mon fort...

La lecture est belle, le texte est quelquefois surement osé pour l'époque. J'ai apprécié le livre.
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Plaisirs : Entretiens avec Patricia Boyer d..

Entretiens publiés en 2002, Dominique Rolin a alors 89 ans. L'auteure fait un peu le bilan de ce sa vie et de ce qu'elle aime. Elle évoque son enfance et son parcours,, tout ce qu'elle aime dans la vie, sa passion pour l'écriture, sa vie affective avec les hommes de sa vie.

Elle épouse Hubert MOTTART en 1937 dont naît une fille Christine, elle aimera Robert DENOËL (1902-1945) éditeur mort assassiné, Bernard MILLERET (1904-1957) sculpteur mort également prématurément, et surtout l'incontournable et vénéré Philippe SOLLERS (1936-), dont il est beaucoup question.



Les titres de chapitres résument à peu près les thèmes abordés :

Je doute de moi-même ; La chance ; Je suis double ; La Belgique ; J'aime rire ; Ma maladresse ; Les visages ; Des apparences ; Lady mémoire ; Les rêves ; Mon oeil : Breughel, Vermeer, Rembrandt ; De la musique ; Silence ; Venise ; Les miroirs ; Chansons ; La gourmandise ; La télévision ; D'une révélation ; L'amour.



L'écriture avant tout, une grande rigueur dans le travail, une solitude assumée, trois hommes profondément aimés dont le Dieu SOLLERS, la curiosité omniprésente et l'oeil aux aguets de l'écrivain, l'amour de la vie, la simplicité en quelque sorte.

Dominique Rolin m'a donné l'impression d'être une femme simple qui s'est laissée porter par les hasards, les rencontres, qui a suivi sa bonne étoile d'écrivain et s'est accrochée jusqu'au bout à son ancre Philippe SOLLERS pour l'amour, l'écriture, la musique, la culture, l'harmonie dans le silence, la sérénité.

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La Rénovation

Dans l’immeuble où habite Dominique Rolin, on rénove. D’importants travaux de remise en état, davantage dans l’optique d’offrir de la plus-value à un vieil immeuble que d’un souci de bien-être pour ses locataires… qui sont du reste enjoints soit à acheter un morceau du bâtiment ou aller voir ailleurs.

Suit alors des travaux de réfection qui s’étendent sur moins de 150 pages. Mais c’est dans sa tête que Dominique Rolin va effectuer d’importants ravaudages.

On est bien loin du livre truculent de JP Dubois (en chantier monsieur Tanner) où l’auteur - jongleur de mots nous faisait plier de rire lors d’impossibles travaux entrepris par des non-professionnels. Chez Rolin, tout ce passe davantage dans la tête de l’auteure que sur les murs, les cloisons et le toit du bâtiment.

On y croise quelques voisins, pas toujours bien réels. Ainsi ses propres parents vont et viennent alors qu’ils devraient être logiquement morts et enterrés. Une femme à l’embonpoint notable se révèle être sa propre mémoire, lui causant d’importants soucis métaphysiques. Et puis il y a cette déliquescence des murs et des plafonds qui trouve son écho dans l’existence même des personnages. L’idée de la mort n’est pas loin.

Rolin maitrise les mots avec brio et les ajuste dans de courtes phrases, passant sans arrêt du coq à l’âne. On pense à un inventaire (un testament ?), une suite de réflexions sans suite.

C’est justement cette juxtaposition sans queue ni tête (ou apparemment) qui rend un peu pesant cette lecture et bien téméraire celui ou celle qui avalera d’un seul trait ce court roman.

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Trente ans d'amour fou

Qui connaît encore Dominique Rolin aujourd’hui ?… Qui l’a lue ? Qui la lit ?… Moi-même, jusqu’à une époque très récente, je me contentais de quelques portraits photographiques d’une vieille dame à l’élégance d’un autre âge, morte à près de cent ans il y a une dizaine d’années. Et comme bien souvent, ses livres étaient probablement morts avec elle. Ces portraits, ce que je croyais savoir de sa vie me laissaient à penser que ses romans devaient sentir la naphtaline, tout empesés d’un académisme aussi lourd que désuet.

Et puis j’ai lu Trente ans d’amour fou. C’est que j’aime bien les histoires d’amour, les histoires entre écrivains aussi. Et le Jim amplement cité dans ce livre ne serait autre que Philippe Sollers, récemment disparu à son tour - ce qui m’a donné l’envie de me pencher de nouveau sur son travail ces derniers temps, c’est mon côté midinette qui dans doute là-encore s’exprime, mais je m’égare.

Je reviens à Trente ans d’amour fou. Je ne suis pas doué pour susciter le désir de lire un livre, car le plus souvent les livres qui me plaisent profondément me laissent à peu près sans voix. Il m’est donc difficile d’en parler, ou d’écrire à leur sujet. De plus, ils sont fréquemment aux antipodes de ce qui se publie et rencontre du succès aujourd’hui. Alors que dire à propos de Trente ans d’amour fou ?… Qu’il faut passer outre ce titre assez mauvais, qui ne laisse en rien augurer le caractère hautement subversif et aventureux de ce texte.

Une femme y parle. De sa vie présente et de son passé, respectivement rebaptisés le dessus et le dessous. Et entre le dessous et le dessus il y a aussi la vie rêvée - dans l’écriture, mais aussi pendant la nuit quand l’inconscient s’exprime, libre de toutes censures. Et la femme aux tailleurs élégants, âgée de 75 ans au moment où le livre a été publié, évoque ce que c’était que d’être une jeune fille entre deux guerres mondiales. Elle redevient cette apprentie libraire libre et rebelle, perdue aussi entre des mariages ratés et des aventures sexuelles désincarnées, jusqu’à ce que l’écriture prenne le dessus dans sa vie, et qu’elle parvienne à être aimée pour ce qu’elle est (une révoltée, une artiste, un être singulier et profondément décalé des stéréotypes de son temps), et ce qu’elle n’est plus (plus de vingt ans la séparent de son amant, c’est beaucoup, c’est dérangeant, c’est trop beau pour durer et ça dure, pourtant).

Ce livre, c’est un peu une histoire du féminisme au XXe siècle, mais une histoire qui aurait été écrite par une poète de la plus haute lignée.

Il serait dommage et triste d’oublier Dominique Rolin.

Léo Cairn.
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Le futur immédiat

Au soir de sa vie, la romancière Dominique Rolin couche sur le papier son angoisse de la mort.



Mais ce n'est pas pour autant sombre, car elle raconte surtout la façon qu'elle a d'exorciser cette peur, en "tuant le Temps" dans sens qui est l'exact contraire de l'expression commune.



"Tuer le temps", ce n'est pas ici le rendre supportable, c'est l'expulser de son existence, le banir, l'interdire.



Pour cela elle décide de détruire l'échelle du temps et de vivre sa vie comme ce qu'elle est concrètement: une simple succession de "futurs immédiats", ces pensées qui nous viennent en permanence puis disparaissent sans laisser de trace, ce qui vient juste après l'exact maintenant, sans autres considérations ni échéances.



Le texte nous fait vivre cette expérience. C'est la succession de ces "futurs immédiats". Les pensées comme elles viennent. Les actions comme elles en découlent.



Évidemment cela "ne raconte rien" au sens de ce qu'est un récit classique.

Evidemment cela semble décousu au premier abord.



Évidemment l'exercice de style possède un petit côté élitiste germano-pratin qui se regarde écrire.



Cependant, une fois rentré dedans, c'est un très belle hymne à la vie et à ce qu'elle devrait rester: le ici et maintenant en continu, quand "l'avenir" et son souci finissent trop souvent par tout bouffer.
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Le gardien.

Étrange rencontre pour un livre tout aussi étrange.

Je chinais, et la belle couverture du livre me saute aux yeux. Je le prends, juste pour sa couverture donc (Édition 'Le Club de la Femme', tout un programme !), un dessin représentant une grille de château derrière laquelle on voit de grands arbres et une jolie petite chaumière fleurie. Dans cette édition, il y a une interview de l'auteur dans les premières pages. Elle y évoque les maisons de son enfance et la façon dont cela influence puissamment son écriture... Il n'en fallait pas plus pour m'inciter à entrer dans le texte... et à ma grande surprise, je n'ai pas pu lâcher ce roman écrit avec fluidité, au fil de la pensée du narrateur Constant, gardien du domaine de la Reclusière. J'ai adoré la galerie des personnages dépeints, les intuitions de Constant, son dévouement face aux vies et morts qui se succèdent dans une virevolte haletante. La demeure des maîtres et la maison du gardien dialoguent avec ferveur, tantôt absorbés, tantôt triomphants d'un parc à la végétation luxuriante, généreuse mais aussi sauvage et destructrice, à l'image des émotions et aventures que vivent ses habitants. Un roman étonnant, à la croisée des chemins, qui vous embarque dans une course effrénée de souvenirs jusqu'à la dernière phrase.

Bibliothérapie : Pour ceux qui aiment les histoires où les demeures sont de vrais personnages. J'ai rapproché l'ambiance de ce roman avec celle du Grand Meaulnes d'Alain-Fournier, de la Mare au Diable de George Sand, ou encore le Château de Pagnol.
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Lettre à Lise

Ultime message d'une grand-mère à sa petite fille, un prétexte pour souligner le rapport singulier qui les unit. Tout en finesse et tendresse pour évoquer sa vie de femme
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