La poudre blanche avait l’air sans danger, ainsi étalée à l’air libre, mais il s’agissait de la drogue des damnés, de la malédiction de l’humanité. Si l’héroïne a des noms divers – les uns l’appellent « smack », d’autres la « blanche », le « cheval », le « tigre », le « poison » –, elle a toujours le même effet. Pour tous ceux qui en consomment, c’est la mort lente.