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Citations de Dorothée de Monfreid (41)


Moi quand j'ai pas mes 18 heures de sommeil, je suis bon à rien.
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Chat de gouttière, c'est sympa, t'as pas de patron, tu t'organises comme tu veux mais chat domestique c'est quand même mieux pour la retraite.
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J’ai ôté la béquille, pris une grande inspiration et tourné la poignée de l’accélérateur. La moto a fait un bond en avant et je suis partie. 
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Bravo Coco! Elle est magnifique ta maison!
On s'installe dans le lit, on te laisse le tapis!
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Coco fait le portrait de Chacha. [...]
Mais Chacha est déçu.
- Alors comme ça, j'ai le nez vert... et des poils sur les yeux ? Espèce de...
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Si mes parents avaient pu deviner ce que j'allais faire ce jour-là, ils auraient eu une crise cardiaque. (1ère phrase du livre)
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1 grande boîte
2 petits chiens
3 culottes
4 pantalons
5 belles jupes
6 chapeaux
7 copains...
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Hé, les copains !
Regardez mon nouvel appareil photo.
Ouais, trop bien !
Génial !
T'as de la chance.
Tu fais une photo de nous ?
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Papa, apprends-moi à être douée. S’il te plaît.
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"-C'est une balançoire.
- Non, c'est une piscine.
-Mais non, c'est une cabane."
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La prochaine fois, je t'emmène soigner les animaux avec moi. C'est moins dangereux que de te laisser cuisiner tout seul.
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Ils dansent tous les deux un long moment.
Et quand Alice se penche pour déposer un baiser dans le cou de Michel, elle chuchote :
"J'ai deviné à quoi elle sert, ta machine.
C'est une machine à embrasser les garçons."
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-mais Pipo, tu veux quoi? Du saumon ou du tarama?
-Au secours, Attila, j'ai dérapé sur la mozza!
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On m'appelle chienchien, gentil petit toutou, on me trouve très chou, mais moi je m'en vais. J'en ai marre de tout, j'ai presque la rage, alors je m'en vais, je veux devenir sauvage.
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Un, deux et trois cochons, on s'gave, on s'gave, un, deux et trois cochons, on s'gave de saucisson.
Quatre, cinq et six cochons, on râle, on râle, quatre, cinq et six cochons, on râle comme des dindons.
Sept, huit et neuf cochons, on s'crêpe, on s'crêpe, sept, huit et neuf cochons, on se crêp' le chignon.
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"Il est épuisé ton cochon" dit l'âne.
"Pourtant, il est magique", répondit Josette
"Ça n'empêche pas 'être fatigué" insista l'âne.
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J'ai foncé au bureau de Serge Joli et je lui ai expliqué que j'avais découvert un truc incroyable, que plein d'animaux avaient disparu, que j'allais faire une enquête et découvrir ce qui s'était passé, et qu'après, j'allais écrire un super article pour tout raconter. Le rédacteur en chef m'a regardée avec des yeux ronds et puis il a éclaté de rire. "Hahaha, mais tu réinventes la rubrique des chiens écrasés ! C'est ça que tu appelles du journalisme ? ça n'a AUCUN INTÉRÊT. Alors maintenant, ma petite, il va falloir te mettre au travail. Tu as commencé à écrire ? Montre-moi ça." Et il m'a pris mon cahier des mains. (p. 25)
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Je ne devais plus penser qu'à une chose : foncer. Enfin, foncer... façon de parler.
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Ha ces adultes ! pensais-je en m'éloignant du restaurant. Complètement irresponsables. (p. 57)
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A l'intérieur, c'était n'importe quoi. Les gens nageaient entre les tables, escaladaient des meubles pour se mettre au sec ou plongeaient pour récupérer leurs affaires sous l'eau. Les enfants sautaient partout en criant, certains adultes pleurnichaient parce que leur téléphone était fichu, mais dans l'ensemble, ils avaient l'air de bien s'amuser. Les gens ne m'entendaient pas, ils ne me voyaient même pas. Moi, je m'inquiétais pour eux. Que se passerait-il si l'orage revenait ? La situation risquait de dégénérer. C'est alors que j'ai remarqué trois jeunes garçons, bras en l'air, qui cherchaient une prise électrique pour recharger leur téléphones. Ils rigolaient comme des idiots en imaginant les photos qu'ils allaient faire. J'ai crié pour leur dire d'arrêter, que c'était dangereux, mais ils n'entendaient pas, ou alors ils s'en fichaient. (p. 52-53)
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