Considérons que toute chose ici-bas découle de la volonté du ciel.
Dans mon rustique langage, j'ai aligné ce récit tout au long. Puisse-t-il quand même distraire le lecteur, ne fût-ce que le laps d'une veille ou deux !
Un mince croissant de lune, posé en travers du ciel, jetait, par la fenêtre, son regard oblique
Né puis grandi dans la terre des bûcherons,
Préfère connaître les grandes étendues herbeuses.
Plus profonde devint la rêverie de son âme, plus incertaine son attitude, dans le silence figée. Plus sombres devinrent ses traits de fleurs : sa douleur s’épanchent intarissable, ses larmes coulèrent sans arrêt.
Pour la vie, ils gravèrent en eux-mêmes le mot "union".
Leurs coupes de couleur d'azur contenaient un vin saturé de goût d'ambroisie La ceinture de soie de Kieu répandait un parfum subtil et la glace du paravent reflétait leurs deux visages enamourés. (p.51)
Fleurs et parfums avivaient le rose éclat de sa beauté. Au bout des sourcils, au coin des yeux, l'amour attisait sa flamme. Déjà, les flots de l'amour semblaient faire chavirer le jeune homme. Déjà, dans sa tendresse, perçait une certaine licence.
Dans son sourire de fleur, dans sa voix de jade régnait la bienséance. Les nuages s’avouaient vaincus par sa chevelure, la neige le cédait à son teint