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Citations de E. Richard Johnson (20)


Gus n'était pas un gars facile à descendre, tout en muscles et pas de cerveau, il resta debout alors que les balles s'écrasaient dans sa poitrine. Au moment où sa cervelle lui dit enfin qu'il était mort, il se pencha au point de perdre l'équilibre et s'effondra, le nez contre le tapis.
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- Bicek est un con, il serait incapable de faire marcher un bordel pour militaires, rétorquai-je.
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- Est-ce que j'ai essayé de coucher avec toi, Anna ?
- Et voilà, soupira-t-elle. Les hommes viennent me voir pour affaires et couchent avec mes filles. Je finirai par penser que ce qu'il y a de plus difficile au monde pour une patronne de bordel, c'est de se faire baiser.
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[...] Il apprécia encore lorsque je rabattis son bras sur le rebord du bar et qu'on entendit les os craquer comme une queue de billard mouillée.
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Naturellement, il ne percevait pas un pourcentage sur tous les rackets et délits de son royaume ; en fait, il permettait même le développement limité de ce qu’il appelait : la libre entreprise. Après tout, il faut bien que tout le monde vive. Mais ce qui lui appartenait était à lui tout seul. Il assurait l’intégrité de son empire en donnant des leçons particulièrement convaincantes à tous ceux qui violaient sa loi ou se révélaient incapables de payer quand il venait chercher l’argent.
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Dans la plupart des cas, il s’avère que ces poudres et liquides n’ont rien d’exotique, qu’il s’agit simplement de produits pour le visage ou les pieds, ou bien de lotion après-rasage. Mais la police a le devoir de tout examiner. On ne sait jamais ce qui peut devenir un indice important. Et, naturellement, après avoir soigneusement nettoyé tout ce qui traînait, ils salirent tout en répandant de la poudre dans tout l’appartement, à la recherche d’empreintes digitales.
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- Le soir où il [Sanatary Blacky] s'est fait descendre, il est arrivé ici bourré comme un canon et il a demandé une des filles qui était déjà en mains. Je te jure, Jericho, au point où il en était, il aurait pu se taper une fenêtre ouverte sans s'apercevoir de a différence.


(Note : c'est une tenancière de bordel qui parle...)
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Dans un cerveau gros comme un flageolet, il n'y avait pas de place pour plus d'une idée à la fois et le mec pensait à la mort. Il se disait peut-être aussi que je pouvais tirer, et pas lui. Personne n'a envie de mourir.
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- Tu veux dire qu'il refuse de payer Bicek ?
- À ce qu'il paraît. S'il continue comme ça, je donne pas cher de sa peau. Des leggings en ciment qu'il aura, oui, quand il plongera dans le fleuve !
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- Le malheur c'est que j'ai un abonnement dans un chouette bordel et que je ne fais pas le maquereau.
- Allons, soyez pas vache, quoi. Vous fournissez la piaule, et moi la compagnie au lit.
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Connie avait alors voulu voir les lumières de la ville en se disant que ça valait mieux que de se faire peloter par un vieillard solitaire. La ville lui révéla qu'il y avait tout un tas de jeunes qui voulaient peloter aussi. Sans travail et complétement fauchée, elle s'était mise à faire payer les parties de pelote.
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- Tu es une fille qui travaille, ne l'oublie pas. Alors, pas question de nuits gratuites.
Elle paru résignée à se rallonger sur le lit, puis elle se redressa et noua les bras autour de mon cou.
- D'accord, pas de nuits gratuites, souffla-t-elle. Mais avant de partir... le coup de l'étrier ? La nuit n'est pas encore finie.
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C’étaient les moutons qui lui causaient du souci. Il comparait toujours les habitants des rues à un grand troupeau de moutons terrorisés par une meute de loups. Elle comprenait qu’il lui faudrait apprendre à partager les moutons sur lesquels il veillait. Que c’était, au bout du compte, une part importante de sa raison d’être.
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Il aurait facilement pu figurer au Guinness Book of World Records si les gueules de bois, y étaient comptabilisées.
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Il n’aimait pas les ritals, ce qui n’avait rien de surprenant chez un Américain d’origine polonaise, attaché aux préjugés ethniques caractéristiques de la classe ouvrière américaine et les exerçant lorsqu’il accède aux postes de responsabilité. C’est la même chose partout, dans tous les pays, seuls les drapeaux diffèrent.
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Elle pouvait avoir vingt-cinq ans et était d’une beauté naturelle, propre, susceptible d’amener tous les célibataires à envisager sérieusement les joies du mariage. Elle était belle, tout simplement, et semblait assez intelligente pour avoir conscience de l’effet qu’elle produisait sur les hommes.
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On a toujours besoin d’aide.
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L’héroïne était devenue son ami et son amant. C’était un passeport pour son existence plus belle que celle qu’elle avait connue avant son intoxication.
C’était une manière facile d’échapper aux amis sans parole et aux amants infidèles, à la malchance, aux mauvais moments et à ce subtil mépris de soi que toutes les prostituées éprouvent au fond d’elles-mêmes. Lorsque l’héroïne courait dans ses veines, la prostitution elle-même devenait moins abrutissante. Et, quand elle planait, n’importe quel client ivre pouvait devenir un amant riche et adroit qui lui apportait le bonheur éternel… du moins jusqu’au moment où l’euphorie factice disparaissait et où il fallait se shooter de nouveau.
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Il doutait des gens, parce qu’il était aveugle. Cela le gênait et il n’acceptait pas la pitié.
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Parfois on a de la chance, au cours d’une enquête, et toutes sortes d’informations intéressantes apparaissent en échange d’un travail minime. Les flics, eux aussi, ont besoin d’un peu de chance de temps en temps.
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