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Citations de Ed Greenwood (55)


Ces nobles et ces marchands ne sont d'aucune utilité ! À l'abri, ils se montrent avides, ricaneurs et prêts à tout, mais s'enfuient comme des lapins couineurs dès que ça tourne mal !
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Cramoisi, Rauntlavon bafouilla ces paroles à graver dans le marbre :
— C’est que… que… Hum… Je, euh…
— Mais oui, mon garçon, coupa Iyriklaunavan. C’est finement exprimé, comme toujours !
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Nous avons beaucoup appris : parler aux fantômes... (La grimace de son interlocutrice en dits long sur ce qu'elle pensait de semblable expériences. Amusée, Tessaril poursuivit:) Explorer des mondes étranges, revêtir les tenues les plus extravagantes - tu n'as pas idée des nippes incroyable dont nos nobles aïeux s'affublait !
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- Mais ce n'est pas sans danger, rappela Florin. Etes-vous prêt à courir le risque mes amis ?
Les chevaliers hochèrent la tête. Les cavaliers se regardèrent avant de donner leur assentiment.
L'un d'eux se pencha vers Florin :
- Et vous ?
Le bouclier de Valombre hausse les épaules.
- Naturellement.
- C'est un chevalier de Myth Drannor, expliqua Rathan comme s'il s'adressait à un enfant en bas âge.
- Traduction, souffla Torm en un aparté théâtral, c'est un fieffé idiot !
Le groupe pouffa.

(page 118 - Fleuve Noir - 1998)
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- Qu'à cela tienne ! s'écrie Itharr. Pourquoi ne pas porter le combat sur leur propre terrain, dans le Château des Ombres ? Si notre sort est pour ainsi dire réglé, autant mourir en tuant le plus d'ennemis possible ! Qu'avons-nous à perdre ?
- C'est parlé en vrai Ménestrel ! approuva Belkram.
- Non, en vrai idiot ! répliqua Sharantyr.
- Une certaine similitude existe entre les deux, commenta Syluné, diplomate.
Tous rirent de bon cœur. Une chouette ulula.

(page 118-119 - Fleuve Noir - 1998)
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Je n’aime guère tuer les jeunes filles, mais si j’ai le choix entre verser le sang d’une seule d’entre elles et sauver un beau royaume qui en fourmille, je n’hésite pas.
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Pardonnez-moi, madame, mais votre discours me paraît se rapprocher du « tout ira bien pourvu qu’on me laisse agir à ma guise » souvent entendu dans la bouche des tyrans
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Rien ne blesse aussi bien que la vérité non demandée ni adoucie.
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La mort nous guette tous au tournant. Ma vie vaut seulement par les services que je rends aux autres.
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Seuls les imbéciles connaissent toutes les réponses
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—Votre femme décide pour vous à quelles fêtes vous allez ? s’exclama Andemel, incrédule.
— Eh oui, dans le mariage, je lui laisse toutes les petites décisions. Elle insiste, à vrai dire ! Quant aux problèmes graves, ils me reviennent.
Ventorrent leva un sourcil.
— Des problèmes graves ? À savoir ?
Raurild eut un sourire en coin.
— Je l’ignore. En seize ans de mariage, il ne s’en est pas encore présenté.
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Après une de vos petites balades dans d’autres mondes, vous voilà de retour avec une nouvelle lubie ! Couper mon bon pain en tranches si fines qu’on pourrait cracher à travers ! Quel genre d’idiot s’amuse à ça ?
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L'esprit humain ? Une vraie fosse à purin !
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Ah, une taverne ! "A la belle pucelle". Sans nul doute la seule de ce patelin paumé.
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—Vieux cynique ! Je ne fais jamais le mariolle ! Ma subtile ironie a parfois l'heur de plaire à une audience de qualité.
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Soutiendriez-vous encore, mon romantique ami, que les écrivains, cette engeance supérieure, plongent leur plume dans l’encrier de la vérité ? Certains mentent à leur journal intime !
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—De jeunes m’as-tu vu se paient ma tête parce que je porte des vêtements ordinaires, pas des fanfreluches de soie ! Si ces crétins servaient vraiment des sorciers et ne cherchaient pas à impressionner des donzelles, ils sauraient que les vrais mages ont l’air dépenaillés. Ce ne sont pas des gravures de mode !

L’air blessé, Beldrune baissa le regard sur sa tunique en soie pourpre brodée de dragons dorés aux yeux sertis d’émeraudes.
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Elminster le Puissant, l’Élu de Mystra, l’Armathor de Myth Drannor et le prince d’Athalantar, réduit à cette pathétique situation, transformé en ancre pour les toiles d’araignée et en épouvantail à poussière… Pauvre idiot !
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—Vous connaissez le roi Cerf ?
—Un homme... vigoureux, oui...
Elminster leva des sourcils incrédules.
La sorcière éclata de rire.
—Ce n'est pas ce que tu crois, jeune gredin !
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Quelle est la valeur d'un trône ? Souvent, une vie, quand la maladie, la vieillesse ou un coup d'épée ont raison d'un roi pour en créer un autre. Parfois, ce même trône entraîne la ruine de tout un pays. Le plus souvent, il fait couler le sang de quelques ambitieux ; en ce cas, les Royaumes ont tout à y gagner.
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