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2.92/5 (sur 128 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Greenwich, Londres , le 01/04/1875
Mort(e) à : Hollywood , le 10/02/1932
Biographie :

Edgar Wallace, pseudonyme de Richard Horacio Edgar Freeman, est un écrivain, scénariste, réalisateur et journaliste britannique.

Auteur prolifique, Edgar Wallace compte à son actif 175 romans, 24 pièces de théâtre, et pas loin d’un millier d’articles et de nouvelles. Il est également l’un des auteurs les plus adaptés au cinéma (plus de 160 réalisations).

Parmi ses ouvrages, de très nombreux romans policiers traduits (L'Archer vert, le Cercle rouge, Les Yeux noirs de Londres), édités puis repris dans plusieurs collections qui lui valurent le surnom de "King of the thriller".

A son palmarès, l’écriture (conjointe) du scénario de King Kong, avant de succomber des suites d’une pneumonie à Hollywood le 10 février 1932.

Source : www.papy-dulaut.com
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Citations et extraits (241) Voir plus Ajouter une citation
La haine, chez le faible, est fille de la peur.
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Savez-vous bien que nous n’aimons guère, ici, la manière d’agir de votre oncle ? Il ameute tout le village. Non, croyez-moi, si on est Lord, c’est de naissance. C’est tout comme les avions :
sommes-nous nés avec des ailes ? Non ! C’est inhumain. Alors ?
— N’empêche, Mr Stollingham, que de mâchonner du tabac n’est guère humain non plus… c’est répugnant !… Bien le bon-jour. »
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Il n’y avait pas de syndicats dans ce temps-là, pas de délégués. Si un ouvrier était insolent, on le pendait.
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… Il prendrait plutôt son dernier dollar pour le jeter à la mer que d’en donner le revenu pour secourir un enfant.
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Je sais que votre mari a disparu le jour de son mariage. Je sais que son appartement a été cambriolé et que, lorsque la po-lice est arrivée, elle a reconnu l’homme qui a été compromis dans un vol commis ce même jour. Je sais aussi que parmi les objets ayant disparu, il y avait un passeport. J’ai questionné le domestique de M. Maddison qui m’a dit qu’il y en avait un dans un tiroir du bureau. Maintenant s’il y avait une possibilité – tout cela ressemble à une de ces histoires fabuleuses qui font la fortune des romanciers –
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voulez-vous une de mes cigarettes ?
Manfred fixa étrangement le docteur.
— Je ne connais que trop vos cigarettes, dit-il. Ces mots jetèrent un froid.
— Je n’en veux pas, herr Doktor, il se creuserait des vides parmi vos familiers. Qui se doute que bien avant d’avoir composé votre merveilleux élixir, vous aviez déjà mérité l’immortalité ?
Oberzohn rougit jusqu’à la racine des cheveux.
— Vous semblez être bien au courant de mes travaux et me connaître comme moi-même, monsieur Manfred, dit-il d’une voix sifflante.
— Mieux, car vous avez beau vous efforcer d’assurer le prolongement d’une vie qui n’en vaut guère la peine, vous ignorez quand elle se terminera ; moi, je pourrais vous dire à quelle minute, exactement.
Il n’y avait plus traces de sourire sur les lèvres de Newton. Son regard restait ardemment fixé sur celui de Manfred.
— J’attends que vous me le disiez, répartit Oberzohn dont la volonté de fer avait peine à dissimuler la rage.
— Le jour où Mlle Leicester sera atteinte, de quelque façon que ce soit, vous-même et tous les vôtres seront punis.
— Écoutez, Manfred, il existe des lois dans ce pays, commenta vivement Newton.
— Je suis la Loi, et ces mots résonnèrent comme un glas fatal ; en cette affaire, je suis juge et bourreau, et je n’épargnerai personne.
— Êtes-vous aussi immortel ? dit Monty avec un ricanement.
— La Loi est immortelle, répondit-il.
— Je suppose que ce n’est pas seulement pour me raconter ces histoires que vous m’avez fait venir ici ? demanda Newton d’un ton impertinent.
— Je vous ai fait venir pour vous engager à cesser de poursuivre un but que vous n’atteindrez pas, et vous ordonner de ménager des vies que vous êtes prêts à sacrifier avec un cynisme révoltant. La fin de tout cela est proche.







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« Je ne sais pas depuis combien de temps vous habitez l’Angleterre, ni si vous êtes familiarisé avec les particularités de la loi anglaise. Ici, pour certains délits, on administre le fouet. D’aucuns trouvent cela brutal, du point de vue humanitaire, c’est vrai. La pendaison aussi, c’est évident. Pourtant cela a eu pour résultat de supprimer chez nous un certain nombre de crimes, ceux qui rentrent en général dans la catégorie coups et blessures. Si des voleurs attaquent un citoyen dans la rue pour le voler, le juge peut condamner ces messieurs à trente-cinq coups de fouet. En conséquence le vol à main armée a presque complètement disparu des annales criminelles. De même, si nous trouvons un homme qui vit habituellement aux crochets de malheureuses femmes, il est fouetté. Ce genre de métier est devenu très impopulaire. Le fouet est donné aussi pour d’autres fautes telles que l’attaque d’un gardien de prison. Nous l’appelons chat à neuf queues parce que c’est un fouet à neuf lanières. Creager a été pendant sept ans le principal fouetteur de la prison de Pentonville. C’est un travail déplaisant, qui demande beaucoup de sang-froid et des nerfs solides, car la loi veut que le fouet ne tombe ni au-dessus ni au-dessous des épaules. S’il touche le cou cela peut tuer. À mon avis, le meurtrier est un homme qui a dû passer entre les mains de Creager et a attendu l’heure de la vengeance.

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Edgar Wallace
« J’ai entendu dire que vous vous réinstalliez chez vous et que vous vouliez les clefs. J’ai télégraphié à M. Rustem de vous les envoyer. Je regrette que vous alliez à Longhall, euh… vraiment. Je crains que la maison ne soit infestée de rats, euh… Il est difficile de s’en débarrasser, près d’une écurie, miss Gray, vous vous apercevrez que c’est un vrai fléau. »
Il s’interrompit, passa sa langue sur ses lèvres pâles, ne quittant pas Edna des yeux.
« Ce sont des rats énormes, féroces ; un de mes hommes d’écurie a été attaqué par une troupe de ces bêtes la semaine dernière.
– J’aime les rats », répondit Edna avec un calme imperturbable que Luke, qui n’était pas facile à étonner, admira.
Durant une seconde, Goodie fut littéralement ahuri.
« Eh bien ! vous aurez tout le loisir, euh, de les étudier », dit-il. (p39)
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– Seule l’influence extraordinaire de la beauté abolit l’âge.
Une femme belle n’a que l’âge que vous lui donnez. (p36)
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Vous donnez un bien mauvais exemple aux classes criminelles. C’est heureux
que votre ami le condamné soit encore en prison. (p20)
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