Editions Atlas

Les Editions Atlas proposent à travers ce livre une découverte provençale, mais couvrant exclusivement la région PACA. Ainsi, Nîmes, Aigues-Mortes, le Pont du Gard et d'autres sites de ce département ne sont pas cités, alors que le Queyras et ses montagnes sont présents dans ce livre, du fait du choix des auteurs de s'en tenir à une région administrative qui ne couvre pas exactement la vraie Provence.



Sur le fond, peu importe finalement car ce livre donne vraiment des informations intéressantes, avec quelques pages consacrées à l'histoire dont les vents contraires ont laissé de riches empreintes en terre provençale.



Les lumières de l'art et de la foi éclairent dans ce livre de nombreux endroits célèbres comme le Palais des Papes en Avignon, les abbayes de Silvacane, de Sénanque et du Thoronet, ainsi que de beaux musées comme celui de la fondation Maeght à Saint-Paul-de-Vence ou celui de la Marine à Marseille.



Puis, vient le tour des beaux villages dispersés sous le soleil, tels que les Baux-de-Provence, Moustiers-Sainte-Marie, Cotignac, Lourmarin, villages le plus souvent accrochés aux collines. Le beau village de Callian, aux confins du Var, vers les Alpes-Maritimes, n'est pas cité mais on ne peut être exhaustif dans ce genre de tour d'horizon.



On termine cette lecture par les paysages, les produits gastronomiques de la Provence qui sont nombreux et variés depuis les entrées jusqu'aux desserts, pas moins de treize pour Noël. A la toute fin, ce sont les fêtes provençales qui sont citées, fêtes qui s'échelonnent sur presque toute l'année et s'inscrivent dans les différentes traditions dont la Provence est riche.



De belles photographies ornent ce livre, j'aime bien celle de l'aqueduc de Roquefavour, non loin d'Aix-en-Provence, construit au milieu du XIXe siècle, et puis les beaux visages entrevus lors des fêtes, témoignant de tous les âges de la vie.



Donc , un très agréable voyage pour tous ceux qui aiment la Provence.



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Ha ! Ces bestioles minuscules que l'on ne remarque souvent que quand elles nous agacent telles ces mouches bourdonnantes, ou qu'elles présentent une menace , comme ces frelons et leur douloureuse piqure.



Pourtant, tout autour de nous, c'est un monde étonnant qui vit aux rythme des saisons, dans nos jardins et jusque dans nos maisons.



Dans ce volume de la série "Nature en France", nous apprenons à mieux les connaitre, à découvrir leur mode de vie, leur rôle ; de la pollinisation à la nécrophagie !



En lisant ce livre, nous apprenons à différencier des insectes d'apparences proches ; les guêpes et les syrphes, à identifier les papillons les plus communs de nos jardins.



Attribuer une fonction et un nom aux représentants de cette microfaune est en soit une aventure en miniature et accessible à tous !



Nous noterons au passage, qu'il n'est pas question dans ce livre des araignées qui ne sont pas des insectes..!

La mythologie m’a toujours passionné, peut-être parce que j’ai eu une prof de latin en 3ème, qui nous en parlait avec passion et qui savait nous captiver. Certains mots sont liés à des légendes et bien des mythes nourrissent encore notre culture.



Ce grand atlas présente ici les principaux mythes fondateurs d’Osiris à Hadès et Pluton. Connaissez-vous par exemples les 3 grâces, ces déesses qui embellissent la vie ? Ces filles de Zeus dispensent la gaité dans les relations humaines et la beauté dans les arts. Sur la double page qui leur est consacrée, on peut voir des tableaux dans lesquels elles ont été représentées et des poètes qu’elles ont inspiré.

Bien entendu cet atlas ne se lit pas comme un roman, de façon linéaire et de bout en bout. On y plonge au hasard ou au contraire un cherchant un mythe précis mais toujours avec le plaisir de se laisser entrainer dans un récit merveilleux.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

En ouvrant ce volume de la collection Passion de l’Egypte je me suis dit que je n’allais pas y découvrir grand-chose tant Karnak et Louxor sont mentionnés dans d’autres volumes. Grossière erreur de ma part. D’abord parce que les sites sont présentés pour eux-mêmes avec leurs plans. Ensuite et surtout parce que les superbes illustrations me semblent toujours différentes d’un volume à l’autre. C’est dire la quantité de chefs d’oeuvre de l’art égyptien. Et les reproductions sont magnifiques, souvent en pleine page. La moitié de cet ouvrage est consacré à Karnak, un quart environ aux trésors de Louxor, et un autre quart à Médinet-Habou, site de l’époque de Ramsès III, que je connaissais moins et qui est de toute beauté. Je ne me lasse pas de parcourir ces ouvrages pour le plaisir des yeux.

Ramsès II est le pharaon le plus célèbre, il n’est donc pas surprenant que les Éditions Atlas lui aient consacré un tome entier de la collection Passion Égypte. Cet ouvrage n’est plus tout récent (2003), du coup il ne mentionne pas les nouvelles découvertes, en particulier sur les causes probables de la mort de Ramsès. Du point de vue archéologique il n’est cependant pas dépassé et dresse le portrait du pharaon conquérant légendaire et bâtisseur infatigable, sans oublier de l’amoureux de Néfertari et du père d’une très nombreuse descendance. L’histoire des découvertes et fouilles archéologiques concernant le règne de Ramsès est aussi très bien expliquée. Comme toujours dans cette collection les illustrations sont nombreuses et de très bonne qualité.Il faut dire que Ramsès a su soigner sa propre légende de son vivant comme pour l’au-delà et les générations futures : il en a eu le temps, puis qu’il semblerait qu’il soit décédé à près de 90 ans, ce qui est remarquable pour l’époque ! Peu de personnages historiques sont enveloppés d’une telle aura et suscite autant la fascination.

Un très beau titre et un vaste programme pour un livre consacré pour l’essentiel aux premières dynasties et à l’Ancien Empire ainsi qu’aux dynasties perdues du Moyen Empire. Avant d’aborder ce sujet un bon tiers de l’ouvrage porte sur les pharaons, ou plutôt sur le sens de ce qu’est un pharaon. Ce qui est fascinant avec l’Egypte ancienne, c’est d’abord le vertige temporel si on essaie de se représenter une période qui a duré plus de 3000 ans. Et puis, par la force des choses, le mystère des expressions telles que dynastie zéro (parce qu’il est évident que ce que l’on appelle la première dynastie n’est pas le début de cette civilisation) ou dynasties perdues (en fait, celles dont on n’a pas retrouvé les tombeaux et dont on ignore jusqu’aux noms des pharaons). Même si ce livre s’arrête au Moyen Empire, il est évident qu’un livre de 125 pages sur une si vaste période ne permet qu’une approche sommaire de la question. Mais c’est une bonne entrée en matière, avec de superbes illustrations de bonne taille et de qualité.

Explorer les merveilles de l'Univers, découvrir les galaxies, les constellations, les étoiles et le système solaire, voilà à quoi nous invite Le grand guide de l'Astronomie.



Elaboré par un collectif d'astrophysiciens et préfacé par Hubert Reeves, Le grand guide de l'astronomie est un incontournable !

Peut-on observer des supernova avec un télescope amateur ? Pourquoi Uranus a-t-elle cette couleur bleuâtre ? Comment reconnaître la planète Mars ? Partez à la découverte des secrets de l'Univers, avec ce guide aux images envoûtantes, fournies par les satellites de la NASA.



Vous trouverez aussi dans ce guide:

- une très importante documentation d'archives qui intègre les recherches spatiales les plus récentes,

- une section répertoriant 88 constellations avec pour chacune d'entre elles, une carte précise indiquant leur localisation dans l'espace ainsi que leur magnitude stellaire

-une liste des observatoires de France et du monde

- un glossaire complet
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C’est mon dernier livre de la collection Passion l’Egypte, je n’ai pas les autres (je crois qu’en tout il y en a plus de trente !). Mon seul regret est de ne pas avoir celui sur les momies et celui sur les rites funéraires, d’autant que je viens de voir une exposition sur le sujet en début d’été. Donc, ni momies, ni rites funéraires mais un ouvrage sur les tombeaux, ceux de la vallée des rois, ceux de la vallée des nobles, et quelques autres (celui de la reine Hetepherès, de Psousennès, d’Amenemhat, et d’autres encores) Enumérer les noms ne sert pas à grand-chose, d’abord parce que pour la plupart ils n’évoquent rien sauf pour des égyptologues, et puis aussi, parce que les tombeaux portent souvent le nom de celui qui l’a fait construire, mais qui n’est pas forcément enterré là. Ce n’est pas pour aider le profane ! Des plans des vallées sont là pour nous aider (pas moins de 62 tombeaux dans la vallée des rois, tout de même !) Pas de momies dans cet ouvrage, mais de quoi peut-il donc parler ? Eh bien, il y a encore les sarcophages, les décorations murales, parfois peintes, parfois sculptées, et parfois pas terminées (et laissant donc voir le travail préparatoire), les offrandes et le mobilier funéraire (qui n’ont, heureusement, pas été pillés partout), des masques en or, … Et comme dans les autres volumes de la collection les illustrations sont un régal pour les yeux !

Extrait d'une belle collection datant de 2006, ce recueil de recettes a beaucoup de charme, est très détaillé. Dix pays et quelques îles/archipels sont à l'honneur, mais le livre fait quand même la part belle aux pays asiatiques, un thème qu'il aurait dû maintenir tout du long car les 4-5 recettes du Mexique, Maroc ou Brésil font un peu tache dans cet océan de recettes provenant majoritairement de l'Orient.



Certaines sont très "bateau" mais offrent des astuces culinaires non négligeables (comme le fait de faire une omelette à découper agrémentée de sauce soja pour mettre dans un riz cantonais, ou la cuisson parfaite pour un magret de canard sans forcément le mettre après dans un rouleau de printemps), d'autres ont un intérêt assez faible, mais beaucoup sortent du lot et sont vraiment pleines de saveurs. Je pense notamment à celles du thon soyou, qui est devenue une de mes favorites pour des steaks de thon, ou de la salade au filet de porc grillé.



Je n'ai pas encore pu tout essayer, une seule jusqu'à présent m'a fait défaut (les croquettes de poisson sauce au concombre... mieux vaut aller dans un vrai resto thaï pour le coup car cette recette ne fonctionne tout simplement pas !).



En somme un livre intéressant, bien présenté, plein de bonnes idées.

Avec ce livre le lecteur suit, quasiment dans l'ordre chronologique, les découvertes faites au départ par des passionnés, amateurs éclairés, parfois intéressés avant tout par l'appât du gain, mais toujours connaisseurs et véritables aventuriers. Cela se lit comme un roman d'aventures, les pérégrinations des égyptologues sont passionnantes, celles des collections sont encore plus inattendues ! La première partie est consacrée à Salt et Drovetti, ainsi qu'aux grandes découvertes de Benzoni (le temple d'Abou Simbel et le tombeau de Séthi Ier) puis à Caillaud, plus moderne dans son approche de l'archéologie. La deuxième partie est celle des fouilles de Mariette et Maspero qui changent la face de l'égyptologie. La troisième partie concerne la même période, côté anglais avec les découvertes de Petrie, puis d'Howard Carter. Et pour finir, des découvreurs peut-être un peu moins célèbres : Loret (découvreur des tombes d'Aménophis II et Thoutmosis III), Schiaparelli (tombe de la reine Néfertari et tombe de l'architecte Kha), Reisner (nouvelles découvertes à Gizeh), Chassinat et Palanque (tombe de Nakhti), Montet (trésor de Tanis) pour finir par Christiane Desroches-Noblecourt, égyptologue qui n'a rien découvert, mais qui, mandatée par l'ONU pour aider l'Egypte à gérer et préserver son patrimoine, a réussi à imposer l'idée folle de déplacer les temples de Nubie condamnés par la construction du barrage d'Assouan et à trouver les fonds pour le faire ! Que de chemin parcouru en à peine plus de 150 ans et que de découvertes ! Passionnant !

J'en ai presque oublié de signaler que cet ouvrage est abondamment illustré (objets découverts, mais aussi portraits des égyptologues et croquis et dessins réalisés à l'époque des fouilles).

Cet ouvrage commence le tour des collections d’art égyptien en commençant par le musée du Caire, pour continuer avec le British Museum et avec des musées moins connus mais aux inestimables collections comme celui de Berlin et celui de Turin. Ensuite l’ouvrage s’intéresse aux musées français (hors Louvre, dont il n’est point question ici) de Marseille, Lyon et Aix. C’est fascinant de réaliser l’ampleur, le volume gigantesque de fresques, sculptures, momies, qui font que tant de musées peuvent avoir un département d’antiquité égyptienne ! Bien sûr seuls les plus grands peuvent faire entr’apercevoir une vision d’ensemble, si tant est que cela soit possible. Comment réaliser plus de 3000 ans d’histoire, qui plus est à une époque où on ne sait pas grand-chose sur ce qui se passait en Gaule, alors qu’il est déjà difficile de réaliser le temps qui nous sépare de la Révolution française (même pas 250 ans!) ? C’est tout simplement vertigineux ! Le sujet de cet ouvrage est discutable, pourquoi x page pour tel musée, puisqu’il y a eu un ouvrage sur le musée du Louvre, pourquoi pas un autre sur le British Museum et un autre sur Le Caire ? Hormis cela ce livre est très bien illustré, avec des reproductions de bonne qualité, de bonne taille et accompagnées d’explications claires.

Ce tome est consacré à la période qui va de la conquête arabe à l’intégration à l’Empire ottoman, il s’agit donc de l’histoire de l’Egypte de 641 à 1517. Très peu de temps après la mort de Mahomet les arabes conquièrent l’Egypte, byzantine depuis quelques années seulement mais très fortement christianisée. La conquête est très rapide car les chrétiens d’Egypte étaient en très forte opposition à Byzance à ce moment-là. L’influence des arabes s’impose très vite : au bout d’un siècle l’arabe est la langue dominante et deux siècles après la conquête la religion musulmane est dominante. Le canal du Nil à la mer rouge, qui nécessite beaucoup d’entretien, est abandonné. Plusieurs dynasties arabes se succèdent alors jusqu’à ce que les gouverneurs turcs soient les plus nombreux. Mais la plus remarquable des dynasties arabes en Egypte est la dynastie fatimide qui permet à l’Egypte de rayonner à nouveau dans bien des domaines : riche bibliothèque, palais et autres monuments, riche vie intellectuelle. Dès avant les croisades il y avait une tradition des pèlerinages chrétiens en Egypte ce qui explique les croisades en Egypte. Et c’est ce qui pousse au passage les princes plus orientaux à vouloir constituer un grand royaume plus puissant contre les croisés. L’histoire de l’Egypte des siècles suivants est très mouvementée pour finir par la défaite de l’Egypte face à l’Empire ottoman. Cet ouvrage est abondamment illustré ce qui permet de découvrir monuments et œuvres d’art de l’époque fatimide. La période étant plus proche de nous que l’Egypte ancienne il y a beaucoup de représentations tant orientales qu’occidentales. Par contre quelques illustrations plus récentes me semblent de moindre intérêt. Par rapport aux autres volumes de la collection, c’est nettement un livre d’histoire, l’art et les trésors archéologiques passant au second plan.

Une façon originale de faire du tourisme à Paris : Se promener au fil des rues en apprenant l'histoire de leurs noms, en découvrant des petits détails que l'on aurait pas remarqué seul et levant un peu le nez pour découvrir des plaques originales, amusantes ou gorgées d'histoire ou d'anecdotes.

Pour tous les amoureux de Paris et de la petite histoire, voici un livre passionnant et bien documenté.

Ce tome fait en 125 pages le tour de l’histoire de l’Egypte, de la mort de Toutânkhamon à Alexandre le Grand, environ mille ans plus tard. Ce serait un peu rapide si l’histoire était le sujet essentiel : deux chapitres consacrés à la période de la grandeur de l’Egypte, un chapitre sur la lente et progressive décadence et un chapitre sur la période où il y a encore des pharaons mais où leur pouvoir est partagé avec des puissances extérieures à l’Egypte. Je ne suis pas sûre que ce soit le meilleur ouvrage pour s’intéresser à l’histoire de l’Egypte (on a vite le vertige à voir le nombre de pharaons!), mais, comme tous les autres tomes de la collection, il est remarquablement illustré. Le lecteur s’imprègne bien des évolutions (peu perceptibles au premier regard) artistiques, voire techniques au fil de ces différentes période. Il faut dire qu’avec l’Egypte histoire et art sont intimement mêlés tant les récits historiques sont gravés dans la pierre. Et on ne peut qu’être fascinée par tant de beauté et par une unité de ligne et de style qui perdure plus d’un millénaire.

De tous les tomes de la collection Passion de l’Egypte que j’ai lu jusqu’à présent c’est nettement le plus géographique, et probablement un de ceux à lire en premier. Bien sûr nous avons tous des connaissances scolaires sur les crues du Nil et leur utilisation par les Egyptiens, mais une piqûre de rappel n’est pas inutile, surtout quand elle est remarquablement illustrée. D’autre part, cet ouvrage fait le tour des villes fondées au bord du Nil, qu’elles soient des cités religieuses ou commerçantes et stratégiques. Il y a beaucoup de cartes, qu’elles soient modernes ou anciennes, de belles reproductions de bateaux, de belles felouques blanches sur les eaux bleues, et même une sculpture d’un bateau à rames avec ses rameurs, de toute beauté. La dernière partie de ce tome est consacrée aux croisières sur le Nil. Comme ce livre date de 2004 cela pourrait sembler daté, mais pas tout à fait, car le chapitre parle surtout de l’histoire de ces croisières, agréable voyage vers l’époque des dahabieh, celle des palaces avec roues à aube, et de l’ambiance de « Mort sur le Nil ». Un ouvrage un peu différent des autres tomes de la collection, moins archéologique mais tout aussi bien documenté !

Encore un volume de cette collection consacré aux temples égyptiens, mais il y en a tant … Cet ouvrage s’achève par un chapitre qui donne quelques explications sur les techniques de construction égyptienne. Le premier chapitre nous présente le temple de Deir el-Bahari, le temple d’Hatshepsout, la seule femme pharaon. Ensuite nous voyons le sauvetage d’Abou Simbel, puis nous découvrons le Ramesséum, les temples de Soleb et de Sedeinga. Dommage que tous ces temples ne soient pas situés sur une carte. Nous continuons avec le temple d’Osiris à Abydos et celui d’Isis à Philae, le temple d’Horus à Edfou et bien d’autres temples encore. Sans carte et sans chronologie, le choix et l’ordre de présentation des temples semblent arbitraires. C’est un peu dommage. L’avant-dernier chapitre est plus original car consacré à la période gréco-romaine (par contre je ne vois pas le lien entre la description d’un fortin romain et les temples!) Reste que les illustrations sont toujours superbes et que je ne me lasse pas de découvrir les merveilles de l’art égyptien.

Un beau livre qui propose 147 recettes pour régaler petits et grands.



Au programme : grands et petits gâteaux au chocolat, tartes, mousses, crèmes, desserts glacés, douceurs traditionnels comme les madeleines, les langues de chat ou les caramels mais aussi grands classiques tels que la religieuse, le millefeuille ou la charlotte.

A chaque recette proposée sur une double page, les grandes étapes sont reprises par un pas à pas en photos et le chef pâtissier donne des conseils.



Les 10 recettes qu'on a envie de tester pour commencer ?

- la charlotte tiramisu

-le délice chocolat aux marrons

- les bouchées gavotte et chocolat

- la tarte au sucre

- la tarte briochée aux pommes

- le fondant à l'orange

-les nonnettes

- le gâteau au chocolat croustillant

- les doigts de fée

- la mousse pomme cannelle
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De magnifiques photographies, c'est indéniable mais lorsque ce livre fait à la va-vite, ose colporter des erreurs nonumentales sans vérifier les informations, c'est discutable! Un exemple? François 1er n'a JAMAIS été au chevet de Léonard de Vinci pendant ses dernières heures de vie! Il assistait au baptême de son fils pendant ce temps. le tableau représentant ce soi-disant évènement est une oeuvre de propagande du XIXème siècle!

Cet ouvrage passionnant, pour le féru de la chose ferroviaire, sort tous les deux ans avec ses cartes actualisées et sa très riche iconographie.

L' Atlas ferroviaire fait voyager, de région en région, l'infatigable voyageur du rail.

Cet ouvrage est consacré aux antiquités égyptiennes exposées au Louvre depuis fin 1997. Il commence par présenter les salles du département des Antiquités égyptiennes, l'origine des collections et le parcours thématique du rez-de chaussée consacré à la culture égyptienne au sens large : le Nil et l'agriculture, le mobilier, les vêtements et bijoux, les instruments de musique, les outils d'écriture, les rites funéraires avec momies et sarcophages. La deuxième partie de l'ouvrage est centrée sur les trésors, les pièces les plus remarquables, souvent des statues, des bustes, des têtes de pharaons, de princesses, de scribes, … La troisième partie nous fait entrer dans un tout autre univers, celui de l'art copte, ce qui correspond en date du début au milieu du Moyen-âge français. Les illustrations sont très nombreuses, de bonne qualité, et pas trop petites. le texte explique bien l'intérêt des objets exposés, leur signification et leur représentativité. Au final ce livre, qui fait partie d'une très longue série consacrée à l'Egypte par les Editions Atlas, est une sorte de catalogue d'exposition amélioré, mais bien sûr il est loin de représenter tous les objets exposés (ce serait difficile, il y en a près de 5000)