AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.05/5 (sur 982 notes)

Nationalité : Espagne
Biographie :

Elena Armas est auteure de romance.

son site : https://www.authorelenaarmas.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/authorelenaarmas
Twitter : https://twitter.com/elenaarmasbooks

Ajouter des informations
Bibliographie de Elena Armas   (5)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (112) Voir plus Ajouter une citation
Parce que quand je prendrai enfin tes lèvres, il ne sera plus question de faire semblant. Je ne te montrerai pas ce que ce serait si tu étais à moi. Je te montrerai ce que c’est. Et je ne chercherai pas à te prouver à quel point tu te sentirais bien si j’étais à toi. Tu sauras déjà que c’est le cas. [...] Quand je t’embrasserai enfin, tu ne douteras pas un seul instant que tout cela est réel.
Commenter  J’apprécie          60
- How is it possible that it feels like you are breaking my heart, and i haven't even had you yet ?

AARON

( - Comment est-ce possible que j'ai l'impression que tu me brises le cœur, alors que je ne t'ai même pas encore eu ?)
Commenter  J’apprécie          40
— Je veux bien être ton cavalier à ce mariage.Jamais dans mes rêves les plus fous – et, croyez-moi,je possède une imagination débordante – je n’aurais pensé entendre cette voix riche et profonde prononcer ces paroles.
Baissant les yeux, j’ai sondé mon café en quête d’une trace de substance psychotrope qui flotterait à la surface. Cela aurait expliqué ce qui était en train de se passer. Mais non. Rien. Juste ce qui restait de mon expresso allongé.
— Je suis d’accord pour t’accompagner si c’est si important pour toi, a-t-il ajouté de son timbre rauque.Abasourdie, j’ai relevé la tête, bouche bée.
— Rosie…Je me suis interrompue, le mot m’ayant échappé dans un murmure.
— Est-ce qu’il est vraiment là ? Tu peux le voir ? Ou quelqu’un a mis un truc dans mon café sans que je m’en rende compte ?
Rosie – ma meilleure amie et collègue à InTech, la société de conseil en ingénierie basée à New York où nous nous étions rencontrées et où nous travaillions – a hoché la tête. J’ai regardé ses boucles brunes rebondir tandis qu’une expression incrédule se peignait sur ses traits habituellement doux.
— Non, il est là, a-t-elle chuchoté.Elle a posé brièvement les yeux derrière moi.
— Bonjour ! a-t-elle lancé joyeusement avant de reporter son attention sur moi. Juste derrière toi.Les lèvres entrouvertes, j’ai dévisagé mon amie pendant un long moment. Nous nous tenions au bout du couloir 7
du onzième étage du siège d’InTech. Nos deux bureaux étaient relativement proches l’un de l’autre, si bien qu’au moment où j’étais entrée dans le bâtiment, situé au cœur de Manhattan, à proximité de Central Park, je m’étais rendue directement dans le sien.Mon plan était d’embarquer Rosie et de m’installer avec elle dans les fauteuils rembourrés qui servaient de salle d’attente pour les clients et qui étaient généralement inoccupés à une heure si matinale.Mais nous n’avions jamais eu l’occasion de les atteindre.J’avais en quelque sorte lâché la bombe avant que nous puissions nous asseoir. Ma situation était à ce point délicate qu’elle nécessitait l’attention immédiate de Rosie. Et alors…alors, il était apparu de nulle part.
— Dois-je le répéter une troisième fois ? Sa question a fait déferler une nouvelle vague d’incrédulité en moi, me glaçant le sang.Impossible. Et pourtant, il avait bien prononcé ces mots,mais cela n’avait aucun sens. Pas dans notre monde. Un monde où nous…
— D’accord, a-t-il soupiré. Très bien. Je te propose de t’accompagner.Il a marqué une pause, me pétrifiant encore davantage.
— Au mariage de ta sœur.Mon dos s’est contracté, mes épaules se sont raidies.J’ai même senti le chemisier en satin que j’avais glissé dans mon pantalon camel se tendre sur ma peau.Il offre de m’accompagner. Au mariage de ma sœur. D’être mon… cavalier ?J’ai cligné des yeux, ses paroles résonnant dans ma tête.Puis quelque chose m’a frappée de plein fouet. L’absurdité de la plaisanterie – quelle que soit la blague perverse que cet homme indigne de confiance essayait de me faire – a brusquement déclenché un ricanement qui s’est échappé de mes lèvres sans prévenir.
— Qu’y a-t-il de si drôle ? a-t-il rétorqué aussitôt.Son ton était plus bas, plus froid.
— Je suis tout à fait sérieux.
Commenter  J’apprécie          10
- Je suis content de ne pas t'avoir embrassée.
Elle a écarquillé les yeux.
- Pourquoi ?
Son expression sincère m'a fait craquer, et j'ai répondu avec la même honnêteté.
Parce que quand je prendrai enfin tes lèvres, il ne sera plus question de faire semblant. Je ne te montrerai pas ce que ce serait si tu étais à moi.
Je te montrerai ce que c'est. Et ie ne chercherai pas à te prouver à quel point tu te sentirais bien si j'étais à toi. Tu sauras déjà que c'est le cas.
Et parce que je refusais de me contenter de demi-mesures ou de demi-vérités, parce que j'avais assez attendu et que je la voulais totale-ment, complètement, j'ai ajouté :
Quand je t'embrasserai enfin, tu ne douteras pas un seul instant que tout ceci est réel.

(Chapitre bonus, Pov Aaron)
Commenter  J’apprécie          20
— Quand je t’embrasserai enfin, tu ne douteras pas un seul instant que tout cela est réel.
Commenter  J’apprécie          40
Aucun de vous n’est en tort, Aaron. Nous ne sommes pas programmés pour perdre ceux que nous aimons ; il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de faire son deuil. Nous faisons de notre mieux, même si, souvent, cela ne suffit pas.
Commenter  J’apprécie          30
Je me suis tournée vers lui brièvement et, incapable de trouver mes mots, j’ai simplement hoché la tête. Mon attention s’est reportée sur mon ex, et tandis que je le regardais embrasser et étreindre son frère en lui tapant dans le dos, j’ai senti Aaron se rapprocher de moi. Je n’ai pas bougé. J’étais enracinée dans le sol.

Aaron a encore réduit la distance entre nous, se plaçant juste derrière moi. J’ai été surprise par la chaleur que son corps dégageait et par la façon dont sa proximité a fait disparaître une partie de mon malaise. Il me rassurait. Je ne savais pas comment ni pourquoi, et je n’avais pas le temps de me pencher sur la question. Pas devant Daniel et tous les autres. Donc, je me suis contentée de m’accrocher à cette sensation.

Je suis restée là, regardant le témoin saluer tous les autres en les embrassant et en les serrant dans ses bras. Alors qu’il faisait le tour du groupe, j’ai eu l’impression que quelque chose était suspendu dans l’air tandis qu’il évoluait de l’un à l’autre, comme si chaque personne autour de moi retenait son souffle jusqu’au moment où Daniel m’atteindrait.

Je détestais la façon dont l’atmosphère semblait s’être tendue et les regards que je sentais sur moi, mais je me suis rappelé que je m’étais attendue à ce genre de réaction. Tout le monde savait ce qui s’était passé entre Daniel et moi. À quel point cela avait été terrible et difficile pour moi. Et la plupart avaient eu pitié de moi à l’époque. Je savais que c’était encore le cas pour beaucoup et que cela ne changerait jamais pour certains.

Daniel a fait un pas dans ma direction, provoquant une sensation de brûlure qui m’a noué l’estomac.
Commenter  J’apprécie          10
Parce que la vie n'était pas idéale. Elle vous emportait l'espace d'une minute et vous ramenait à la case départ l'instant suivant.
Contrairement à ce que la plupart des gens pensaient, lorsque j'avais postulé pour ce programme international qui m'avait amenée à New York, un an après que tout m'avait explosé à la figure, je n'avais pas fui Daniel, j'avais fui la situation dans laquelle ma relation avec lui m'avait placée. D'accord, dans le processus, il m'avait aussi brisé le coeur. Et c'était ce que tout le monde avait vu. La fuite de la femme brisée.
Commenter  J’apprécie          20
- I want your heart, Catalina. [...] I want it for myself, just how I have given you mine.

AARON

(- Je veux ton cœur, Catalina. [...] Je le veux juste pour moi, tout comme je t'ai donné le mien.)
Commenter  J’apprécie          30
Mes yeux se sont de nouveau posés sur l’homme assis en face de moi, et j’ai croisé son regard. Comme s’il m’avait surprise en flagrant délit, mes joues se sont enflammées et j’ai baissé la tête sur ma liste.Trouver un petit ami.J’ai aussitôt rayé cette ligne.Trouver un faux petit ami. Inutile d’en dénicher un vrai.
— … et voilà où nous en sommes.
Les mots de Kabir me sont parvenus quelque part à l’arrière de mon cerveau.J’ai continué à travailler sur ma liste.Trouver un faux petit ami. Inutile d’en dénicher un vrai.Et surtout PAS LUI.J’avais forcément d’autres options. Mais pas un escort boy.Une rapide recherche sur Google m’avait confirmé qu’Aaron avait raison. Encore une fois. Apparemment, Hollywood m’avait menti. New York semblait regorger d’hommes et de 26
femmes offrant un large éventail de services en tous genres qui ne se limitaient pas à l’accompagnement.
J’ai fait la grimace et j’ai serré les dents sur le stylo. Jamais je ne l’admettrais devant Aaron. Je préférerais renoncer au chocolat pendant un an plutôt que lui avouer qu’il avait raison.Mais j’étais désespérée. Il l’avait bien compris aussi. Il me fallait un homme prêt à prétendre devant toute ma famille qu’il était engagé dans une relation sérieuse avec moi. Et pas seulement le jour du mariage, mais aussi au cours des deux journées de célébrations qui le précéderaient. Ce qui signifiait que j’étais foutue.
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Elena Armas (1205)Voir plus

Quiz Voir plus

Le joueur d'échecs de Stefan Zweig

Contre qui Mirko Czentovic fit-il sa première partie d'échecs ?

Le curé de son village
Le maréchal des logis de son village
Le barbier de son village

15 questions
1113 lecteurs ont répondu
Thème : Le Joueur d'échecs de Stefan ZweigCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..