"Toi, tu as peur de la loi, et les Solara, les camorristes, ont peur de ton livre." "J'ai peur qu'avec leur argent, ils ne me détruisent." " Mais justement, toi, tu dois les atteindre dans leur argent. Écris. Plus tu écris sur leurs saloperies, plus tu nuis à leurs affaires." J'étais déprimée. C'était ce que pensait Lila ? C'était son projet ? Je compris seulement alors clairement qu'elle m'attribuait la force que, fillettes, nous avions attribuée à l'auteur des "Quatre filles du Dr Marsh".