"Ce n'est pas juste", songe Alizée. Jamais personne n'aurait offert à un garçon une stupide bicyclette avec laquelle il est impossible de sortir des chemins balisés et de foncer à travers les fourrés.
Cette pensée lui donne envie de pleurer, mais Alizée se retient. Elle est bien trop fière pour pleurer devant les copains.