(...) Ces moments où sourdement l'on sait qu'on s'est trompé, que la vie, ce n'était pas l'Italie et ce n'était pas La Havane, et que, portés par Venise, on arrive à avoir assez de distance pour se dire que l'on s'aime encore, que l'on s'est trop aimés pour ne plus s'aimer, que la vie sans amour n'a pas de sens...