La mémoire du mal est impossible. Les lieux de mémoire sont le signe paradoxal de la mémoire et de l'oubli. On crée dex musées, perce que l'ont veut conserver ce que l'on a peur d'oublier. On fait des musées parce que l'on a déjà tout oublié. Je voudrais opposer à la mémoire du mal, la célébration du bien, comme une rédemption : les justes nous permettant de relever la tête, et d'être fiers.