Mon mariage n’est qu’une carte dont il a besoin pour son jeu. À moi de me débrouiller, ensuite, avec l’époux qu’il m’aura imposé pour le restant de mes
jours. Cette tête pommadée, elle vous plaît à vous, ma mère ? Grand bien vous fasse ! Mais c’est moi qui l’aurais devant les yeux, de l’aurore à la nuit ; et bien pis : sur mon oreiller, de la nuit jusqu’à…