« Lorsque le bureau fut à nouveau vide, Marvin se mit à explorer. Il descendit de la table et s'avança vers le mur du fond avant de grimper rapidement jusqu'au rebord de la fenêtre. La vue sur le parc était dégagée. Marvin apercevait les arbres dépouillés de feuilles. Les allées dessinaient des lignes noires sur les pelouses blanchies par le givre. Au loin, des passants emmitouflés dans des manteaux sombres se hâtaient vers leur travail, tels de petits points insignifiants. 'Ce doit être comme ça que les humains voient les cafards', pensa Marvin. » (pp. 103-104)