AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ella Balaert (58)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Pseudo

jolie histoire ....

des mails échangés entre trois copines,qui montent un bateau en se faisant passé pour "Eva" une personne à elle trois:Et établissent un relation épistolaire avec un certains Ulysse....

Ce livre démontre la fragilitè des liens humains,des mensonges et des proportions que cela peut prendre émotionnellement pour des personnalités plus fragile..

la fin est triste,et brutal,je m'attendais à autre chose..

Mais Ella Balaert a fait passer un autre mèssage..

pour moi qui était la manipulation et le mensonge,peut terminer très mal..

ce livre n'a pas été un coup de coeur,et parfois je survolais les lignes...
Commenter  J’apprécie          60
George Sand à Nohant : Drames et mimodrames

Un visiteur à Nohant reste seul et enfermé après les visites. C'est la marionnette Pierre Balandard qui va lui faire visiter la maison et le refuge de Sand. Il va lui faire vivre son enfance, sa vie de femme et d'écrivain. Ce roman est un voyage à travers l'époque de Sand, et toute personne qui a visité Nohant dit toujours que cette maison est imprégnée d'elle. Une visite s'impose donc dans ce lieu emblématique.
Commenter  J’apprécie          30
La lettre déchirée

C'est l'histoire de Stéphane, 13 ans, qui redouble sa sixième. Enfant taciturne qui ne rêve que d'embarquer comme marin dès sa majorité, ce récit dévoile ses astuces et stratégies pour cacher à ses professeurs et son entourage qu'il ne sait pas lire !

J'ai trouvé poignant de découvrir la souffrance de cet adolescent qui a fait un blocage lors de l'apprentissage de la lecture (peut-être lié à la séparation de ses parents et à l'absence de ce père qu'il croit mort...). Cet adolescent qui travaille avec acharnement, utilisant une excellente mémoire pour pallier son incapacité à déchiffrer textes et consignes, lignes de bus et liste des courses.

A lire à tout âge !
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..
Commenter  J’apprécie          130
Mary pirate

J'ai eu du mal avec la lecture de ce roman. Une écriture un peu trop poétique à mon goût et beaucoup de détails et d'images inutiles ont fini par m'ennuyer quelque peu.

Cependant, l'histoire en elle même, celle de cette femme pirate Mary Read est assez intéressante, mais je préfère passer par d'autres lectures plus fluide ou documenté pour en savoir plus.
Commenter  J’apprécie          20
Pseudo

Tout commence avec une annonce pour un meuble en acajou. La très mondaine Sophie propose à Alice, accro au poker, et Jeanne, romantique mélomane, d’entamer un petit jeu de séduction avec un antiquaire mystérieux. Les trois amies créent le personnage d’Eva et se lancent avec plaisir dans une correspondance électronique badine avec Ulysse, leur mystérieux interlocuteur. « Les mots flirtent. Parfois même sans que nous y prenions part. » (p. 145) À noter que Sophie et Alice voulaient surtout tirer Jeanne d’un état d’esprit chagrin dû à une rupture. Les trois femmes mettent un peu d’elles-mêmes dans ce personnage et c’est à trois voix qu’elles répondent à Ulysse. Tout cela n’est qu’un jeu, n’est-ce pas ? « De toute façon, on ne passera pas à l’acte, n’est-ce pas ? Moi, ce qui m’importe, c’est son esprit, pas son corps, d’ailleurs voué à l’immatérialité. » (p. 26) Un jeu, vraiment ? Comme dans toute relation, il y a forcément un moment où l’un s’investit plus que l’autre et c’est là que naît la souffrance.



D’une part, il y a les mails que s’échangent les amies pour créer le personnage d’Eva. D’autre part, il y a les échanges électroniques entre Eva et Ulysse. Mais un troisième discours se met en place, à la fois intrinsèque et déconnecté du premier, celui où deux femmes parlent entre elles de la troisième, pas toujours en bien, l’exclue étant souvent jugée coupable. Forcément, la tension monte et l’amitié tendre qui a présidé à la création d’Eva se crispe. Les masques tombent et l’on découvre un peu du quotidien de chacune des trois femmes et de leurs douleurs.



Comment ne pas penser aux liaisons dangereuses ? Plume ou clavier, l’effet est le même. Il y a des êtres qui font de l’échange une arme pour blesser. Jeux de mail, jeux de vilaines. La dissimulation est souvent la meilleure façon de révéler ce que l’on est – pire –, ce que l’on cache. « L’artifice est souvent plus proche de la vérité. » (p. 28) Alors que le principe d’un roman épistolaire électronique pouvait laisser supposer une œuvre niaise pour trentenaires/quarantenaires futiles, Pseudo est bien moins anodin qu’il n’y paraît au premier coup d’œil. Sans révolutionner l’étude des relations humaines, Ella Balaert met en lumière ce que j’appelle par expérience la méchanceté de l’amitié. Ou quand vos amis savent mieux que vous ce qui vous sera profitable…



J’ai rapidement compris une des révélations finales, mais la toute dernière phrase (Résistez à l’envie de la lire pour vivre le même coup de massue que moi !) remet en perspective toute l’intrigue, au point que je suis revenue à la première page pour être certaine que mes yeux ne m’avaient pas trompée. Servi par un style leste et entraîné, ce roman se lit avec beaucoup d’intérêt et de plaisir, forcément un peu pervers.

Commenter  J’apprécie          270
Quand on a 17 ans

Ella Balaert capte avec justesse le temps de l’adolescence, où l’on est à la fois fragile et fort, où l’on attend et où l’on déploie une énergie inouïe. C’est un temps délicat, où tout peut basculer, où le fil de la vie peut se briser et où l’on s’essaie à l’amour. Entre légèreté et gravité, le roman, bien écrit, se lit avec intérêt.
Lien : http://www.ricochet-jeunes.o..
Commenter  J’apprécie          00
Pseudo

Découvert au hasard d'une bibliothèque, "Pseudo" est une belle rencontre. D'abord celle d'une amitié entre 3 femmes, ensuite celle entre "Eva" (pseudo des 3 femmes) et Ulysse, par échange de mails interposés. Un jeu de séduction s'installe entre "Eva" et Ulysse, et petit à petit nous entrons dans l'univers de chacune des filles. Une écriture fine et incisive au service d'un sujet du quotidien... ce roman est un petit bijou !
Commenter  J’apprécie          00
Quand on a 17 ans

J'ai vraiment adoré l'idée des petites nouvelles on a pleins de personnages à qui s'identifier, et on peut en aimer certain, en detester d'autres..
Commenter  J’apprécie          00
George Sand à Nohant : Drames et mimodrames

Ella Balaert nous fait visiter la célèbre maison de George Sand par les coulisses.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
Commenter  J’apprécie          00
Mary pirate

Un livre un peu décevant... Assez prenant au début, la questions du genre est présente. L'émancipation de la femme, plus ou moins imposée est intéressante. Néanmoins, l'écriture agréable nous laisse attendre quelque chose qui ne vient pas. Un moment agréable de lecture un peu gâché...
Commenter  J’apprécie          10
George Sand à Nohant : Drames et mimodrames

L'originalité de ce livre réside dans sa narration. En effet, Pierre Balandard, la marionnette promène le lecteur dans l'espace et dans le temps à Nohant en compagnie du fantôme de Georges Sand. La construction du roman est assez surprenante car Balandard est le "metteur en scène". La marionnette choisit de nous montrer des évènements de la vie de G.Sand à Nohant. Il faut connaître un petit peu la maison pour se situer dans le contexte. Ella Balaert cite des passages de livres pour alimenter son roman. Le livre est bien illustré avec de belles photos en noir et blanc. C'est un bel hommage à Georges Sand et à cette magnifique demeure.
Lien : http://lilasviolet.blogspot...
Commenter  J’apprécie          30
Quand on a 17 ans

Ces chapitres qui sont autant de petites nouvelles abordent de différents points de vue la vie d'un groupe de lycéens. Ils ne viennent pas des mêmes milieux sociaux, n'aspirent pas au même avenir, ne pratiquent pas les mêmes loisirs mais se cherchent et cherchent l'âme soeur.

Une écriture juste pour cerner ces caractères et sentiments.
Commenter  J’apprécie          20
Pseudo

Je ne connaissais d’Ella Balaert que La lettre déchirée, roman souvent proposé aux ados dans les collèges.

Là nous avons un roman qui décortique les habitudes prises avec les pseudos, ce que l’on veut dévoiler, ce que l’on cache. L’auteur analyse finement l’impact sur les uns et les autres de ces conversations masquées.

Pas un récit à proprement parler, mais l’histoire se fait au fur et à mesure des mails échangés, entre les trois femmes et avec Ulysse. Il y a un peu de cruauté dans ce jeu du chat et de la souris, ou plutôt des souris…

Une belle mise en garde au final sur les faux-semblants que peut créer le virtuel, fût-ce pour échapper à la solitude.

Roman résolument moderne dans sa forme et très profond dans l’analyse, et que j’ai beaucoup aimé.


Lien : http://lespassionsdelaura.ov..
Commenter  J’apprécie          50
Pseudo

Dans cette réflexion sur notre époque et ses nouveaux comportements, sur l'identité et la virtualité mais aussi sur l'ultra-moderne solitude, Ella Balaert frappe fort avec la distance qu'elle réussit à créer. L'auteur est derrière, comme un chef d'orchestre, on l'imagine cachée, mais elle ne s'immisce jamais dans le texte. Elle ne dit rien et nous laisse face à l'histoire qui se débobine parfaitement, au fil des mails.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
Commenter  J’apprécie          20
Mary pirate

Une réflexion sur la quête d'identité (femme/homme), sur la question du double.



Très fin
Commenter  J’apprécie          10
Pseudo

Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur Ella Balaert de m'avoir gentiment envoyé son roman.



Ce livre a été pour moi une très bonne découverte. Je n'ai pas l'habitude de lire des romans épistolaires et ce fut une très bonne expérience que je retenterais bien.



Pseudo est un échange de mail entre Jeanne, Sophie et Alice et entre Eva et Ulysse. Elles vont créer à eux trois, un pseudo sous le nom d'Eva et c'est elle qui va échanger des mails avec Ulysse. A travers ces mails, on découvre que leurs amitiés n'est pas sincère et on va pouvoir voir ce que les échanges entre Eva et Ulysse va causer dans leurs vies et amitiés.



L'histoire est bien écrite, on se pose beaucoup de questions sur les personnages, sur leurs vies. Il y a eu beaucoup de rebondissements qui se sont enchaînés pendant ma lecture. La fin répond à nos questions et on voit comment les personnages finissent.



Les personnages sont mystérieux, tout d'abord on se demande qui est Ulysse, est-ce Jeanne, Alice, Sophie, un proche ou un inconnu ? Petit à petit on va en apprendre plus sur ces personnages, leurs changements d'attitudes. Beaucoup de tensions vont ce créer entre elles, puisque qu'elles ont toutes les trois un caractère différents et il est tout difficile d'être d'accord sur un point.



En conclusion, n'importe qui peut se cacher derrière un pseudo, et il ne faut faire confiance à personne sur internet et surtout savoir séparer le réel et le virtuel.
Lien : http://rever-en-lisant.blogs..
Commenter  J’apprécie          10
La lettre déchirée

C'est l'histoire de Stéphane, 13 ans, qui redouble sa sixième. Il ne rêve que d'embarquer comme marin, dès qu'il en aura l'âge. Ce roman dévoile les stratégies et les astuces de Stéphane pour cacher à ses professeurs et sa famille qu'il ne sait pas lire. La souffrance de cet adolescent est poignante. Mais néanmoins je n'ai pas été captivé par cette histoire.

C'est vrai que le style d'écriture est simple et compréhensible, mais l'histoire ne m'a pas

captivé.
Lien : http://lecturesdejoana.blogs..
Commenter  J’apprécie          20
Quand on a 17 ans

Lecture jeune, n°124 - Une classe de première : Jennifer, Clara et Théo, Valentine et Audrey, Guillaume, Camille, Alex et les autres. Ces adolescents rêvent de vêtements griffés ou s’oublient dans les mondes violents des jeux vidéo. Ils illustrent, en apparence, le célèbre vers de Rimbaud : « On n’est pas sérieux quand on a 17 ans ». En réalité, ils cherchent leur place et se battent pour leur avenir. Qu’ils soient fragiles ou insolents, lumineux ou effacés, ces jeunes gens sont les témoins d’une époque qui mélange gravité et futilité. Ella Balaert dresse le portrait de jeunes gens d’aujourd’hui. De septembre à juin, à chaque chapitre correspond un mois de l’année scolaire et un élève de la classe. Le narrateur omniscient s’immisce à la fois dans le quotidien et les pensées les plus intimes de ces adolescents, révélant leurs troubles, leurs désirs, leur peur de l’inconnu… Tour à tour drôle, attendrissant ou oppressant, le ton suit l’émotion des personnages. Les regards s’entrecroisent et les destins se scellent. L’écriture fluide et teintée d’oralité permet une lecture facile. Amélie Mondésir
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ella Balaert (151)Voir plus

Quiz Voir plus

Lisons avec Audrey Hepburn

Sabrina est un film réalisé par Billy Wilder en 1954. d'après la pièce de théâtre Sabrina Fair de Samuel A. Taylor, avec dans les rôles principaux Audrey Hepburn et:

Cary Grant et Danny Kaye
Humphrey Bogart et William Holden
James Stewart et Gregory Peck

12 questions
39 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}