jolie histoire ....
des mails échangés entre trois copines,qui montent un bateau en se faisant passé pour "Eva" une personne à elle trois:Et établissent un relation épistolaire avec un certains Ulysse....
Ce livre démontre la fragilitè des liens humains,des mensonges et des proportions que cela peut prendre émotionnellement pour des personnalités plus fragile..
la fin est triste,et brutal,je m'attendais à autre chose..
Mais Ella Balaert a fait passer un autre mèssage..
pour moi qui était la manipulation et le mensonge,peut terminer très mal..
ce livre n'a pas été un coup de coeur,et parfois je survolais les lignes...
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Un visiteur à Nohant reste seul et enfermé après les visites. C'est la marionnette Pierre Balandard qui va lui faire visiter la maison et le refuge de Sand. Il va lui faire vivre son enfance, sa vie de femme et d'écrivain. Ce roman est un voyage à travers l'époque de Sand, et toute personne qui a visité Nohant dit toujours que cette maison est imprégnée d'elle. Une visite s'impose donc dans ce lieu emblématique.
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J'ai eu du mal avec la lecture de ce roman. Une écriture un peu trop poétique à mon goût et beaucoup de détails et d'images inutiles ont fini par m'ennuyer quelque peu.
Cependant, l'histoire en elle même, celle de cette femme pirate Mary Read est assez intéressante, mais je préfère passer par d'autres lectures plus fluide ou documenté pour en savoir plus.
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Tout commence avec une annonce pour un meuble en acajou. La très mondaine Sophie propose à Alice, accro au poker, et Jeanne, romantique mélomane, d’entamer un petit jeu de séduction avec un antiquaire mystérieux. Les trois amies créent le personnage d’Eva et se lancent avec plaisir dans une correspondance électronique badine avec Ulysse, leur mystérieux interlocuteur. « Les mots flirtent. Parfois même sans que nous y prenions part. » (p. 145) À noter que Sophie et Alice voulaient surtout tirer Jeanne d’un état d’esprit chagrin dû à une rupture. Les trois femmes mettent un peu d’elles-mêmes dans ce personnage et c’est à trois voix qu’elles répondent à Ulysse. Tout cela n’est qu’un jeu, n’est-ce pas ? « De toute façon, on ne passera pas à l’acte, n’est-ce pas ? Moi, ce qui m’importe, c’est son esprit, pas son corps, d’ailleurs voué à l’immatérialité. » (p. 26) Un jeu, vraiment ? Comme dans toute relation, il y a forcément un moment où l’un s’investit plus que l’autre et c’est là que naît la souffrance.
D’une part, il y a les mails que s’échangent les amies pour créer le personnage d’Eva. D’autre part, il y a les échanges électroniques entre Eva et Ulysse. Mais un troisième discours se met en place, à la fois intrinsèque et déconnecté du premier, celui où deux femmes parlent entre elles de la troisième, pas toujours en bien, l’exclue étant souvent jugée coupable. Forcément, la tension monte et l’amitié tendre qui a présidé à la création d’Eva se crispe. Les masques tombent et l’on découvre un peu du quotidien de chacune des trois femmes et de leurs douleurs.
Comment ne pas penser aux liaisons dangereuses ? Plume ou clavier, l’effet est le même. Il y a des êtres qui font de l’échange une arme pour blesser. Jeux de mail, jeux de vilaines. La dissimulation est souvent la meilleure façon de révéler ce que l’on est – pire –, ce que l’on cache. « L’artifice est souvent plus proche de la vérité. » (p. 28) Alors que le principe d’un roman épistolaire électronique pouvait laisser supposer une œuvre niaise pour trentenaires/quarantenaires futiles, Pseudo est bien moins anodin qu’il n’y paraît au premier coup d’œil. Sans révolutionner l’étude des relations humaines, Ella Balaert met en lumière ce que j’appelle par expérience la méchanceté de l’amitié. Ou quand vos amis savent mieux que vous ce qui vous sera profitable…
J’ai rapidement compris une des révélations finales, mais la toute dernière phrase (Résistez à l’envie de la lire pour vivre le même coup de massue que moi !) remet en perspective toute l’intrigue, au point que je suis revenue à la première page pour être certaine que mes yeux ne m’avaient pas trompée. Servi par un style leste et entraîné, ce roman se lit avec beaucoup d’intérêt et de plaisir, forcément un peu pervers.
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Découvert au hasard d'une bibliothèque, "Pseudo" est une belle rencontre. D'abord celle d'une amitié entre 3 femmes, ensuite celle entre "Eva" (pseudo des 3 femmes) et Ulysse, par échange de mails interposés. Un jeu de séduction s'installe entre "Eva" et Ulysse, et petit à petit nous entrons dans l'univers de chacune des filles. Une écriture fine et incisive au service d'un sujet du quotidien... ce roman est un petit bijou !
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J'ai vraiment adoré l'idée des petites nouvelles on a pleins de personnages à qui s'identifier, et on peut en aimer certain, en detester d'autres..
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Un livre un peu décevant... Assez prenant au début, la questions du genre est présente. L'émancipation de la femme, plus ou moins imposée est intéressante. Néanmoins, l'écriture agréable nous laisse attendre quelque chose qui ne vient pas. Un moment agréable de lecture un peu gâché...
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Ces chapitres qui sont autant de petites nouvelles abordent de différents points de vue la vie d'un groupe de lycéens. Ils ne viennent pas des mêmes milieux sociaux, n'aspirent pas au même avenir, ne pratiquent pas les mêmes loisirs mais se cherchent et cherchent l'âme soeur.
Une écriture juste pour cerner ces caractères et sentiments.
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Une réflexion sur la quête d'identité (femme/homme), sur la question du double.
Très fin
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Lecture jeune, n°124 - Une classe de première : Jennifer, Clara et Théo, Valentine et Audrey, Guillaume, Camille, Alex et les autres. Ces adolescents rêvent de vêtements griffés ou s’oublient dans les mondes violents des jeux vidéo. Ils illustrent, en apparence, le célèbre vers de Rimbaud : « On n’est pas sérieux quand on a 17 ans ». En réalité, ils cherchent leur place et se battent pour leur avenir. Qu’ils soient fragiles ou insolents, lumineux ou effacés, ces jeunes gens sont les témoins d’une époque qui mélange gravité et futilité. Ella Balaert dresse le portrait de jeunes gens d’aujourd’hui. De septembre à juin, à chaque chapitre correspond un mois de l’année scolaire et un élève de la classe. Le narrateur omniscient s’immisce à la fois dans le quotidien et les pensées les plus intimes de ces adolescents, révélant leurs troubles, leurs désirs, leur peur de l’inconnu… Tour à tour drôle, attendrissant ou oppressant, le ton suit l’émotion des personnages. Les regards s’entrecroisent et les destins se scellent. L’écriture fluide et teintée d’oralité permet une lecture facile. Amélie Mondésir
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