Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Long Island , le 16/03/1949
Biographie :
Auteur-compositeur-interprète, musicien et écrivain américain.
Elliott Murphy a été salué dès son premier album "Aquashow" (1973). Il s'est installé à Paris en 1989. La trentaine d'albums qu'il a enregistrés constitue, à côté de celles de Bob Dylan ou de Neil Young, une des œuvres les plus riches du rock américain.
Elliott Murphy enregistre en 1973 chez Polydor son premier album, Aquashow pour lequel il est accompagné par un groupe de folk-rock dont fait partie son frère Matthew Murphy à la basse.
Le disque est suivi de trois albums Lost Generation (1975), Night Lights (1976) et Just a Story From America (1977). Ces albums ne rencontrent toutefois pas le succès escompté auprès du grand public.
Il signe chez New Rose Records en 1985 avec l’album Milwaukee produit par Jerry Harrison du groupe Talking Heads.
De nombreux disques enrichissent sa discographie dans les années 1980 et 1990, dont 12 (1990), où figure la chanson Something like Steve Mc Queen, et Selling The Gold (1995) dans lequel Bruce Springsteen, son vieil ami, l'accompagne, dans les chœurs, sur un titre.
Le public américain semblant peu réceptif à sa musique, Elliott Murphy s’expatrie à Paris en 1989. Il y vit depuis, avec sa femme et son fils. Il est rejoint en 1996 par le guitariste français Olivier Durand (ex Little Bob Story). Elliott Murphy enchaine depuis les albums : Beauregard (1998), String Of Storm (2003) et Coming Home Again (2007).
Elliott Murphy et par ailleurs poète et romancier (Poetic Justice). Jadis publié de manière fragmentaire sous le titre de "Cold & Electric", "Marty May" est son premier roman, traduit en français en 2013 par Christophe Mercier.
- Ce soir? demanda-t-elle à très haute voix.
Le groupe s'était arrêté, mais ça ne l'empêcha pas de commencer à chanter "Tonight's the night". Je fixais le plafond quand je l'entendis murmurer "Spread your wings and let me comme inside". Alors je me sentis désolé pour elle, et aussi pour Rod Stewart, à cause de ce qu'elle faisait subir à sa chanson.
"-Quand on le connaît, c'est un homme fascinant."
Je n'aime pas les hommes fascinants. Les femmes fascinantes, d'accord ; mais pas les hommes. C'est ce qu'on dit des dictateurs d'Amérique centrale. Qu'ils sont impitoyables et fascinants.