Quand j'étais petit, je voulais devenir vétérinaire. J'adorais les bestioles, et à part deux ou trois cabots qui m'avaient lâchement croqué les mollets par-derrière, les animaux m'aimaient bien. Je récupérais tous les oiseaux malades, même en phase terminale, et je leur faisait avaler de l'aspirine, sans avoir aucune notion des doses toxiques. Peu ont survécu !