Mais c'est là surtout que ce grand surréaliste s'affranchit de tout réalisme pour trouver son véritable monde personnel, qu'il décrit avec enthousiasme : "Animaux monstrueux et animaux angéliques. Arbres avec des oreilles et des yeux.
Exprimer précisément toutes les étincelles d'or de notre âme.
Qui est l'auteur de ces lignes : "C’était le sabot de Cosette. Cosette, avec cette touchante confiance des enfants qui peut être trompée toujours sans se décourager jamais, avait mis, elle aussi, son sabot dans la cheminée"