Psychiatre, donc foncièrement insoumis, il soignera désormais les malades et non la maladie, privilégiera l'écoute sur l'examen, et préférera le langage de l'âme à celui des organes : autant dire qu'à son insu il deviendra médecin, c'est à dire juge de paix, confident et accompagnateur infatigable des causes perdues.