Emmanuel Viau

Nous sommes sur terre pour poser notre/nos petite pierre(s)
Sans faire trop de mal, c'est difficile
Et le rêve, c'est essentiel.

François Deschesne (très vieille connaissance)

-Pourquoi sommes-nous les derniers, toi et moi, à rester normaux? demanda l'adolescente.
-Peut-être parce que les dragons et les princesses sont immunisés contre le ridicule, mon amie, répondit le vieux chef.

"À quatre mètres, Eude-Grégoire songea que finalement, vouloir être chevalier n'était pas une bonne idée.Il lâcha sa lance.Trop tard.A trois mètres, la lance du guerrier du Nord le toucha près de l'épaules.La douleur fut vive mais la réaction d'Eude-Gregoire plus prompte encore."
Ce passage me plais beaucoup car notre apprenti chevalier voulais abandonné son tournoi, car il n'avait pas envie de savoir ce qu'il allait rester de lui.Mais en voulant abandonné, il lance sa lance et toucha son adversaire près de l'épaule, la douleur fut vive.Et sens le savoir Eude-Grégoire avait gagné son tournoi.


Maïté Hirtz 5e1

Il est beau et fort et son armure rutile d'étincelles brillantes comme des étoiles. Son cheval galope face au vent dont le souffle fait danser crinière et bannière.

La démone des batailles:
"Seul l'amour des humains la repoussaient "
J'aime cette citation car elle est simple mais ça nous donne envie de rêver. Et je pense que nous ne pouvons rien faire sans rêver.
Douceline.K

Propose six histoires courtes qui tournent autour d'un même thème, dans six genres littéraires différents : policier, humour, science-fiction, "sentiments", fantastique, fait divers ou histoire vécue.

Sur la terre, sous les arbres,
Entre roches et gouffre,
La rivière va.
Sous la terre, sous le soleil,
Parmi monts et villages,
La rivière va.
Dans la pierre, dans la nuit,
L’eau file, court, s’enfuit, jamais ne s’arrête,
Et la rivière va, sans fin.

« Oui, tout va bien », pensait l’adolescente en regagnant la tête de son groupe. Tout allait bien, sauf qu’ils ne venaient de nulle part et qu’ils n’allaient nulle part. Tessa aurait voulu se sentir aussi confiante que ses sujets.

"N'écoute plus les ragots ! le maréchal est un fidèle, il te l'a si souvent prouvé! Redonne-lui ta confiance! En tout cas, tu sembles plus heureux quand il était là…" car elle montre tout ce que Guillaume à apporté à Henri le jeune, et même Geoffroy, le frère d'Henri peut le témoigner.

Duchmann Emilie 5e2

" N'écoute plus les ragots ! Le maréchal est un fidèle, il te l'a prouvé ! Redonne-lui ta confiance ! En tout cas, tu sembles plus heureux quand il était là…" car elle montre tout ce que Guillaume à apporté à Henri le jeune, et que même Geoffroy, le frère d'Henri, peut le témoigner.

La sautait on que j'ai bien aimé est "N'es-tu pas las de ta vie d'errance" car c'est un bonheur universel, la finalité de chaque vie
Axelle.W

~Seul l'amour des humains la repoussaient~cette situation montre à quel point l'amour d'un humain est fort et peut repousser certaines personnes

Manon.E

Alors que les étoiles s'allumaient par grappes au-dessus de leur feu, Sonny et le barbare devisèrent, commençant par échanger leurs impressions de course et finissant par se raconter leur vie.
Plus tard, tandis que Bododa retraçait un de ses nombreux exploits auprès de femmes extraordinaires, Sonny s'endormit sans s'en rendre compte, la tête posée sur la fabuleuse épaule de son compagnon.

Après un moment de doute et d'inquiétude, Sorgûr, le capitaine des Gobelins, se mit à exulter. Sa récente alliance avec les corbeaux du fleuve n'avait pas tardé à se révéler fructueuse. C'étaient eux qui l'avaient prévenu de la présence d'étrangers sur la plage. Sans les corbeaux, les Gobelins seraient passés à quelques kilomètres en ignorant qu'ils y avait là une belle réserve d'esclaves qui leur tendait les bras.

D'arbres en arbres, elles vont
Depuis que les arbres sont.
Elles s'étendent le jour,
Tissent entre les branches,
Ondoient dans la brume.
Elles grandissent dans la nuit,
Et rampent sous les racines.
Grands et beaux sont ses bois;
Ses ravines demeurent obscures, pourtant.
Prends garde au matin
Dans la foret des Ombres,
Qu'au soir elle ne devienne pas ta tombe