C'est ainsi dans trois brèves fictions, plus lointaines, qu'on lit ce que vous pensez de nous, au regard de ce que nous faisons à la terre, aux bêtes et donc à nous-mêmes. Disant peu, vous avez déjà tout dit de ce nous sépare des animaux. Et vous ne semblez pas nous aimer beaucoup.
Les êtres humains y sont présentés comme la plus grande menace jamais portée par la terre pour les autres êtres vivants. "Prélude de Pan", "La Grande Barrière" et "Destruction de Paris" sont tous trois écrits au tout début des années trente. (p.105)