Emmanuelle Zicot

C’est à un joli voyage que nous convie Emmanuelle Zicot, auteur et illustratrice. En une trentaine de pages, on part à la découverte d’une étonnante espèce, les orques. Les orques qui vivent parfois en famille, qui communiquent par clics et grincements, qui dorment dans l’eau, qui chassent et qui vivent en plus ou moins bonne harmonie avec l’homme.



Une aventure qui met surtout les sens en éveil. L’impression de les entendre, la sensation de les avoir à portée de main, de pouvoir les toucher et ainsi caresser leur peau humide et froide, autant de sensations omniprésentes à la lecture.



Et que dire du festival de couleurs offert par les illustrations, aussi simples que lumineuses. Un camaïeu de verts, du vert d’eau au vert émeraude. Des dégradés de bleus, du bleu océan au bleu nuit. Des couchers de soleil, du violet sombre au rose clair en passant par l’orange pourpré. Un subtil nuancier qu’on croirait issu d’une pierre d’opale…



La postface instructive de Christophe Guinet achèvera de vous convaincre d’être du voyage Avec les orques d’Emmanuelle Zicot, dépaysement garanti pour les grands et les petits.


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De belles illustrations et une belle histoire qui explique bien que dans les pays désertiques la pluie est une nécessité.



La pluie est vitale car sans elle les animaux et les végétaux ne peuvent pas survivre.



La fin est heureuse et les enfants aiment cela

Un très joli album pour faire découvrir l'océan et ses habitants aux petits. De très belles illustrations accompagnent le récit et les notes techniques qui définissent les animaux marins en fin d'ouvrage sont un petit plus appréciable.

La naissance et les premiers mois d'un bébé dauphin.

Ses découvertes, accompagné et protégé par sa maman : les autres grands mammifère marins, poissons, pieuvre et tortue et, en s'approchant de la côte, les oiseaux de mer et les humains.

En fin d'album, deux pages d'informations sur les animaux rencontrés par le jeune dauphin.

A partir de 5 ans.

En mer Rouge, un récif coralien sur lequel une épave de grand bateau s'est posée.

C'est ce jardin sous-marin que cet album nous invite à explorer. Les poissons tropicaux colorés aux ballets lents et gracieux, les requins, une murène, un mérou, une tortue, les algues, les anémones, les coraux et les coquillages, tout cela dans le décor étrange du bateau, peu à peu disparaissant sous les concrétions du corail.

Une double page "Pour en savoir plus" en fin d'album.

A partir de 5 ans.

Un très bel album que voici entre mes mains.



L'on explore le monde marin en compagnie de bébé Dauphin, qui vient de naître. Sa maman veut lui présenter un ami et l'emmène donc à sa suite à travers les eaux bleues, à la rencontre de... Je vous laisse le soin de le découvrir, même si le suspens n'est pas intolérable.



Cette pérégrination nous amène à faire la connaissance de différentes espèces animales liées au monde marin (mais toutes ne vivent pas sous l'eau). On en apprend notamment beaucoup sur la vie des dauphins alors même qu'on pensait bien les connaître ! Les illustrations, dans les tons bleus, sont très réalistes, très belles et n'ont pas besoin du texte pour exister.



Ce documentaire-romancé (c'est moche mais je n'ai pas trouvé meilleure façon de définir cet ouvrage) est tout indiqué pour les enfants dès 5 ans : en plus du plaisir de se faire lire l'histoire, les enfants auront également le plaisir d'apprendre. Et la dernière double-page, riche en explications plus poussées sur les différents animaux croisés au fil des pages, permettra aux parents d'aller plus loin dans la lecture et de glisser de ci de là quelques infos supplémentaires à leurs bambins.

Avec les orques est un livre pour enfant sur les orques, leur mode de vie.



À travers une histoire romancée et imaginaire, nous suivons la vie d'une famille d'orques. Nous apprenons beaucoup de choses sur ces mammifères marins, ce livre est vraiment plaisant à lire. Mais ce sont surtout ses illustrations qui sont incroyables de majesté et de beauté, apportant une tendresse que l'on ressent au sein de ce clan de cétacés.
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Le koala a peu de prédateurs. Son ennemi principal est l'homme. Comme c'est un animal lent qui mise sur sa discrétion, en s'immobilisant pour échapper au danger, il est facile à attraper. Les premiers habitants aborigènes de l'Australie le chassaient pour sa viande, mais, comme ils étaient peu nombreux, ils attrapaient peu de koalas, jusque-là, l'espèce n'était pas menacée. Tout a changé à l’arrivée des Européens, au début du XIX e siècle. Très chassé pour sa fourrure, qui finissait en manteau, le koala a failli disparaître au début du XX e siècle. Heureusement, les Australiens se sont préoccupés à temps de son sort. Sa chasse a été interdite, il a été complétement protégé, mis à l'abri dans des réserves, si bien que les koalas sont de nouveau nombreux aujourd'hui.