Citations de Ena L. (184)
J'espère que t'aime les pipes. Ok on laisse tombé le thé! Mesdames, oui, vous pouvez crier au scandale, mon attitude est tout a fait indigne d'un gentleman ! mais je reste un mec... et romantique ou pas, il y a des mots magiques auxquels les hommes ne peuvent pas résister. Surtout des hommes abstinents depuis plus de deux mois !
J'ai toujours aimé les formes des femmes, les silhouettes prononcées, les tailles généreuses, mais aucunes de ces beautés ne m'a fait autant d'effet que ce corps ci: brut, dur, puissant. Le corps d'un homme. Jamais je n'ai eu autant envie de quelqu'un;
J’ai oublié l’ensemble des sentiments négatifs à son égard, il ne reste que ce musicien à l’âme extra large qui me donne une leçon d’émotions, une leçon de musique. Il n’a jamais été aussi beau et fascinant que maintenant.
- C'est là où tu te trompes. Jared est plus que quelqu'un avec qui j'ai vécu pendant des années. S'il représente mon univers tout entier, ce n'est pas uniquement parce que je n'ai pas de famille, c'est parce qu'il est spécial à mes yeux. Quand il est là, je suis complet. Il comble chaque espace vide de mon coeur, comme s'il savait exactement où chaque chose avait sa place. Il n'y a que dans ses bras que je me sens chez moi.
Même si je suis terrorisé à l'idée d'être trahi, je suis bien plus terrorisé encore à l'idée de rater une occasion d'être aimé.
A cet instant, sa beauté me frappe, elle me tord les boyaux, m'écorche les veines ; je ne savais même pas qu'il existait quelque chose d'aussi magnifique dans ce monde où tout est voilé, dangereux et abîmé.
Il n’y a rien de pire que ceux qui passent leur vie à regretter ou à être nostalgiques. C’est maintenant qu’il faut profiter de ton existence, pas demain, encore moins hier ; il faut bouffer le bonheur, pas le grignoter comme un putain de gourmet !
« Être libre, ça ne signifie rien quand on n’a personne avec qui le partager. Être vivant, ça n’a aucune valeur quand les gens que vous aimez ne répondent plus à vos battements de cœur. »
Le plus grand problème de ce monde, c’est le silence.
Ce silence qui consent l’intolérance, la haine, les disparités entre les peuples, la lente agonie de la planète, et le pouvoir sans limite des leaders et des banques.
Ce silence tantôt lâche, tantôt désespéré, qui laisse croire que le monde tel qu’il est vous convient.
Si vous avez peur de crier à l’injustice, murmurez-la.
Chuchotez, encore et encore ; ne vous arrêtez que les lorsque les murmures auront formé suffisamment de bruit pour qu’on perçoive votre désaccord.
Vos murmures seront le salut de nos générations futures.
Il est temps que je me présente : Milan Andersen. Ma mère m’a appelé ainsi en l’honneur de la ville où elle a passé ses années d’étudiante (j’ai volontairement omis certains passages dérangeants de son récit, mais apparemment, elle s’y est beaucoup BEAUCOUP amusée). Heureusement qu’elle n’a pas profité de sa liberté sexuelle à l’université de Dunkerque.
Bref, j’ai dépassé le cap des vingt ans depuis six ans, je suis célibataire, et père de deux garçons de six et quatre ans. Vous pouvez faire le compte sur vos doigts, je les ai eus jeune. Disons que j’aurais fait n’importe quoi pour leur mère, qui a quatre ans de plus que moi, et qui m’a ensuite jeté comme une vieille chaussette pour se maquer avec un macho de première, même pas beau.
Pardon pardon, ça fait mec aigri.
Je reprends avec le sourire : mon ex et moi nous sommes séparés d’un commun accord (qui venait surtout d’elle), parce que nous n’avions plus les mêmes sentiments qu’avant (elle, surtout), et que nous avons décidé qu’il serait plus sain pour les enfants de refaire chacun notre vie de notre côté. Et même pas un mois plus tard, Floriane emménageait chez un type à l’accent marseillais pas possible, alors que quoi, merde, on habite à Bordeaux !
Lorsque tous les filaments de l’espoir se seront étiolés les uns après les autres, et que tu attendras ta délivrance dans la mort, sache que tu auras toujours un frère ou une sœur d’armes pour croire à ta place que c’est encore possible. Si tu la choisis bien, cette personne-là se battra pour toi jusqu’à ce que tu sois en paix, dans ce monde ou dans le suivant. Alors, prie pour que celui qui se trouve en ce moment à tes côtés soit le bon. Lui seul saura te trouver, là où tu te perdras.
« Je ne sais pas si cela durera. De toute façon, je vis avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Un jour, mon passé me rattrapera. Et je devrai payer. »
Tout ce qui m’agace chez lui est devenu prétexte à l’aimer encore plus.
Peut-on parler de coup de foudre quand on connait quelqu'un depuis si longtemps sans même l'avoir jamais apprécié ?
Il est comme ces feux d'artifice qui éclatent dans le ciel obscur : on est hypnotisé par son scintillement, incapable de détourner les yeux de toutes ces couleurs pourtant éblouissantes. C'est à la fois magnifique et aveuglant.
Alors, perdu dans son monde à elle, qui semble bien plus agréable que le mien, je tente d’atteindre sa voix. Au départ, c’est uniquement un moyen de la rejoindre, de ne pas être seul dans ce silence qui m’a accompagné toute ma vie ; c’est une façon de [la] toucher [...] du bout des doigts, puisqu’aucun regard ne l’atteint. Ensuite, il se passe quelque chose en moi. Quelque chose d’instinctif. Plus je crie et plus j’ai envie de pousser ma voix. Plus je hurle et plus [sa] présence [...] s’efface pour ne laisser que moi. Moi et l’infini. Moi et mon besoin de lâcher tout ce qui m’oppresse.
Le sourire qu’il arbore n’est ni triste ni fataliste, c’est un de ces francs sourires qu’on prend en plein cœur, aussi violemment qu’un coup de poing.
Le temps qui passe est le meilleur juge d’une relation naissante.
Voici ma punition divine, Sharon. Tu auras beau tout faire, depuis qu’on est enfants, pour dissimuler mon vrai visage aux yeux des autres, le Diable m’a retrouvé.
Là où je me suis perdu, je le sais maintenant, c’est en Enfer.
"Personne ne lui avait jamais dit qu'un coeur brisé pouvait faire si mal...Ce n'était pas tant la douleur physique, mais ce néant qui la recouvrait tout entière et qui lui volait ce qu'elle était, sa force, sa détermination, sa fierté."