«Claude! Reste donc tranquille une minute! s'écria François. C'est déjà bien assez que le train nous secoue comme ça, sans que tu viennes me marcher sur les pieds à chaque instant. Tu n'arrêtes pas d'aller d'une portière à l'autre pour regarder le paysage.
- Nous approchons, répondit Claude d'un air heureux. Je reconnais les prés et les champs. Bientôt, nous serons à Kernach... presque à la maison ! Je n'arrive pas à tenir en place.