Enrique Laso

Ethan Bush, profiler surdoué au FBI, est envoyé dans le Comté de Jefferson dans le Kansas. Le Shérif local a fait appel au FBI pour l'aider à confondre le responsable de l'assassinat de deux jeunes femmes, tuées de façon identique au bord d'un lac. Le début d'une série de meurtres ?

Le Shérif est convaincu qu'un troisième meurtre, commis 17 ans plus tôt dans des conditions identiques et dont le coupable n'a jamais été identifié, doit être rattaché à cette série. Le profiler et son équipe sont rapidement convaincus du contraire.

Les suspects sont nombreux, mais les éléments de preuve très rares. Les enquêteurs piétinent...



Deuxième roman de l'auteur que je lis, après Les morts ne rêvent pas, avec le même acteur principal. J'ai trouvé Les crimes bleus, le premier de la série, de meilleure qualité. L'intrigue est plus consistante, avec de bonnes idées. Elle repose sur une vraie enquête, et pas seulement sur les intuitions du profiler. Les découvertes, les rebondissements et les digressions (la vie personnel du héros) s'enchainent, donnant du rythme au roman.

Les personnages sont plein d'ambigüité, flics inclus. Même la petite équipe du FBI n'y échappe pas totalement. À une ou deux exceptions près, ils sont présentés sous un jour plutôt attachant, avant de souvent révéler d'inquiétantes zones d'ombre.

L'écriture n'a rien d'extraordinaire, ni en positif, ni en négatif. Elle est simple, et le livre se laisse lire sans difficulté. En revanche, la relecture et la correction laissent à désirer. J'ai noté de trop nombreuses fautes de français et quelques incohérences de dates assez étonnantes...



Un thriller inventif, mais une écriture qui manque de génie et de relief. Dommage !




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Nébraska. En deux mois, les restes de trois cadavres on été découverts ; des squelettes incomplets, toujours disposés de la même façon.

La police de l'État fait appel au FBI et Ethan Bush, un profiler très doué, est dépêché auprès d'elle. Mais le jeune homme n'aime travailler qu'avec son équipe, et sa collaboration avec les policiers locaux et leurs experts, deux universitaires, un psychologue et un anthropologue spécialiste du nettoyage des os, n'est pas des plus fluides.



Reconnaissons l'originalité du point de départ de l'intrigue ; drôle de tueur en série ! L'enquête est ensuite pimentée par la personnalité urticante du profiler, jusqu'à la découverte, un peu fortuite, du coupable. Si l'on peut réellement parler d'enquête, tant elle semble totalement pilotée par les intuitions du profiler et du psychologue... On sait que le FBI peut faire des miracles, mais, là, cela semble trop.

Pour ce qui concerne les personnages, on est ballotté entre deux camps : les policiers locaux, méthodiques et un peu balourds, et les intellectuels dont les neurones font avancer l'enquête. L'interaction avec la presse est esquissée mais n'est pas approfondie.

L'écriture n'a rien d'exceptionnel ou d'original ; elle est simple et facile à lire. Le roman est bien rythmé, ce qui facilite encore la lecture. Le choix de faire du personnage central le narrateur, de longues années après les faits, interroge : qu'est-ce que cela apporte et quelle est l'intention de l'auteur ?

Finalement, que retient on ? Les motivations du tueur et la personnalité du profiler ? C'est assez peu, et décevant.




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Bouquin du hasard, heureux parfois comme ici dans ce choix

ou terriblement cruel dans ce destin, condamnation à perpétuité



Je ne connaissais absolument pas cet auteur qui écrit sous divers pseudonymes, coach dans une vie, maître es horrific's stories dans une autre.



Ce que j'ai aimé ici, tout simple me glisser le temps d'une lecture dans la peau de Camille et avoir ainsi l'occasion d'approcher de plus près une femme artiste, sculptrice, précurseure (le spelling check me met erreur mais quel est donc le féminin de précurseur ?), névrosée, le féminin existe, surprise.



Une femme de talent en avance sur son temps qui voulait se libérer de tout carcan et créer, être reconnue, aimée, une Femme Et une Artiste.

Camille, sculptrice, élève et amante de Rodin, cherchait à se faire un nom, à atteindre la célébrité et le prestige dans un monde d'hommes (fin du XIXe siècle).

Manque de chance pour elle, en avance sur son temps, criant misère puisqu'aucune commande ne lui était faite, elle se fait enfermer à la mort de son père en 1913 par une famille aimante, c'était pour son bien ! Rappelez-vous aussi qui était son frère - Paul



"Tous ces dons merveilleux que la Nature lui avait répartis n'ont servi qu'à faire son malheur. »

- Paul Claudel -



Même si médecins et proches admettent qu'elle n'est pas folle, elle va quand même y rester 30 ans ! contre sa volonté, jusqu'à sa mort.

Même les pires criminels ne sont pas frappés de peines aussi longues et cruelles.



Camille dans le gouffre raconte donc l'histoire de cette femme, de cette artiste dont l'existence fut marquée par la fatalité, celle d'être femme, artiste, libre-penseuse, .... du point de vue du Directeur de l'asile d'aliénés où elle était internée.



À travers un journal de bord, Edouard relate les années de réclusion de Camille et les siennes aussi, ils étaient finalement tous deux enfermés au même endroit mais pas avec les mêmes droits.



Avec Edouard donc, nous sommes devenus proches à force de nous rencontrer chaque semaine où je le supplie de me laisser sortir, avec sa culpabilité, avec son amour pour l'oeuvre de la sculptrice, pour la femme Camille déjà vieillissante mais dont les yeux s'éclairaient encore de temps en temps des lueurs de l'enfance et du temps de ses espérances, j'ai fait la connaissance d'une artiste et d'Edouard, intimes nous sommes devenus. [ça, c'est pour voir si certains suivent ]



C'est un récit cruel marqué aussi par les temps obscurs du régime de Vichy: des milliers d'internés sont morts de faim et de froid pendant cette période, pendant ces années de guerre. Ceux classés en seconde et troisième classe, oubliés de tous et dont la famille n'assurait plus le minimum vital: chauffage, nourriture, soins.



Art, passion, culpabilité, folie et génie se donnent la main tout au long de ce roman. C'est l'auteur qui le dit





Scénario:

Camille dans le gouffre est un journal de bord.

Les mots chargés de culpabilité de son auteur, le directeur du centre d'aliénés de Montdevergues Édouard Faret, nous permettent de nous rapprocher pour mieux comprendre la vie de Camille Claudel, une femme exceptionnelle et une sculptrice sans égal.



Auteur:

Enrique Laso n'avait que huit ans quand il commença à écrire. Très vite, il finit son premier long récit : Roca. Il a depuis écrit une trentaine de romans, recueils de poésie ou de nouvelles, mais une partie seulement a pour l'instant vu le jour. Il a gagné de nombreux prix tout au long de sa carrière littéraire, mais n'avait plus écrit pour des raisons personnelles depuis presque dix ans, jusqu'en 2005, où il renoue avec sa passion à laquelle il se voue désormais corps et âme.



Parution langue originale, 2015, Babelcube Inc. Ed.

https://www.fnac.com/ia3309395/Enrique-Laso#ID7662802, ebook only !



- on ira tous au paradis, même moi; les anges n'ont pas de sexe, heureusement, l'enfer serait un peu étroit pour toutes et le paradis bien monotone sans elles -



- Achat 2021 -

L’auteur ne traine pas en longueur et autant dire que c’est brutal dès le départ !



La femme et la fille de Carlos, sont mortes dans un accident de voiture. Il reçoit un appel de sa fille pour la sauver… De l’enfer….



Sa culpabilité est telle, qu’il décide d’en apprendre plus sur celle qu’il connaissait peu, à cause de ses horaires de travail…. Il va reconstituer le passé, en proie à des zones sombres…



Il pensait découvrir, sa petite fille, une enfant gentille et paisible… Il va aller de découverte en découverte, au point de perdre toutes ses illusions sur son enfant… Il va découvrir des secrets, des non-dits… Il va plonger dans l’horreur inimaginable…



Un intrigue horrifique, qui va ébranler sa foi et sa vie… Sa santé mentale va défaillir…



L’auteur, Enrique Laso, réussi à transmettre chaque émotion de Carlos, le lecteur ressent sa douleur, ses interrogations et son malaise dans les passages les plus glauques… Un peu, comme lorsqu’on est devant un film d’horreur, dont on ne voudrait pas découvrir certaines scènes…



Ne vous attendez pas à quelque chose comme l’Exorciste, parce que l’intrigue est beaucoup plus complexe et machiavélique. Quand vous pensez que tout est clair, l’auteur vous retourne le cerveau et fait basculer les choses, histoire de vous tenir en haleine jusqu’à la fin.

Cette deuxième partie est bien meilleure, puisque le lecteur est directement immergé dans l’horreur.



Nous sommes confrontés de plus près au diable et entités sombres, c’est vraiment superbe et bien écrit !



L’intrigue continue à se dérouler en approfondissant ce qui se passe dans le premier livre, tout en lui donnant du corps et surtout une dimension beaucoup plus sombre et horrifique !



La traduction est vraiment faite avec talent, l’interaction avec les personnages est vraiment superbe. L’auteur leur a donné du corps et un sens, en les rendant proches du lecteur, qui ne peut ressentir de l’empathie pour eux…



Une fin digne des grands noms de l’horreur avec une ouverture, qui laisse présager une possible suite. C’est court mais c’est tellement bien écrit qu’on en plein ses mirettes, comme si on était devant un excellent film d’horreur…



Je comprends pourquoi le film a été adapté au ciné…

Je viens de découvrir Ethan Bush, le profileur du FBI, bardé de diplômes, qui a le melon et le fait savoir.

Le personnage bien que brillant dans l'établissement de profils est odieux, inconstant, frimeur et tout ce que l'on imagine à l'avenant.

Il traite de haut ses collègues, Tom, Liz et Mark , même s'il reconnait avoir besoin d'eux, pour faire tourner son cerveau top niveau.

Lorsque son patron Pete Wharton lui demande de se mettre à disposition de la police de Lincoln (Nebraska), il renacle. Lui qui ne supporte que le chaud soleil de Californie ne s'imagine pas vivre à des températures proches ou sous le zéro, et voir tomber de la neige...

De plus, Pete lui refuse d'emmener son équipe et lui demande de respecter la hiérarchie locale.

Le chef Cooper semble être un flic tout droit sorti des séries policières des années 1970. Pour Ethan, c'est ringard et compagnie.

L'affaire le passionne pourtant. Mais il veut la traiter à sa manière. Sans lire les rapports des bouseux, en réitérant toutes les procédures, les interrogatoires et les coups foireux.

Un tueur sévit dans les alentours de Lincoln, à Omaha plus précisément et s'en prend à des jeunes femmes de vingt-deux ans, en délicatesse avec leur famille et désireuses de maternité.

Très vite, Ethan progresse mais se met à dos la plupart des flics locaux. Comme lors de ses affaires précédentes apprends on. A Kansas city notamment...

Des personnages récurrents, outres ses coéquipiers, comme la journaliste Clarice Brown apparaissent au cours du récit.

Enrique Laso, en choisissant un personnage clivant donne une coloration particulière au déroulement de l'enquête.

Celle-ci est relativement classique et respecte les standards dela traque d'un tueur en série.

Rituel, trophées, provocations, messages dissimulés sur les scènes de crime, recours à la police scientifique, analyse de symboles religieux et ou sataniques...

Mais, ce qui retient l'attention c'est la façon dont Ethan mène l'enquête et braque la police locale.

"Ils voulaient que j'assiste à une réunio mais je m'en suis tiré avec une excuse bidon..." dit Ethan à son collègue Tom

"Je me demande si vous ne nous utilisez qu'à votre convenance." Il fallait que je vous dise le fonds de ma pensée, grommela Philips, les yeux baissés."

Une belle découverte de hasrds que celle d'Enriqué Laso, jeune auteur espagnol à découvrir pour les amateurs.

Mon prochain, est son roman en deux volumes Les crimes bleus, qui traite de l'affaire de Kansas City..


Lien : https://camalonga.wordpress...

Enfin un profiler du FBI qui ne fait pas le super héros...

Il a des failles et beaucoup de failles... Cette enquête ne l'arrange pas.

Livre bien mené mais ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Cela manque de suspens pour moi.

Pour ma part, c'est un policier qui manque "de saveur": je n'ai pas ressenti le suspens qui vous tient en haleine, tout au long de l'enquête.

C'est un peu superficiel, un peu fade à mon goût.

J'ai lu....mais sans trop de conviction: j'attendais à tout moment un semblant de rebondissement palpitant....mais bon!

Disons que je qualifie de "gentille " enquête relatée avec une écriture simple.

Un voyage dans l’Amérique profonde du Kansas, celle des petites villes où tout le monde se connait, voit tout et parfois ne dit rien. Des endroits où il ne se passe rien, sauf lorsque deux jeunes filles sont retrouvées assassinées. Deux scènes de crime, deux modes opératoires similaires et par-dessus tout, une étonnante et inquiétante similitude avec un autre crime commis dans la région une vingtaine d’années plus tôt. La police locale est chargée de l’affaire mais elle est secondée par Ethan Busch, un jeune prodige du FBI qui a su se faire remarquer par ses talents de profiler.

On suit au plus près l’évolution de cette enquête grâce à la voix narrative qui n’est rien d’autre que celle d’Ethan le protagoniste principal. Une stratégie intéressante et assez réussie pour nous plonger dans une atmosphère de polar américain. Néanmoins l’auteur a, à mon avis, trop forcé les traits de son personnage. Trop de mea culpa sur son caractère complexe et peu amène parfois, des digressions personnelles qui n’apportent pas d’éléments véritablement constructifs à l’enquête et ralentissent même sa progression. Cela, finalement, ternit l’empathie que l’on devrait ressentir pour ce personnage.

Heureusement l’ambiguïté des protagonistes secondaires, les chapitres courts et bien construits permettent de maintenir un certain rythme dans la lecture. De même que faire le choix de la narration à la première personne nous aide à suivre le cheminement de la réflexion d’Ethan, ses doutes et ses difficultés à collaborer parfois avec les autorités locales, apportant ainsi une tonalité intéressante.

Pour conclure je dirai que ce roman à l’écriture simple nous plonge dans un thriller classique mais qui manque quelque peu de relief. La lecture en reste néanmoins agréable, même si l’on en sort pas le souffle coupé.

Je viens de découvrir cet auteur de polar( espagnol, ce n'est pas courant). Sans me laisser des souvenirs impérissables, il m'a fait passer un bon moment et m'a intéressée par certains aspects. Notamment, même si c'est plus fréquent maintenant dans la littérature policière mondiale, Ethan Bush, expert en analyse comportementale du FBI , tranche avec la vision du super-héros donnée dans les romans et/ou films. Alors, certes, il n'est pas vraiment sur le terrain, il dit d'ailleurs lui-même qu'il a un travail facile, un confortable travail de bureau.

J'explique: avec peu voire pas de contacts avec les scènes de crimes, les proches des victimes, il n'assiste pas non plus aux interrogatoires, du moins pour les cas qu'il traite dans les grandes villes. Que fait-il alors? Il étudie des dossiers. Pas de violence donc, mais de la réflexion. Le lecteur suit le cheminement de sa pensée; modeste d'une certaine façon, il fait régulièrement son mea culpa, en particulier à propos de son caractère.

Son écriture fluide rend la lecture agréable et facile; c'est le second de ses romans que je lis et cela ne m'a pas déplu; j'ai quand même constaté quelques similitudes entre les deux, mais de là à dire que tous ses romans se ressemblent, comme j'ai pu le lire, je ne me prononce pas à ce jour.

C'est pas mal ! C'est le 1er livre d'Enrique LASO que je découvre.

Cinq jeunes filles sont retrouvées mortes dans le Montana depuis 2015 selon un rituel précis et une mise en scène particulière.

On a envie de savoir le déroulement de l'enquête . Qui est le coupable ?

En 2017, Ethan BUSH, agent du FBI et expert de l'analyse Comportementale est envoyé auprès de l'équipe policière chargée d'élucider le dernier meurtre commis, afin d'empêcher un nouveau crime. En effet, le temps est compté.

Mais au final, il n'y a pas de retournement de situation, pas de surprise en quelque sorte.

Pour le coup, on ne se fait pas berner par l'auteur.

On partage toutes les découvertes en même temps que l'enquêteur qui a sélectionné plusieurs suspects et qui en élimine au fur et à mesure.

Comme c'est le tome 7 de la saga qui semble avoir un certain succès, il y a des clins d'œil et des références à ses enquêtes précédentes que je ne connaissais pas et que je n'ai pas pu apprécier comme il se doit.

Par curiosité, je veux lire les 1ers qui ont fait le succès de l'auteur et voir si je comprends mieux le personnage avec son parcours professionnel et son passé personnel.

À suivre...

Un bon polar, plein de doutes, d'errances, d'humains...,mortes ou vifs

Dans ce dernier volet de cette duologie, nous retrouvons les personnages secondaires du tome 1 qui sont le père Salas, Elena la parapsychologue et le père de Carlos puisqu’à la fin du tome 1 nous apprenons que Carlos est en enfer et qu’il a besoin de leur aide.



Nous découvrons pourquoi dans le tome 1 Laura, la fille de Carlos, a été envoyé en enfer, l’idée est plutôt bonne, c’est cohérent. Ils doivent donc sauver les âmes de Laura et Carlos, ce qui est dangereux pour la vie du Père Salas, j’ai eu peur pour lui. Mais finalement, nous ne voyons pas la confrontation, ce qui est très dommage !



Certains passages d’horreur sont décrits tellement rapidement qu’il est difficile de ressentir des frissons de peur. Toutefois, le suspense est toujours au rendez-vous, ce qui donne envie de poursuivre la lecture.



La fin, bien qu’elle soit prévisible, est la meilleure selon moi pour garder cet effet d’horreur en nous laissant un excellent suspense. Toutefois pas de tome 3 à priori. En revanche, j’ai découvert que l’auteur avait écrit un roman sur Père Salas avant la duologie Depuis l’enfer, notamment les raisons qui l’ont poussé à s’enfuir du Mexique. En effet, le personnage en fait mention dans Depuis l’enfer sans s’attarder sur ces fameuses raisons justement.



Pour conclure, j’ai assez bien aimé cette fin même si certains passages auraient pu être amélioré pour donner un meilleur effet d’horreur. Si l’occasion s’offre à moi, je lirai d’autres romans de cet auteur.
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C est un peu repetitif comme recit, comme ambiance, personnages.

Au bout de 100 pages je m ennuie et j ai l impression de relire le livre précédent !

Suspens rondement mené, un flic original, c'est bien écrit

Lu entre le 24 et le 26 mai 2018

Mouais bof, ca manque un peu de profondeur sur certaines descriptions de personnages mais c’est mon premier livre de cet auteur et peut etre qu’il y a des personnages reccurrents qui seront decrits au fur et a mesure des autres livres...

A retenter peut etre...

Ce court roman est le tome 1 d’une duologie et a reçu de très bonnes critiques. Le sujet m’intéressant et le prix attrayant, il a rejoint rapidement ma pile à lire. Il m’intriguait tellement que je n’ai pas attendu avant de le choisir comme prochaine lecture. Et je n’en suis pas déçue !



On démarre l’histoire avec Carlos qui vient de perdre sa femme et sa fille dans un accident de la route. L’auteur décrit très bien la peine de Carlos, on s’attache vite à ce personnage rongé par le deuil et la culpabilité. En effet, ce père de famille se consacrait beaucoup à son travail au détriment de sa famille. C’est donc trop tard que Carlos découvre que sa fille avait des comportements bizarres et morbides. Il apprend que celle-ci croyait que des démons voulaient l’emmener en enfer. Et lorsque Carlos entend sa fille l’appeler depuis l’enfer à travers son radioréveil, il ne sait pas si c’est réel ou un début de folie.



Ce roman est bien écrit et sans longueurs (tant mieux car il ne fait que 118 pages). De plus, les chapitres sont courts et le texte est aéré, ce qui facilite la lecture. Le suspense à est son comble ! A chaque fin de chapitre, j’étais bouche bée et je voulais toujours en savoir plus. C’était addictif.



Pour conclure, un bon roman court et addictif avec un très bon suspense. Peu de scènes d’horreur en revanche ou très softs. Une fin légèrement prévisible mais qui annonce la couleur du 2e tome ! On a très envie de découvrir la suite.
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Une super histoire qui nous tient en haleine tout le long, les chapitres sont très courts et on veut connaître la suite. Je viens d'acheter la suite pour pouvoir frissonner encore avec ces personnages fort attachants. L'écriture est fluide et on ne peut lâcher cette histoire qui nous entraine au bout de l'enfer.