La méditation de Serge, mélancolique et lumineuse, chargée du poids de la défaite, était inspirée par l’expérience de la révolution, de la guerre civile et du goulag. Trotski, de son coté, y percevait les vestiges d’un humanisme tombé dans les tranchées de la Grande Guerre et enterré par un nouvel âge de tensions et de conflits.