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Critiques de Eric Clapton (6)
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Clapton par Eric Clapton

J'ai trouvé cette autobiographie d'une franchise désarmante. Clapton y fait montre d'une grande humilité et aborde sans trop de retenue les ravages causés par son alcoolisme et sa toxicomanie. En même temps on y apprend beaucoup sur son amour de la musique et ses liens avec d'autres musiciens célèbres, sans tomber dans le potinage, ni les règlements de compte. Bref un ouvrage intéressant.
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Clapton par Eric Clapton

Toute la vie de Clapton , et elle n' est pas encore fini, d' ou il vient, comment il y est arrivé, toutes ces étapes, ces "blues", ces hauts, ces bas, ces chutes, ces dérives, ces abus de toute sorte, ces influences, ces références, ces "femmes", ces amis, ces ..... . Toute ça vie quoi .
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Eric Clapton: Unplugged (Guitar Recorded Ve..

Un grand moment pour les admirateurs d'Eric Clapton, une légende de la guitare et du blues. La guitare accoustique rend parfaitement les sonorités liées au blues et les solos de guitare s'enchaînent donnant aux amateurs de cet instrument l'envie, à leur tour, d'approcher la technique du maître grâce à ce livre de tablatures.
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Clapton par Eric Clapton

God électrique



Dark Vador : "je suis ton père"...Déjà là, c'est rude.

Alors imaginez un peu : "Eric, je suis ton grand père !"



Eh oui, la biographie commence par un premier coup de théâtre pour le jeune Eric Clapp : il découvre que ses parents sont en fait...ses grands parents. Suite à cette révélation pour le moins traumatisante, il se réfugie dans la musique, l'alcool et la névrose et se fait appeler Peter Green...



Ah, ben tiens ,non.

En fait, pour se réconforter pendant cette période un peu compliquée, le jeune Eric découvre la musique et surtout Buddy Holly et s'exerce à jouer la version blues (déjà) d'une chanson folk : Scarlett Ribbons. Puis c'est la plongée dans le blues (Muddy Waters, John Lee Hooker, B.B. King, Freddie King etc. et bien sûr, Robert Johnson), les filles et l'alcool.



Le temps du succès arrive avec son intégration au sein des Yardbirds, qu'il quitte au moment de "For your love", quand il sent que son intégrité bluesy est compromise. Tout le monde sait bien sûr qu'il sera remplacé par Jeff Beck et Jimmy Page (pour mon autre héros de la 6 cordes -Gilmour- c'était un peu tôt et Roy Buchanan n'était quand même pas vraiment sexy).



Pour en revenir à EC, il rejoint en 1966 le "père" du british blues John Mayall et ses Bluesbreakers. Sa légende s'amplifie tant que le groupe produit un album "John Mayall and the BluesBreakers with Eric Clapton" et que les graffitis "Clapton is God" fleurissent un peu partout (il semblerait après enquête, que cette affirmation soit un peu exagérée. Mouaiiis. Pas sûr...).



Cette fois, EC commence à se sentir à l'étroit et il part fonder le groupe Cream avec Jack Bruce et Ginger Baker. Résultat : le meilleur groupe imparfait de l'histoire du rock, des succès, des prises de têtes et des prises d'autres choses. EC passe à mon goût, un peu rapidement sur cette période qui l'aura quand même vu selon moi, produire ses meilleurs soli sur trois albums.



Nouvelle période trouble avec participation au formidable Blind Faith, puis Derek & The Dominos avec les musiciens de Delaney § Bonnie. C'est la sortie de son album le plus célèbre, "Layla...", hommage à Pattie Boyd, la femme de son ami George Harrison, dont il est amoureux (pourquoi faire simple ?).



Les années suivantes sont jalonnées de disques, "461 Ocean Bvd" (influence Marley), "Slowhand" (influence JJ Cale), de drogues et de beuveries, de succès (I Shot The Sheriff, Cocaïne) et d'échecs.



Le style laid back qu'il va adopter se met en place et le livre évoque alors les années de vie plus ou moins rangée, les disques des années 80 (où il complimente -assez étrangement pour quelqu'un qui a joué avec autant de monstres de feeling, le jeu de Phil Collins), la désintoxication, le terrible drame qui inspira "Tears in Heaven" (la perte accidentelle de son fils), ses démêlés sentimentaux (passages assez cocasses) avec la Carla B désormais bien connue (passer de Clapton à Jagger, puis à Bertignac...mais où s'arrêtera t'elle ? Non ?!).



Aujourd'hui, on a l'impression qu'EC est enfin apaisé.



Bien sûr, les fans auraient aimé davantage de précisions ici ou là, des développements plus poussés sur telle ou telle période, mais il faut reconnaître que le tout est bougrement lucide, honnête au point d'exposer les dimensions parfois peu glorieuses du bonhomme et qu'il met constamment en relief l'incroyable modestie de celui qui est sans doute le plus grand, justement parce qu'il ne le croit pas.
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Clapton par Eric Clapton

Un beau récit de vie, à lire pour fêter l'anniversaire de Monsieur Clapton, 70 ans le 30 mars !
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Clapton par Eric Clapton

Je ne suis pas fan du tout d'Eric Clapton, le seul lien que j'ai c'est l'écoute (forcée au départ puis enthousiaste encore maintenant) de son album 461 Océan Boulevard, chef d'oeuvre de retenue et de simplicité.

J'aime me plonger dans la vie d'un grand musicien, on y voit défiler le siècle, c'est souvent passionnant; la vie de Clapton est en 3 temps.



Les débuts avec les Yardbirds, Cream, Blind Faith, Derek and the Dominos. On découvre un musicien humble à l'enfance cabossée. J'aurais aimé qu'il parle de sa pratique de la guitare, comment il a progressé au point de devenir une référence, c'est peu évoqué, dommage.

Ensuite, il se noie dans l'alcool et les drogues, vit des relations conjugales toxiques et produit des albums de moins en moins intéressants.

Puis vient la rédemption, la sobriété (tant mieux pour lui!) et là, les 100 dernières pages sont à l'image des disques qu'il sort depuis les années 90: soporifiques, quant ce n'est pas indigne (les albums avec Phil Collins!!?).



Clapton c'est un peu le Claude François de la guitare; beaucoup de reprises, très peu de compo personnelles (avec des chefs d'oeuvre; Layla, son Magnolia forever...).

Vivement l'autobiographie de Robert Smith!
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