Même s'il se sent toujours européen, l'Amérique s'imprime profondément dans la mémoire et l'imaginaire de Julian, comme un film qu'il déroulera au ralenti à travers différentes œuvres, mais, à la fin de l'année universitaire 1922, soudain il décide de rentrer en Europe. Si aux Etats-Unis il rêvait de Paris, à Paris il rêve d'être en Virginie. Il vit au naturel le dédoublement qui sera une constante dans son œuvre.