Il commençait à perdre patience. Il était fatigué de ses jérémiades. Il cessa bientôt de se maîtriser.
- Vous essayez de vous consoler avec un Max imaginaire, dit-il, mais ce Max là n'a jamais existé. C'était un homme violent dénué de scrupules. Vous ne connaissez rien de sa vie. Vous l'idéalisez et vous attribuez à sa femme tous les péchés. A vous entendre, on croirait que c'est vous la veuve. Pardonnez-moi, mais je crois que je n'ai rien à ajouter. Arrêtez de geindre, faites votre deuil et oubliez Claire Mataguez. Elle a assez souffert comme çà.
- Jamais, je ....