D'en haut, la ville n'est plus la même.
L'éloignement transforme les gens en microbes, les véhicules en fourmis. Et le vent souffle toujours fort, joue à s'entortiller dans mes vêtements, à empoigner mes cheveux. Rien ne l'arrête, il ne se blesse pas aux angles. Il vit sa vie de vent. Il fonce tête baissé. Il siffle.