Eric Van Lustbader

J'ai lu quelques nouvelles mais pas toutes. J'ai emprunté ce livre dans la petite bibliothèque où je travaille, un peu par hasard. Je ne suis pas un fan des polars, loin de là. Mais certaines de ces nouvelles ne me passionnent pas du tout, d'autres un peu plus. Dans l'ensemble, je reste un peu sur ma faim. Peut-être n'était-ce pas le bon moment ? je réessaierai plus tard.

On ne cesse de s’en réjouir que le héros mythique de Robert Ludlum ait survécu au décès de son créateur survenu en 2001. Jason Bourne est toujours paré des multiples qualités nécessairement attribuées aux agents secrets: sensible mais pas mièvre, intelligent, humble, beau et terriblement mystérieux. Une pointe d’humour british ne nuirait pas à son portrait – mais en littérature comme dans la vie, on ne peut pas tout avoir.

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Les écrivains s’inspirant des manuscrits d’auteurs défunts n’ont pas la tache facile car ils subissent immanquablement la comparaison avec l’original. Eric Van Lustbader passe avec succès l’examen de “copycat”, exercice de style d’autant plus frustrant pour un écrivain que les lecteurs ne lui accordent que peu de crédit. Ce qu’ils veulent, c’est du Robert Ludlum : Le Danger dans la peau en a le goût, l’odeur et la couleur, mission accomplie pour Eric Van Lustbader.

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Amour, trahison, terrorisme, meurtres, sociopathes et mafia russe : Le Danger dans la peau – La sanction de Bourne réunit efficacement les ingrédients d’un bon polar, auxquels s’ajoutent une grosse pincée de psychologie (voire de psychiatrie) qui pimente allègrement l’intrigue. En cherchant bien, on pourrait reprocher des dialogues omniprésents et surnuméraires, qui plombent quelque peu le rythme. Évidemment, quand les protagonistes passent leur temps à parler, c’est autant de fusillades et de courses poursuites qu’ils ne font pas. Mais ce serait chipoter. Sans crier au génie, on peut objectivement affirmer que Le Danger dans la peau est un thriller captivant à l’intrigue rondement menée – même pour une lectrice difficile à contenter.
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Mon prmier roman lu de cet auteur, un livre trouvé sur un rayon de la FNAC pendant mes années étudiantes de la fin des années 80, attiré par le titre car les Ninja me fascinaient et furent à l'origine de mon intèret pour le Japon.

Je n'ai pas été déçu, c'est même le plus interessant de la série (même si la miko n'est pas mal j'avoue)

On y parle des Ninja, du Japon d'hier et d'aujourd'hui. Une façon ludique d'en apprendre beaucoup sur les différence entre occident et Asie. Le héro étant mi japonais, mi américain, fils d'un homme qui cotoyait Mc Arthur au sortir de la guerre quand le japon se reconstruisait.

Une intrigue, des meurtres, des affaires louches (à la frontière de Largo Winch pour le milieu des affaires ou il évolue) des policiers et..des Ninja (mais assez réalistes ceux là rien à voir avec les films de hong kong)

Mon premier Eric Van Lustbader ne me laisse pas le souvenir d’une belle rencontre. Avec Le ninja c’est plutôt une histoire BOF, rien de spécial. Quelques notions sur le Ninjutsu.

Ce n’est pas du Ludlum. Mais c’est du Bourne. Efficace. Intéressant. Divertissant. Bien écrit. Je suis agréablement surpris de ce roman. J’adore Ludlum et je craignais de lire une des nombreuses suite à Bourne.



J’ai aimé découvrir l’ennemi Arkadine. Un personnage qui a rendu l’histoire très intéressante. Bref je le recommande.

Quatorze ans après, Eric van Lustbader reprend le flambeau de Robert Ludlum et écrit une suite à la mythique trilogie Jason Bourne. Si ce roman est un ton en dessous de l'oeuvre originelle, il n'en demeure pas moins un thriller efficace et agréable.

je n'ai pas lu les livres de ludlum mais ayant beaucoup aimé les films, je me suis dit qu'une suite faisait toujours plaisir. Je n'ai pas été déçue. C'est un bon livre. Il y a un bon rythme, on ne s'ennuie pas même si on a du mal au départ à remettre le héros dans le contexte des livres et pas des films. Jason Bourne est un peu plus vieux et moins surprenant que dans mon souvenir. Par contre, il va avoir affaire à un tueur qui lui ressemble beaucoup et leur confrontation est le fil rouge du roman.

Bonne lecture, sans prétention. On est quand même pas dans la fan fiction mais c'est pas non plus le roman de l'année.

Après les films, je me suis délecté de ce livre rempli de suspens! Jason n'a rien perdu de son agileté. J'ai bien hâte de voir le films tiré de ce livre!

Ce n’est pas du Ludlum. mais la question, est-ce du Bourne? à mon avis, oui et non. Oui dans le sens que le personnage est bien rendu. Mais non dans le sens que le personnage est plus un super héros qu’un super espion. On y retrouve Bourne, Soraya et Lindros. Par contre pour moi c’est beaucoup trop d’invraisemblances pour être du Ludlum. maximum 3,5/5. et ça parce que je suis un fan du genre seulement

Un bon roman policier fidèle au canevas de la serie Jason Bourne un beau roman bien arrangé, ave dur ythme des rebondissement et surtout de l'action: A devorer pour les amateurs !

Eric Van Lustbader est un écrivain américain de thriller et de fantasy. Il livre avec Tableau de famille une belle histoire d’amour sur fond de corruption et lutte de pouvoir dans un cadre familial mafieux.



Le lecteur est rapidement immergé dans la sphère artistique du personnage principal, qui menant une vie sociale décousue, se réfugie dans le travail pour exister. Son existence lui réussit plutôt bien puisque sa réputation n’est plus à faire quand il s’agit d’authentifier un tableau de maître.



L’auteur avec ce récit capte le lecteur en alliant romance et polar, le contexte mafieux donne de la tension au récit, les péripéties s’enchainent vite et laissent place peu à peu à un jeu de dupes. Bien que l’histoire soit relativement courte, moins de 100 pages, elle réunit tous les ingrédients pour vous rappeler que l’homosexualité n’est pas envisageable dans une famille aux valeurs « dites traditionnelles » et que la cupidité peut vous conduire aux plus grandes bassesses humaines.



J’ai apprécié cette lecture, ni trop descriptive, ni trop fleur bleue ; elle m’a immergé dans un monde de l’art qui me fait rêver et me conforte dans l’idée que la vie est courte et qu’il faut donc en savourer chaque seconde.


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Mon roman fétiche, celui qui a le plus impacté mes lectures suivantes.

J'ai découvert ce roman il y a plus de 20 ans et je l'ai lu et relu tant l'écriture et l'intrigue m'ont fasciné.

Lusbader y décrit une atmosphère lourde et malsaine, un personnage atypique et noir dont l'enfance a été bercé par les arts martiaux et qui devra payé le prix d'un passé qu'il croyait à jamais enterré.

L'histoire alterne élégamment le passé et le présent avec des flash back qui vont s'entrecroiser jusqu'à l'épilogue du roman.

Ce roman est porté par la volonté de démystifier les ninjas tout en leur donnant une connotations à part.

Un livre dans lequel se plonger. Si vous aimez les intrigues, les noirceurs des personnages, la violence des combats et de certaines situations et la découverte d'un japon haut en couleur, entrez dans ce livre emprunt de concepts tel que l'honneur et la vengeance.

Un pavé à lire absolument

La meilleure comparaison que je puisse faire avec ce livre est probablement de le présenter comme étant du calibre d'un bon film d'action.



J'ai vu plusieurs personnes critiquer le réalisme des péripéties et être déranger par ceux-ci. Si vous êtes pointilleux sur les détails et voulez lire un livre très terre à terre, ce n'est pas un bon choix. Je me suis alors dit que ce n'était certainement pas le genre de personne qui aime Mission Impossible ou James Bond, pourtant, le box office semble leur avoir rendu justice. Cependant, si vous aimez décrocher et embarquer dans une course folle comme Jason Bourne est habitué de faire. Je vous considère plus à risque d'avoir du plaisir en lisant ce roman.



C'est un roman qui se lit aisément et qui ne cesse de bouger. Vous voulez de l'action? En voilà! Comme je disais plus haut, ce n'est pas une histoire qui réinvente quoi que ce soit mais quelque fois suivre un espion dans son combat contre le terrorisme fait du bien. En tous cas, pour moi, c'est le cas.



Bonne lecture à tous!

Un roman d'espionnage qui ne fait que conforter la place au box office concernant la trilogie cinématographique Jason Bourne.

Un livre bien ficelé ou l'agent double Bourne endosse une nouvelle mission. Ce dernier plaira forcement aux inconditionnels de la saga dans la peau.

très bon livre,à lire absolument

L'histoire commence et se termine à Trébizonde en Turquie.

Mais, entre le début et la fin du récit, pas moins de 600 ans séparent ces deux instants. Tout au long du livre, on assiste à l'affrontement entre deux "factions" chrétiennes : les Chevaliers de Saint Clément du Sacré-Coeur et l'Ordre d'Observance Gnostique.

Les premiers cherchant cupidement à s'emparer de ce que les autres ont religieusement protégé et caché pendant des siècles : le Testament du Christ!...

Donc, pour raconter cette "guerre", l'auteur nous fait partager la quête initiatique de Braverman Shaw.


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Un recueil au thème intéressant mais qui m'a laissée une impression mitigée."Cambriolages en cours" n'est pas très prenant en dépit d'une bonne idée de départ. "Les sandales rouges" d'Edna Buchanan est plutôt réussie. Le thème d'obsession est bien traité et l'histoire bien menée. "Le fusil à deux canons" m'a plu aussi. L'histoire est amusante et racontée sous un angle bien trouvé. "Fissure" est glaçant mais excellent dans son genre et répond aussi parfaitement au thème. "Braise" est plein d'ironie réjouissante mais peut-être pas aussi percutant que d'autres textes. "Il aboyait aux papillons" est court mais génial dans sa conception, son traitement de l'obsession et la chute. "Chienne de vie" est le plus marquant obsessionnellement parlant et le plus réussi dans son traitement mais un peu trop sombre. Je n'ai pas du tout aimé "la truie au Mexique" et 'L'homme aux chiens" beaucoup trop glauques et complexes. "Nous Richard" d'Elizabeth George est très intéressant pour les amoureux d'histoire dont je suis et la chute est sublime d'ironie. "L'invitation au bal" est extrêmement prenant et addictif malgré une légère frustration finale. "Héroïsme" d'Anne Perry est un petit bijou noir sur toile de fond de la première guerre mondiale. L'analyse des sentiments est pleine de finesse. "La partie coupable" de Shiel Silverstein est assez réussi dans sa chute mais un peu trop glauque à mon goût. Je n'ai pas réussi à finir les deux autres nouvelles. En résumé un recueil qui ne manque pas d’intérêt mais qui a suscité des textes pas toujours du meilleur goût. Le traitement du thème est assez inégal.

Ici on est en plein thriller entre intrigue politique, intrigue financière et plongee dans le monde asiatique et ses coutumes : le tout forme un roman tres agreable malgre quelques longueurs evitables et l'histoire se découvre avec un reel plaisir :cet auteur a du talent et son livre se lit tres bien,bref un bon livre a decouvrir.

Un tres bon livre retranscrit au cinéma dans la veine des autres livres de la serie j'ai adoré de l'action,du suspense des rebondissement un excellent polar à devorer !

Un petit polar bien ficelé qui tourne autour d'une oeuvre d'art méconnue et d'une experte en peinture, Tess. Une petite intrigue saphique pour couronner le tout. C'est plaisant et vite lu.