Un homme pouvait certes s’adresser à une marieuse pour lui faire savoir qu’une jeune femme lui plaisait mais, en fin de compte, c’était toujours l’entremetteuse qui décidait si les deux candidats au mariage devaient être unis. Le plus souvent, les époux ne savaient presque rien l’un de l’autre avant la cérémonie. Pour le futur couple, partir de zéro était considéré comme de bon augure.