Quand elle en sortit elle vit que Georgette était sur un banc, devant la porte avec Jo sur ses genoux : elle jouait avec l’enfant lui faisait des agaceries, le faisait sauter, le berçait.
Madeleine s’approcha mordue de jalousie. Le petit tendit les bras vers elle en criant : Nêne ! Nêne !
Mais Georgette méchamment : C’est moi, ta Nêne mon petit…Embrasse-la, ta Nêne… Il ne faut pas appeler celle-ci Nêne, voyons !
En une seconde, Madeleine fut sur elle, hérissée de colère; sans rien dire, d’une pression de sa main forte, elle dénoua les mains de l’autre, et l’enfant suspendu à son cou, entra dans la maison.