Gina posa sa main sur le bras de Jean, et ce geste révéla au jeune homme que les images de la vie se déplaçaient lentement, que le balancier quittait son point d'équilibre pour se mettre en mouvement, que le protégé se muait en protecteur, le guidé en guide, que la mère allait s'arrêter à la limite que les Karsten avaient atteinte en elle et que c'était à lui maintenant d'assumer le fardeau, de le porter jusqu'à l'endroit où celui qui lui succéderait l'en déchargerait à son tour (page 254).