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Critiques de Esther Freud (31)
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La maison mer

Deux époques, deux histoires parallèles, deux couples confrontés au sentiment amoureux… et on se laisse entraîner par le rythme des chapitres intercalés, bercé par la sensualité de la nature, de la mer, des mouettes, du vent et de la pluie.



Les personnages attachants, fragiles et sensibles, la simplicité de la vie à la campagne et des petits gestes du quotidien, la nostalgie et les souvenirs douloureux entremêlés, la beauté de la correspondance qui soutient sans cesse l’histoire sans jamais l’alourdir, les indices distillés par petites touches…tout est fait pour maintenir la curiosité du lecteur jusqu’aux dernières pages.



On referme le livre avec regret et mélancolie, en se promettant de visiter le Suffolk et de se mettre à l’aquarelle !

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La bonne étoile

C’est le jour de la rentrée pour Nell, Dan et Charlie : ils ont réussi leur audition pour la première année de la très prestigieuse Drama Arts de Londres. Si le théâtre est leur vocation première, ils y apprendront, encadrés par des professeurs sans pitié, comment se mouler dans un rôle, comment être et non pas jouer un personnage, ou évoluer sur scène avec justesse. L’entrée à l’école d’arts n’est bien sûr que la première étape de leur périple vers les planches : ils doivent encore passer en classe supérieure, sachant d’entrée de jeu que tous les reçus en première année n’y parviendront pas, assumer les frais de tous les jours, puis, au sortir de l’école, se faire connaitre, trouver un agent pour les y aider, être au top dans des auditions pour lesquelles ils ont bien peu de chances d’être retenus… sans compter que la vie court, avec ses amitiés, ses déceptions, les familles qui comprennent souvent peu les exigences liées à ces vocations. Il y a beaucoup d’appelés, mais lesquels seront élus ?



Esther Freud, petite-fille du célèbre psychanalyste, fille du peintre Lucian, ex-actrice et épouse d’acteur, nous propose de suivre de 1992 à 2006 ces graines de comédiens. Le livre est divisé en trois parties, dont chaque chapitre propose le point de vue original de l’un des trois héros à un moment donné de sa vie. Avec elle, nous partageons leurs craintes, leurs espoirs, leurs attentes, leurs déceptions.

C’est une comédie douce-amère, portée par une écriture fluide, qui immerge facilement le lecteur dans le quotidien des personnages et est souvent d’une très belle justesse et non dénuée d’humour.



A la recherche de leur bonne étoile, ces personnages semblent nous questionner sur le sens de la vie, ses illusions, les choix à faire et à assumer, le bonheur. Chacun aura ses moments de gloire, de frustration, de colère, et au final, certains trouveront leur voie. Il manque toutefois à l’ouvrage un peu de fantaisie, d’originalité dans le traitement du sujet, pour en faire plus qu’un moment de lecture agréable mais assez vite oublié une fois le livre fermé.

A noter la jolie illustration de l’ouvrage, qui ne suffit pas à compenser un quatrième de couverture qui en dit long sur la fin !
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La maison mer

Avec un titre comme celui-ci, on ne peut qu’être sceptique au début. Puis on est intrigué par les personnages, et les changements d’époque : les années 1950 alternent avec les années 2000.

Après-guerre. Max est peintre. À la suite du décès de sa sœur, il part se ressourcer à Steerborough, et entreprend une œuvre colossale : peindre toutes les maisons du village. Il fait la rencontre de Klaus Lehmann, célèbre architecte juif ayant fui les nazis, et de sa femme, la très belle Elsa.

Début du XXIe siècle. Lily vient d’arriver à Steerborough. Son couple se délite peu à peu, et cette pause lui a semblé nécessaire tant pour mettre un peu de distance avec Nick que pour se consacrer à sa thèse sur Lehmann. Elle a d’ailleurs en sa possession les lettres que l’architecte envoyait à sa femme lors de leurs séparations ponctuelles dues à son travail. Mais cette correspondance cache bien plus de choses qu’elle ne le croit…



Dans ce récit, pas un des personnages n’est bien dans sa peau. Tous ont soit des faits à se reprocher, soit un malaise diffus qui rend le lecteur assez mal à l’aise. S’ajoute à cela l’omniprésence de la mer, une étendue froide qui peut se révéler dangereuse. De temps en temps, le soleil fait une timide percée, mais ça n’est pas suffisant pour réchauffer l’atmosphère. La surdité de Max donne l’impression, quand Esther Freud en fait son personnage principal, de l’isoler encore plus dans son mal-être.



En bref, un texte que je ne regrette pas d’avoir lu malgré mon scepticisme initial, et qui, grâce notamment à la belle plume de l’auteur, mérite d’être découvert.
Lien : https://therewillbebooks.wor..
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La bonne étoile

Aujourd'hui je vais vous présenter un livre de circonstance en ces temps d'effervescence marqués entre autres par le Festival du film de Cannes. Dans le livre d'Esther Freud, le sujet principal se joue aussi sur scène à travers le théâtre. Le cinéma n'est jamais bien loin avec des passerelles qu'empruntent sans cesse les protagonistes de cette histoire. Il y a Nell, la rondouillarde qui n'a pas franchement les critères esthétiques qu'on attend d'une vedette. Ensuite il y a Charlie, la sublime métisse qui a tout pour elle puisqu'elle est talentueuse et convoitée. Enfin il y a Dan dont l'obsession sera de jouer Hamlet par défi mais aussi pour séduire l'indépendante Jemma.



Le récit se découpe en trois parties : 1992-1994, 1995-2000, 2003-2006, chacune suivant à tour de rôle les personnages dans leur évolution de carrière, dans leurs déboires, dans leurs démarches auprès de leurs agents. Hum, je ne dois pas être assez branchée ni assez ouverte d'esprit pour trouver cela passionnant ! Bien que la narration soit fluide, que l'alternance des points de vue rendent le récit dynamique, je me suis assez ennuyée, dans l'ensemble, à la lecture de cet ouvrage. Esther Freud qui est elle-même une ex-actrice et femme d'acteur est bien placée pour évoquer les coulisses du cinéma - elle le fait d'ailleurs avec brio, en évoquant tant les ascensions que les chutes - mais elle n'est pas parvenue à m'intéresser à ce monde inconnu, qui me parait toujours superficiel et surfait. Je n'ai pas de particulier reproche à formuler si ce n'est que le sujet, bien qu'accrocheur, doit au minimum s'adresser à des curieux du septième art. J'avoue être cinéphile mais me ficher éperdument de l'envers du décor, de la relative fragilité sur laquelle tient la réputation de ces acteurs amateurs sortis de la Drama Arts. Même si le livre avait été autobiographique, il m'aurait laissé tout aussi indifférente.

Alors, oui je l'ai lu de bout en bout, j'ai suivi parfois avec curiosité certains personnages, mais il m'a manqué cette fougue, ce désir irrépressible de connaître la suite.



Certaines rencontres ne se font pas et j'ai bien le sentiment que c'est ce qui s'est produit avec cet ouvrage. Dommage car il a des attraits certains ! Mais pour moi, ce livre n'a pas été placé sous la "bonne étoile" ! Aux amateurs du genre - théâtre, cinéma, feux de la rampe et autres castings -, ne passez pas votre chemin car vous êtes en plein dedans !
Lien : http://shereads.canalblog.co..
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Nuits d'été en Toscane

"Nuit d'été en Toscane" est un roman, qui, s'il n'est pas un chef d’œuvre littéraire, est très agréable à lire, qui coule de source et vient ensoleiller notre imagination en cette période hivernale.

Dans la chaleur d'un été Italien, nous découvrons les tribulations d'une adolescente qui va plus murir en un été qu'elle ne l'a fait en dix sept années plutôt mouvementées.Ses pensées, ses doutes, ses envies nous emmènent au cœur de deux histoires d'amour qui vont autant évoluer l'une que l'autre : une relation père-fille en cours d'acquisition, et un amour de jeunesse compliqué.Malgré quelques longueurs, la narratrice nous plonge parfaitement dans son univers.Ainsi, nous (re)découvrons l'Italie sous son regard émerveillé, les joies (et les peines ...) d'un été chez des inconnus peu ordinaires, mais aussi une magnifique complicité qui ne cessera d'entrainer le lecteur jusqu’à la fin du livre.Un livre soleil et plus profond qu'il n'en à l'air, que j'ai fortement aimé.
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Nuits d'été en Toscane

Pas de véritable coups de cœur pour ce livre mais un moment agréable.

Le seul bémol c'est qu'il ne se passe pas grand chose, on vit au rythme de journées passées sous le soleil de plomb de la Toscane et des pensées de cette jeune adolescente. Malgré ça j'ai beaucoup apprécié les descriptions de Florence, Sienne et d'autres villes et paysages toscans car je l'ai lu justement en Italie.
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Nuits d'été en Toscane

En commençant ce livre, j’ai eu le sentiment qu’il s’agissait d’un roman à l’eau de rose, dans lequel je retrouverais le schéma amoureux traditionnel, appliqué à une ambiance estivale et adolescente (avec un peu d’inceste pour pimenter l’ensemble, d’après ce que j’avais compris de la quatrième de couverture ; je rassure immédiatement ceux que cela pourrait déranger, je me trompais tout à fait à propos de cette relation père-fille). J’ai progressivement compris mon erreur et ai été très agréablement surprise par ce texte, bien moins léger qu’il n’y paraît et soulevant des problématiques amoureuses assez intéressantes. Il y a une certaine lenteur – qui a déplu à ceux qui s’attendaient à un roman sentimental classique, d’après ce que j’ai pu lire sur Babelio – qui permet le déploiement de ces questions et de la psychologie de l’héroïne, Lara. Malgré la narration à la troisième personne, la perception des évènements est centrée sur son regard, et ce sont ses sentiments qui nous sont livrés. Nous assistons donc à son « éducation sentimentale » et sexuelle : en effet, sans être une jeune vierge effarouchée, l’héroïne est encore mal à l’aise avec son corps et apprendra peu à peu à se sentir mieux dans sa peau. Elle fera également connaissance avec son père, qu’elle connaît très peu, découvrant notamment des bribes de son passé. Elle sera confrontée à un autre univers social, passant d’une modeste mansarde à une société de jeunes riches oisifs. Le roman est totalement centré sur cet été italien et sur les apprentissages de Lara : cela place le lecteur dans la même situation que la jeune fille, mais m’a personnellement laissé sur ma faim. J’avais envie de poursuivre encore un peu ce voyage, d’en connaître l’après et de voir les intrigues familiales démêlées. De (trop) nombreuses questions restent en suspens à la fin du roman, c’est un peu frustrant.



Excepté ce final trop brusque – à l’image du début in medias res – et ce manque qui me reste, j’ai beaucoup aimé ce roman et être ainsi plongée dans l’ambiance toscane, grâce aux descriptions des paysages, ainsi qu’à ce rythme lent propre aux vacances et à la dolce vita. J’ai également eu envie de connaître ces personnages très secrets, à défaut de m’attacher véritablement à ces « riches qui s’ennuient ».
Lien : http://minoualu.blogspot.be/..
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Nuits d'été en Toscane

Il m'est difficile de dire si j'ai aimé ou pas ce livre... D'un côté, c'est dépaysant et il est agréable de se laisser emporter par la beauté de la Toscane. D'un autre côté, le récit est par certain moment mou voire anesthésiant. Si au début il est facile de se laisser bercer au rythme des journées de vacances de l'héroïne, 400 pages c'est quand même long à ce rythme. Bref, je n'ai pas passé un moment désagréable mais ce bouqin ne me laissera pas un souvenir impérissable!
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La bonne étoile

Esther Freud n'a rien oublié de sa (modeste) carrière d'actrice. La bonne étoile sonne extrêmement juste dans sa description des études d'art dramatique jusqu'au succès pour quelques uns et l'échec fracassant pour la plupart des autres, en passant par les aléas du métier, l'attente devant le téléphone, les rôles alimentaires, les tournées théâtrales aux allures de galère, les égos surdimensionnés, sans oublier les jobs minables "en attendant". Etalée sur plus de dix ans, la narration suit plus particulièrement une poignée d'apprentis comédiens qui connaîtront des destinées variées : abandon pur et simple, vaches maigres ou opulentes. C'est assez bien vu et agencé comme un feuilleton populaire sans prétention. Le livre souffre cependant d'un style désespérément plat et d'un manque de souffle évident, aucun personnage ne sortant du lot. Un récit qui n'ennuie pas et ne passionne pas davantage. La bonne étoile est filante et ne scintille guère.
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La bonne étoile

L'histoire se propose ici de nous faire suivre le chemin de 3 acteurs / comédiens, de leur entrée dans une prestigieuse école à quelques années plus tard. Au fil de la lecture, je me suis demandée où l'auteur voulait en venir et il ne vaut mieux pas se poser la question car il n'y a pas d'autre prétexte que de montrer que la réussite peut suivre des chemins variés et connus. Ce fut donc pour moi une lecture sans intérêt : les personnages n'attirent pas particulièrement l'empathie, le contenu n'apporte pas grand chose et la langue manque de richesse. Platitude et ennui...
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Nuits d'été en Toscane

Allez je mets une étoile pour le fait qu'il fallait l'écrire mais je n'y trouve aucun intérêt. Lara part en vacances avec son père (qui ne s'est jamais trop occupé d'elle) en Toscane (pauvre petite fille riche) auprès d'une amie de son père Caroline atteinte d'un mal incurable..... et elle y découvre l'amour auprès de Kip, fils au sein d'une famille recomposée et composée d'étranges personnages. Je ne l'ai même pas fini. Aucun intérêt ou peut être dans la section "roman à l'eau de rose". Bof bof bof : comme quoi le talent n'est pas forcément dans les gênes !

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At the Pond : Swimming at the Hampstead Lad..

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec At the Pond ?

"La découverte de cet ouvrage est une combinaison de différents facteurs : j'ai adoré un recueil de nouvelles publiées par Daunt Books, je me suis donc penchée sur leurs autres publications et j'avais, de plus, envie de nature et de me téléporter à Londres, comme souvent... La couverture, plus qu'attrayante, a fini de me convaincre."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"Dans le magnifique parc de Hampstead Heath, à Londres, il existe un étang dont l'accès est exclusivement réservé aux femmes et dans lequel on peut se baigner tout au long de l'année. Ce recueil de nouvelles nous dévoile le point de vue de 14 femmes différentes sur cette expérience..."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

"Les textes, très variés, sont présentés par saison, nous rentrons donc directement dans le vif du sujet avec les baigneuses de l'hiver. Quel courage il doit falloir pour entrer dans cette eau glaciale par n'importe quel temps, quelle admiration je ne peux m'empêcher d'avoir instantanément pour ses héroïnes ordinaires. Et puis vient le printemps, l'été et enfin l'automne et chaque ambiance à ses fidèles. J'ai adoré cet ouvrage, et même si j'ai quelques préférences parmi les textes proposés, l'ensemble du livre est d'une grande qualité. Certaines nouvelles nous immergent dans l'étang, avec toutes ses odeurs et toutes ses sensations, d'autres nous font faire le tour du Monde. Certaines nous donnent envie d'y être quand d'autres nous dissuadent de vouloir y plonger ne serait-ce qu'un doigt de pied. Et tout cela avec un sentiment général de bien-être et de sororité, un vrai régal."



Et comment cela s'est-il fini ?

"J'ai refermé cet ouvrage avec l'envie irrépressible de commander au plus vite les deux autres opus de cette série : In the Garden et In the Kitchen."
Lien : http://booksaremywonderland...
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La bonne étoile

Amphigourique, plat, fade, décevant, voilà bien des qualificatifs que mérite cet ouvrage. Pas vraiment ennuyeux mais sans but, sans intérêt réel (et pourtant décrivant un milieu qui n'en manque pas, le théâtre et les acteurs). Un style télégraphique sans saveur, une trame pratiquement inexistante, une traduction plate, des coquilles et des fautes auront rapidement raison de votre volonté de vous attacher à ces personnages qui ne prennent jamais tout à fait corps dans votre esprit. Un roman probablement davantage destiné à la ménagère américaine de plus de 50 ans.
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Moi et mister Mac

Arrière-petite-fille de Sigmund et fille du peintre Lucian Freud, Esther Freud est l'auteur de huit romans, parmi lesquels Marrakech Express (1999), La Maison Mer (2006) Nuits d'été en Toscane (Albin Michel, 2009), La Bonne étoile (Albin Michel, 2012). Sélectionnée par Granta, le prestigieux magazine littéraire britannique, parmi les dix meilleurs romanciers des années 1990, Esther Freud a déjà reçu plusieurs prix et son œuvre est traduite en treize langues.



Moi et Mister Mac est un roman à l'écriture lyrique, délicate et empreinte de tendresse, qui aborde avec justesse l'art, l'amitié et la guerre. Mais c'est aussi un roman qui explore les rêves et le subconscient, et où flotte en permanence un esthétisme très raffiné, tout à fait en rapport avec le couple atypique formé par Mac et sa femme, qui tous deux appartenaient au courant artistique Arts and Crafts (qui embrassait l’architecture et les arts décoratifs et préfigurait l’Art nouveau en Écosse). Il y est donc très souvent question d'architecture, de peinture et, de manière plus générale, de l'éducation artistique du jeune Thomas, que le couple a repéré pour son joli trait de crayon.



Même si le roman d'Esther Freud a pour toile de fond l'horreur de la guerre, la violence conjugale, l'alcoolisme et la misère sociale, son récit reste doux, sensible et rassurant. On s'y balade avec nonchalance, comme délivré de toutes les contingences matérielles de la vie quotidienne. C'est une lecture apaisante dans laquelle il ne faut pas surtout pas chercher l'action et les rebondissements !



Moi et Mister Mac livre l'histoire poignante et très juste d'un adolescent, au seuil de son émancipation, qui découvre sa sensibilité artistique et ses prédispositions pour l'art et la peinture. C'est aussi l'histoire d'amitié surprenante entre un jeune garçon et un des artistes les plus brillants (et aussi les plus incompris) de son époque, Charles Rennie Mackintosh, architecte et peintre paysagiste britannique, qui fut le principal représentant de l'Art Nouveau en Écosse. Un roman aux accents biographiques que l'on réservera davantage à un public d'initiés.
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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Moi et mister Mac

C’est agréable un livre dans lequel on grignote. Et c’est original un adolescent aussi calme que Thomas : avec un roman, on peut toujours rêver.
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La bonne étoile

Ce livre fête le soixantième livre lu depuis que j'ai rejoint Babelio. La bonne étoile c'est ce qu'espèrent tous les acteurs de ce livre. Tout d'abord étudiants à une très prestigieuse école d'art dramatique puis confrontés au monde réel. Les personnages sont agréables, assez variés pour qu'on aime les suivre et l'auteur suffisamment de belle plume pour leur donner une plutôt trop bonne étoile à tous ce qui donne un livre bien plus optimiste que ce aue la quatrième de couverture laissait présager.
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Nuits d'été en Toscane

Je trouve ce livre un peu plat. Il n'y a pas vraiment d'action résolu à la fin, il se termine sans que vous ayez ressenti une émotion quelconque. Il est un peu trop en longueur, trop de descriptions par rapport aux dialogues. Un peu déçu.
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At the Pond : Swimming at the Hampstead Lad..

« At the pond » est un recueil de textes consacré au Kenwood Ladies’ Bathing Pond qui se situe sur les collines de Hampstead Heath à Londres. Plusieurs étangs y ont été creusés au 17ème siècle par la Hampstead Water Compagny pour servir de réservoirs d’eau . Trois étangs principaux sont ouverts à la baignade : un pour les hommes, un mixte et un pour les femmes, ouvert officiellement en 1925, dont parle ce livre. Quatorze écrivaines, poétesses ou essayistes proposent leur vision de ce lieu atypique au cœur de la capitale anglaise. Les textes sont classés par saisons. Ils mêlent réminiscences personnelles, réflexions sur l’histoire et l’évolution du lieu mais aussi débat sur l’actualité (l’ouverture de l’étang aux transgenres a fait débat récemment).



Ce qui est intéressant dans « At the pond », c’est la variété des points de vue (par exemple, l’une des nouvelles nous montre celui d’une surveillante de baignade alors que les autres sont toutes des nageuses), tous les âges y sont également représentés (Deborah Moggach y nage toujours à 70 ans). Cet étang pour femmes nous est montré comme un lieu unique, protégé et où la nature reprend ses droits (l’eau peut déborder en cas de fortes pluies, les étangs sont alimentés par des rivières souterraines dont la Fleet). Les femmes, qui viennent y nager, s’y sentent libres, il n’y a pas de regard masculin, pas de compétition dans l’eau. Un certain nombre de textes parle d’une communauté de nageuses, notamment celles qui viennent tout au long de l’année et qui brisent la glace en hiver avant de se plonger dans les eaux sombres de l’étang. Pour beaucoup d’entre elles, venir nager à Hampstead n’est pas seulement une question de sport ou d’exercice. La nature sauvage de l’étang les réconforte, les console, les apaise ou les divertit. C’est parfois aussi une façon de se sentir intégrée dans la ville.



Mon texte préféré du recueil est sans conteste celui de Margaret Drabble intitulé « Out of time ». Elle y raconte son enfance à Hampstead où elle vécut de 1968 jusqu’au milieu des années 90. Elle nous raconte et décrit avec une infinie délicatesse ses sensations, la nature, ses souvenirs et le plaisir qu’elle avait à rejoindre l’étang.



« At the pond » nous offre quatorze points de vue différents sur ce lieu magique et sauvage au travers des saisons. De quoi nous faire patienter en attendant de pouvoir enfin revoir Londres.



10 ans du mois anglais
Lien : https://plaisirsacultiver.com/
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La bonne étoile

Je n’ai pas été transcendée par la lecture de ce livre dont je ne garde pas de trace en mémoire alors que je me le suis offert neuf et que son sujet me passionnait. Quelque chose ne prend pas peut être simplement un véritable écrivain....
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Marrakech express

Marrakech express est un livre assez sympathique d’Esther Freud.L’histoire est racontée par une petite fille de 5 ans, qui a une sœur plus âgée ( Béa) et une maman.La famille prend la direction du Maroc dans un premier temps puis de l’Algérie. Cette histoire comporte de nombreux personnage secondaire comme l’idiot,,Linda, tatie Rose, sidi Mohammed,Selina,Patricia. Toute la famille prend le train pour rentrer à Marrakech. Leur situation est difficile car dans ces pays les enfants aussi doivent gagner leur vie. La maman promet à ses filles de rentrer en Angleterre pour notamment se faire soigner. Les petites filles adorent s’échanger des histoires .C’est une histoire asse légère qui ne propose pas cependant de réelles dénouement.
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