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Vallerine : Le testament d'un écuyer de Etienne Beudant
C’est une joie indéfinissable et si agréable qu’on s’en passionne et qu’elle chasse loin derrière elle toutes les sensations enivrantes de l’équitation. Promenades dans les plus jolis sites à l’air si pur de l’aurore, vitesse, sauts, chasse à courre, succès en public, etc. tout cela amène peut-être plus d’excitation, d’enthousiasme, mais rien n’égale le charme réel, complet, pur de tout sentiment étranger à l’équitation, que la légèreté procure. C’est le charme suprême auquel rien ne saurait être comparé.
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