Cape a le front d’un penseur, les yeux d’un rêveur, le nez et la bouche d’un jouisseur. On sent en lui une imagination puissante teintée d’une sombre tristesse et une impétueuse force créatrice qui peut être à la fois compatissante et cruelle. […] On le devine perpétuellement tendu, passionné, lançant à la vie et à sa propre faiblesse un défi à la fois défensif et arrogant ; il a besoin profond d’amer et d’être aimé, un profond besoin d’une foi en laquelle se reposer.