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3.8/5 (sur 66 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 27/12/1988
Biographie :

Eva Giraud est une auteure rouennaise, née à Paris le 27 décembre 1988.

Ouvrages déjà parus :
Les amants d'Henriette - Lily's Éditions 2017
Nos folies ordinaires - Lily's Éditions 2016
Gamin - Éditions Cogito 2014 (adapté en court-métrage par l'association Particules en août 2015)
Et si on se prostituait? - Éditions Cogito 2014

À paraître (Lily's Éditions, janvier 2018) :
Pickwik, tome 1 - Le vers galant
Pickwik, tome 2 - La reconversion du club des pipes
Pickwik, tome 3 - La librairie manquante

Site web : https://www.evagiraud.com/
Facebook : https://www.facebook.com/giraudeva

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Bibliographie de Eva Giraud   (10)Voir plus

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Citations et extraits (34) Voir plus Ajouter une citation
Mais être auteur signifiait avant tout - et en toute logique - aimer les mots, les aimer et savoir les manipuler.
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Ce que Sam leur avait offert n’était pas seulement un bon repas dans une bonne ambiance. Non, il leur offrit ce soir-là un moment indomptable où la Terre cesse de tourner, empêchant ainsi le temps de filer à son allure habituelle.
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La coccinelle était bien le coffre qui refermait l’âme de Lady Bug, la gardienne du village. Son nom était effectivement d’origine galloise ; elle lui avait confirmé. Pourquoi avoir caché son âme toutes ces années ? Eh bien tout simplement parce que Pickwik était un havre de paix. Ainsi la gardienne pouvait continuer à veiller sur son village. Voilà pourquoi il prospérait dans la loufoquerie la plus sereine.
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Geneviève attrapa une paire de lacets qui traînait sur le lavabo. (...) Un long combat s'ensuivit. Peggy se débattait comme il le pouvait, griffant, rugissant, s'acharnant à une vaine tentative de fuite. Mais la maîtresse avait gagné : au fond de la baignoire, le chat était entièrement ligoté, saucissonné par les lacets.
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Nous l’avons feuilleté, Lili a pu admirer l’écriture à la plume, mais rien de plus. Ariane a bien examiné le dessin au charbon, perdu en plein milieu. Elle dit qu’il s’agit peut-être d’un plan (...)

Il y a une histoire que je n’ai toujours pas comprise … qui dit, si je ne me trompe pas, que notre famille habitait Pickwick il y a déjà très longtemps, et que tout le monde nous prenait – enfin pas nous, les Thirion d’avant nous – pour des sorcières. En fait, il ne s’agit que de bien connaître la nature, pour savoir s’en servir comme on veut ! Mais ne pas les démentir et jouer le jeu des sorcières arrangeait tout le monde. Ça faisait peur, alors ça protégeait la famille, en un sens. Bref, c’est une simple question de savoir.

(au sujet du journal intime découvert sous un plancher)
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On m'avait toujours conseillé de me méfier des artistes : ils vous enveloppent malgré vous de leur monde, tanguant comme une embarcation rouillée dont on ignore combien de temps elle pourra flotter.
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Voici le nouveau site internet de Pickwik
http://www.pickwik.fr/
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"Quand on n’a connu qu’un point de vue toute sa vie, il est difficile d’entrevoir un chemin déviant comme quelque chose de positif.
C’était le cas pour ma voisine de pallier : la trentaine, célibataire, à la tenue vestimentaire un peu relâchée et aux couleurs parfois extravagantes, elle semblait mener une vie de bohème qui choquait mes valeurs. Entrer et sortir n’importe quand, inviter des passants, parler sans pudeur de sa vie aux
inconnus, tout cela m’était totalement étranger.

Une arythmie quotidienne que je craignais due à une volonté de ne pas être intégrée. Une femme qui se lève à quatre heures du matin pour se faire à manger en chantonnant avait probablement l’esprit marginal qui l’empêchait de rien faire comme tout
le monde. J’assimilai ce décalage à la vie d’une femme de petite vertu. Elle avait l’air un peu folle, je me tenais à distance pour enrayer toute possibilité que sa vie atypique ne vienne ternir la mienne. Elle était peintre, me disait-on. Ou écrivain.

On m’avait toujours conseillé de me méfier des artistes : ils vous enveloppent malgré vous de leur monde, tanguant comme une embarcation rouillée dont on ignore combien de temps elle pourra flotter."
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-Oh, c’est surtout qu’ils perdent leur temps ! Et ils ne sont pas très amicaux. En fait, ils recherchent un objet très ancien qui, selon la légende, rendrait plus riche que tous, quiconque parviendrait à mettre la main dessus. Les coccinelles en pierres précieuses ne sont que pures spéculations miniatures de ce que pourrait être l’objet.

(au sujet d'un groupe d'archéologues)
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Geneviève ne l’écoutait plus depuis un bon moment. Elle s’était arrêtée sur le pendentif en demi-lune que portait Lili. Le même bijou qu’elle avait remarqué sur sa mère et ses sœurs, à divers endroits (...) Il s’agit d’une seule et même pierre qui est dans la famille depuis je ne sais combien de temps. Maman l’a fait diviser en sept pour la monter sur de l’or pur.
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