Nos quatre amis partirent, en route il croisèrent un corbeau.
-Ou allez-vous demanda-t- il ?
-Chercher des bonbons !
-Vous n’êtes pas les premiers, j’ai déjà vu passer beaucoup d’enfants.
Le poêle a bois diffusait une agréable chaleur.
Sur le mur il y avait des étagères avec des bocaux en verre de confiture.
elle monta un escalier en bois qui grinçait sous ses pas, puis redescendit
-désolé je n'ai plus de bonbons
oui, mais moi je suis Jacquot Lanterne et je ne suis donc pas obligé de vous obéir
-Et pourquoi ?
-Connaissez- vous mon histoire ?
- Non répondirent les enfants mais cela nous intéresse,
raconte- la nous si tu le veux bien.
-bonjour dit une vielle dame, que voulez- vous les enfants ?
-Des bonbons ou un sort !
La vieille dame ouvrit la porte...
Soudain ils aperçurent un petit squelette qui tenait une pancarte
-Votre chemin est par là dit il
Matou toujours gourmand s'était approché des confiture et découvrit avec horreur que les bocaux contenaient en fait des crapauds

Tapie sous les arbres, j’attends patiemment le signal de l’attaque. Je n’entends que le bruit de ma respiration, les doigts crispés sur mon arme. Ma gorge est sèche, mon cœur bat la chamade et je sens une goutte de sueur couler entre mes omoplates. Je ne vois mes coéquipiers nulle part, ils sont cachés eux aussi. Savoir que je peux compter sur leur présence à mes côtés pour mener à bien la mission me rassure tout de même.
J’observe notre but: un bunker situé tout près du boisé où nous sommes dissimulés. Entre cette cible et nous, une plaine herbeuse. Un terrain à découvert, sans protection. Et non loin de là, à notre droite, les bâtiments d’une ferme désaffectée qui pourraient aisément abriter nos ennemis.
Il me semble que le temps s’éternise, et j’en viens presque à souhaiter qu’on nous tire dessus pour qu’il se passe quelque chose. N’importe quoi plutôt que de rester accroupie sans bouger et à songer à toutes sortes de scénarios catastrophe. Ouf… Est-ce moi ou il fait chaud, tout à coup? Mes mains commencent à trembler. L’épuisement et le stress accumulés depuis ce matin, j’en suis sûre. Quelle journée!
Mais qu’est-ce que je fais là, au juste?
FBI (Federal Bureau of Investigation) et CIA (Central Intelligence Agency) : les deux plus grandes agences de renseignements américaines, qui s'occupent respectivement des renseignements étrangers et de la sécurité nationale (contre-espionnage et contre-terrorisme). [...]
MI6 (Military Intelligence section 6 ou Secret Intelligence Service (SIS) : Service de renseignements extérieurs du Royaume-Uni, qui a pour but de protéger le pays de toute attaque terroriste extérieure et de diriger des activités d'espionnage à l'extérieur du pays. [...]
SCRS (Service canadien du renseignement de sécurité) : le principal service de renseignements du Canada. [...]
NSA ( National Security Agency) : la troisième plus grande agence de renseignements américaine, qui s'occupe des renseignements électromagnétiques. [...]
KGB : service de renseignements de l'Union soviétique, de 1954 à 1991.

Snéfrou observe le ciel. Il est surpris de voir que le dieu-soleil Râ a déjà entamé sa course vers l’horizon et qu’il sera bientôt avalé par la déesse Nout. La plupart des gens qui se baignaient dans le Nil, où ils venaient porter des offrandes pour la fête, sont partis. Il ne reste plus que les jeunes. Merit-Neith et Hapouséneb, tout occupés à leurs activités respectives, n’ont pas remarqué qu’il se faisait tard.
— Il serait peut-être temps de rentrer, déclare Snéfrou. Nos parents vont s’inquiéter si nous ne sommes pas là au coucher du soleil.
— Tu as raison, approuve Merit-Neith. Maman va sûrement me faire une scène si je ne rentre pas bientôt. Elle s’en fait toujours pour rien.
Snéfrou et Merit-Neith se préparent à partir, alors qu’Hapouséneb continue de suivre quelque poisson du regard.
— Hapouséneb, dépêche-toi, insiste Snéfrou.
— Oui, oui, j’arrive, répond distraitement le jeune pêcheur, tout en s’enfonçant plus encore dans les papyrus et les roseaux.
Merit-Neith soupire d’exaspération en le regardant s’éloigner.
— Il va vraiment nous mettre en retard, si ça continue.
Tout à coup, Hapouséneb pousse un hurlement d’effroi. Alertés, Snéfrou et Merit-Neith se précipitent en direction de leur ami. Lorsqu’ils arrivent près de lui, ils sont figés par l’horreur de sa découverte.
-- Maman, tu es encore en train de travailler? demande Florence, qui s’apprête à aller se coucher après son bain.
(…)
-- Oui, ma chouette.
-- Pourquoi tu ne veux pas arrêter? Moi, quand j’ai fini l’école, j’arrête.
-- C’est parce que j’aime beaucoup ce que je fais, tu sais. J’ai tellement de plaisir que c‘est presque comme si je ne travaillais pas, en fait.
-- Ça se peut, ça? grimace Florence, sceptique.