Tout se passa alors vite, comme dans un ballet diabolique aux mouvements synchronisés. A la même seconde où les pieds de l’homme basculé accrochaient la rampe au néon qui éclairait la pièce, plongeant subitement celle-ci dans un noir opaque, le gourdin s’abattait sur la tête de Mahouvé. L’agent de la D.A.S.S crut d’abord recevoir le plafond sur lui. Le plancher se déroba sous ses pieds. Il se sentit aspiré par un trou sans fond.
Puis suivit un concert de mille carillons aux sons bizarres, lancinant et douloureux.
Puis… rien.