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Critiques de Fabien Vehlmann (1359)
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Sept, tome 1 : Sept Psychopathes

♫Il est d'une grâce fauve

Il est tranquille et brutal

Silencieux quand il se pose

Entre Dieu et l'Animal

Sous la peau brillant dans l'ombre

De longs muscles de métal

Homme seul, homme sombre

Où est le bien et le mal

Noir comme le diable

Chaud comme l'enfer

Insaisissable

Seigneur de guerre♫

-Bernard Lavilliers- 1986 -



Chiffre 7, correspond dans la Kaballe

au Triomphe, à la Victoire Totale

Parachuter sept mercenaires

pour assassiner Hitler

Signes particuliers, Caractéristiques singulières

Esprits authentiquement libres pour tuer le Fuhrer

Voleurs de feu, types incendiaires

opération Doppelganger

mission suicidaire

Voleurs de feu ou saigneurs de guerre.

Ils s'en lavent les mains

7 Psychopathes se traitent en bons aryens ...

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Seuls, tome 1 : La disparition

Yvan rentre chez lui. La femme de ménage lui annonce que ses parents ne sont pas encore rentrés du travail. C'est seul qu'il passera la soirée devant les jeux vidéos...

Leïla, bricoleuse et inventive, se fâche avec son papa lorsque celui-ci veut mettre son grain de sel dans sa toute dernière création...

Camille, bonne élève studieuse, passe encore sa soirée à réviser pour le contrôle du lendemain...

Terry, petit gamin turbulent, voudrait bien pouvoir regarder la fin de son film mais comme d'habitude sa maman ne veut pas...

Et Dodji, orphelin, un peu solitaire, se fait à nouveau embêter par les autres enfants du foyer...

Ces 5 gamins ne se connaissent pas encore et pourtant lorsqu'ils se réveillent au petit matin, tout le monde a disparu. La ville est déserte, les rues sont vides et le paysage est plongé dans une ambiance apocalyptique. Ils ne comprennent rien à ce qui a pu se passer durant la nuit et cherchent, en vain, d'autres personnes. Yvan, un peu trouillard mais regorgeant d'idées, suppose qu'ils sont tous morts et en enfer ou bien sont dans une émission de télé-réalité ou bien encore que tout le monde a disparu comme les dinosaures. Dodji ne croit pas un mot de tout ça et décide de sillonner la ville pour connaître le fin mot de l'histoire...



Le ton est donné dès ce premier tome : un événement étrange et inexplicable s'est produit dans la petite ville de Fortville. En effet, seuls les 5 enfants semblent être les uniques survivants du phénomène. Que s'est-il passé au juste ? Que sont devenus tous les autres et où sont-ils ? Aucune réponse ne nous sera donnée à la fin de ce tome. Et le pari est réussi puisque l'on n'a qu'une envie : suivre les aventures de ces chères têtes blondes. Le scénario est accrocheur avec notamment la présentation des 5 bambins au tout début. Ces héros en culotte courte sont tous attachants, touchants et chacun avec sa personnalité réussit à capter le lecteur. Bruno Gazzotti met merveilleusement en lumière cette histoire avec des dessins très réalistes et un coup de crayon fin et travaillé. La palette de couleurs dynamise ce récit. Un premier tome très réussi et prometteur...



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Seuls, tome 1 : La disparition

Agréablement surpris par cette lecture. Des personnages attachants, légers malgré la situation. C'est un sorte de survival-horror pour enfant. Sauf qu'il n'y a pas d'horreur.



La ville est totalement vide, sauf pour nos cinq gosses qui font ce qu'il peuvent pour s'organiser.



C'est léger, ça se lit assez rapidement, mais ce n'est pas pour autant creux et insipide. Bien au contraire, on sent qu'il y a matière a développer quelque chose au fils des tomes suivants.



Une bonne BD jeunesse, mais qui peut séduire certains adultes, car même si l'on ne s'attends pas a quelque chose de sanglant, l'ambiance survivaliste est bien là.



Une agréable découverte.
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Satanie

Charlotte, alias Charlie, a mené une expédition souterraine afin de pouvoir retrouver son frère, Constantin, spéléologue qui a disparu mystérieusement il y a maintenant 2 mois. Convaincu d'une vie parallèle sous terre, il voulait prouver sa théorie mais aussi prouver l'existence de l'enfer. Dans les entrailles de la terre, Charlie et ses compagnons d'infortune sont bientôt rejoint par l'abbé Montsouris, celui-là même qui servait de guide à Constantin lors de sa disparition. Ce dernier leur conseille de remonter sans tarder. Et pour cause, un orage, qui ne devrait pas tarder, risque de provoquer des crues. Malheureusement, l'orage arrive plus tôt que prévu, empêchant l'équipe de remonter et les entraînant, au contraire, plus profondément encore.



Satanie nous entraine vers un monde particulièrement étrange et inconnu. En compagnie de Charlie, l'abbé Montsouris ou encore Lavergne, l'on est plongé dans les entrailles de la terre. Mélangeant aventure, science, onirisme et fantastique, cet album, foncièrement singulier, n'est pas sans rappeler Jules Verne et son Voyage au centre de la terre. L'on découvre un monde parallèle particulièrement inquiétant, que ce soit ces gigantesques araignées, les Thuliens ou les Sataniens. Un récit dense aux moult rebondissements certes, mais aussi un peu brouillon. Graphiquement, Kerascoët sert parfaitement ce scénario en nous plongeant dans des ambiances fantastiques et irréelles, tantôt sombres, tantôt lumineuses, tout en créant des personnages pour le moins exotiques.

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Seuls, tome 12 : Les révoltés de Néosalem

Ouvrage emprunté à la médiathèque et que j'ai d'ailleurs acheté exprès lors de mes acquisitions 2021 afin de contenter mes lecteurs en ayant la série complète et j'avoue, égoïstement, afin de satisfaire ma curiosité (de toute façon, je l'aurais fait d'une manière ou d'une autre car ma petite médiathèque étant passé en réseau depuis l'an passé, si je ne possédais pas ce dernier tome, une autre l'aurait eu mais cela aurait été dommage pour mes jeunes lecteurs).



Avis cependant mitiget pour ce douzième volet tant ce qui m'a de prime abord frappé est le ressemblance étrange avec deux autres séries young adults que j'ai adorés à savoir "Hunger Games" (et ses jeux de l'arène) et "Divergente" avec ses "sans factions", ici appelés les "sans-noms" (mais peut-être ces deniers étaient-ils présents depuis le début et n'y ai-je pas prêté attention) mais en tout cas, rassurez-vous car les ressemblances s'arrêtent ici.



Ici, Saul, "l'élu" (enfin cela reste à prouver car il doit toujours faire preuve de ses pouvoirs afin de légitimer sa place en tant qu'Imperator) organise de nouveaux jeux entre les différentes familles (voir tomes précédents) et si Leïla semble exceller dans ce domaine, arrivera-telle à se sortir toute seule de cette situation plus que périlleuse ? Si Anton et Edwige ont jusqu'à présent été pour elle d'une aide précieuse en la sauvant de positions inconfortables, il n'est pas sûr qu'ils seront toujours là pour la sortir d'affaire mais je vais m'arrêter là afin de ne pas vous poiler la suite de ces aventures !



Alors, oui, certes, peut-être est-ce moi qui commence à me lasser en espérant que cela avance plus vite et en trouvant des ressemblances là où il n'y a sûrement que des coïncidences ou en n'ayant pas pris la peine de relire la série entière avant de m'attaquer à ce dernier volet (actuellement sorti puisqu'il y aura une suite qui, j'espère, arrivera bientôt) mais je ne suis pas arrivée à rentrer pleinement dans l'histoire et cependant, ô comble du paradoxe, j'aurais bien aimé que celle-ci se poursuive encore ! Bref,, je ne sais pas si je suis très claire mais ce qui est sûre, c'est que je ne peux que vous recommander la lecture de cette série 'dans son intégralité) et de visionner l'adaptation cinématographique que j'ai trouvé très réussie !
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Seuls, tome 13 : Les âmes tigrées

C'est lorsque j'ai fait mes achats en librairie pour la médiathèque pour laquelle je travaille que j'ai vu qu'il me manquait ce dernier tome afin que ma collection (en médiathèque mais il va sans dire que j'en profite également) soit complète ! Cela fait un petit moment que j'avais lu le douzième tome et j'ai hésité de le réemprunter avant de lire celui-ci mais au final, en me plongeant dans cette lecture, mes souvenirs sont vite revenus !

Ici, la boucle est bouclée et nous arrivons à la fin du troisième cycle.



Beaucoup de choses se passent ici : tout d'abord, nos quatre amis de départ se retrouvent enfin, à savoir Leila, Terry,Dodji puis par la suite Yvan. Tous ont vécu des choses extraordinaires lorsqu'ils étaient séparés mais l'heure n'est pas ici aux explications. Ils se doivent d'agir et avant tout, Dodji doit leur expliquer quelque chose : il a dans son sac à dos...une tête qui parle, une tête détachée de son corps oui oui, vous avez bien lu et pour achever leur mission, ils doivent la remettre sur ce dernier (le corps) et il se trouvent qu'ils le connaissant bien. Cette tête, celle de Melchior, leur révèle que chacun d''eux quatre est doté de pouvoirs apparentant aux "âmes tigrées", ce qui les rend spéciaux. Yvan, ayant ainsi le pouvoir de délivrer ou plutôt de dézombifier ceux qui sont passé de l'autre côté, celui des forces obscures, arrivera-t-il à exercer son pouvoir sur Camille ?



Un treizième tome qui achève bien un cycle certes (me voici don un peu moins frustrée) mais il va d soi que cela est loin d'être terminée et cette lecture m'a donc un nouvelle fois laissée sur ma faim, et cette fois-ci, il va me falloir attendre encore car, voulant acheter la suite pour ma médiathèque, j'ai découvert que celle-ci n'existait pas encore car pas encore écrite (ou si elle l'est, pas encore oubliée) !



Une lecture que je ne peux que vous recommander mais je ne suis pas forcement pour la classer avec les bandes-dessinées Jeunesse bien que ces dernières leur soient facilement compréhensible, eux ayant l'habitude avec tout ce qui relève du fantastique, des nombreux personnages et d'une histoire assez complexe mais à mélanger avec celles pour ados et adultes ! Bref, une série qui s'adresse à tous mais pour laquelle il faut s'accrocher tout de même ! Une série que je relirai peut-être plus tard, d'une seule traite cette fois-ci car là, j'avoue que ma lecture, de manière hachée m'a un peu perturbée parfois mais en attendant, une lecture que je ne peux que fortement vous recommander !

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Green Manor - intégrale

C'est la couverture qui m'a attirée au premier coup d’œil et en feuilletant cet ouvrage au hasard, j'ai pu apprécier le trait fin et appliqué des dessins et surtout l’atmosphère étrange qui semblait y régner. La lecture de ce recueil de ces seize histoires, toutes plus étranges les unes que les autres n'a fait que renforcer mon appréciation positive sur ce dernier. Ici, les histoires débutent toutes dans un seul et même lieu : le Green Monor's club, un club prestigieux réservé aux hommes érudits qui se passionnent pour la science et l'étrange à la fin du XIXe siècle. Si le lieu de départ est identique à toutes ces historiettes, ce qui est relaté se déroule en dehors et s'intéresse à des affaires de crimes, qui ont plus ou moins tous été élucidés mais pas de la manière dont le lecteur s'y attendait, loin de là. Au contraire, ce dernier se retrouve souvent déstabilisé car non seulement, les auteurs les emmènent sur un chemin qu'il n'avait pas du tout imaginé ou encore parfois plus étrange, le laisse dans une sorte de suggestion paranormale sans conclusion sure et certaine, laissant planer le doute en entraîner notre lecteur, moi la première hors des sentiers battus, l(incitant même à faire travailler son imagination, ce qui peut souvent paraître déstabilisant pour qui n'aime pas résoudre des enquêtes.



Je ne vais pas vous narrer ces seize histoires dans le détail mais chacune d'entre elle, à sa manière, a eu le don de me captiver, même si certaines ont été un peu trop tirées par les cheveux à mon goût. Une lecture très agréable, digne des plus grands maîtres de l'épouvante et de l'étrange, et le tout, comme je le disais en exergue, avec des dessins admirablement bien travaillé et cette ambiance pesante que le lecteur ressent de la première page jusqu'au carnet de croquis qui se trouve en fin d'ouvrage pour les plus curieux. Une lecture palpitante que je ne peux donc que vous recommander !
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Seuls, tome 1 : La disparition

Un matin, des enfants se réveillent seuls. Toute la ville a disparu, sauf quelques enfants comme eux. Comment vont-ils faire ?

Un peu d'angoisse, beaucoup de suspense, des personnages différents les uns des autres.

Cette bande dessinée est très réussie et donne envie de lire la suite.
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Sept, tome 1 : Sept Psychopathes

Cela fait un bon bout de temps que je veux m'attaquer à cette longue série de one-shots. C'est enfin chose faite, je commence donc avec le 1er récit paru dans la collection.



Comme j'aime bien les films de commandos, "les 12 salopards", "de l'or pour les braves", "les canons de Navarone"..., ce 1er volet avait tout pour me séduire, d'autant plus avec l'ingrédient décalé savoureux et prometteur du commando entièrement constitué de cinglés.



Il faut bien avouer que "sept psychopathes" ne tient pas tout à fait ses promesses mais cela reste une lecture bien sympathique.

Si la phase de recrutement est bien développée et permet de présenter les différents membres du commando, le reste de l'intrigue est un peu expédié. Tout se passe trop vite, ces personnages si prometteurs sont sous-exploités. Dommage, cette bande de névrosés composait une galerie de personnages sacrément intrigante.



Reste le plaisir d'une série B musclée qui réserve son lot de surprises réjouissantes. Pas mal finalement !

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Sept, tome 1 : Sept Psychopathes

Angleterre 1941, un colonel qui doit regagner la confiance de sa hiérarchie tente un opération démente, créer un commando improbable de psychopathes afin d'assassiner Hitler....

Cette bd, que l'on peut qualifier d'uchronie ne manque pas de qualités, notamment au niveau du scénario.

Difficile de prévoir le déroulement d'une opération si périlleuse avec des gens incontrôlables !

Parachuté en Allemagne, le commando passe vite à l'action, à sa façon peu orthodoxe.

Les nazis ont une parade, c'est d'ailleurs un petit point faible du récit, car l'évocation d'une section "Doppelganger" gâche un peu le suspense peu avant la conclusion.

A condition, toutefois, de savoir ce qu'est un doppelganger, ce qui n'est certes pas le cas de tout le monde !

Quant au dessin et aux couleurs, nous sommes plus proche du style comics réaliste que de la bd européenne.

Au final, un album intéressant mais pas franchement indispensable.

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Green manor, tome 1 : Assassins et Gentlemen

A l'asile psychiatrique le professeur Thorne vient demander un entretien avec un domestique qui a fait toute sa carrière à Green manor, une sorte de club masculin de la fin du XIXème siècle.

Monsieur Below est devenu l'âme de Green manor et nous raconte ce qui s'est passé entre ses murs.



Les personnesges s'interrogent sur le meutre et les victimes. Est ce qu'un meutre peut être de l'art? Comment exécuter le meutre parfait ? Comment se servir d'un tueur en série ? et ainsi de suite.



C'est une BD assez drôle et qui en définitive est assez intéressante et pose les bonnes questions pour un amateur de policier. Les personnages sont bien représentatifs de leur époque.



une bonne BD pour passer le temps

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Seuls, tome 11 : Les cloueurs de nuit

Je m'étais résolue à m'arrêter au dixième tome étant donné que je n'ai pas la suite dans la bibliothèque dans laquelle je travaille mais lorsque mon mari me l'a rapporté de la "sienne" (tout l'avantage lorsque l'on est un couple de bibliothécaires), je me sus tout de même laissée tenter pour...au final, une pointe de déception.



Depuis que nos cinq amis sont séparés, je trouve que l'histoire a moins d'attrait. Ici, nous avons très peu de nouvelles de Leïla, Dodji ou Terry. Nous savons que Camille s'est révélée être "l'Enfant-Minuit" (pour ceux et celles qui n'auraient pas lu les tomes précédents, sachez que c'est une très mauvaise chose) mais dans ce onzième tome, il n'est quasiment question que d'Yvan. Déparé de ses amis, ce dernier s'est barricadé dans une maison de luxe mais malgré cela, il finit pas être repéré par les enfants zombies. In n'a plus d'autres solutions que de fuir mais pour aller où ? Et surtout, y arrivera-t-il seul ? A moins que...Eh oui, ici, nous faisons la connaissance d'un autre enfant : Lex. Malheureusement, cela ne fait pas trop avancer le schmilblik et je crois de toute manière que tant que nos cinq amis de départ ne seront pas à nouveau réunis, je crains que la boucle ne puisse pas être bouclée !



Un graphisme toujours aussi bien soigné il est vrai mais avec un scénario qui patauge un peu trop à mon goût car celui-ci ne nous apporte que très peu de nouveaux éléments et arrgh, je ne sais absolument pas si cette fois, je ne vais pas devoir me faire une raison en me disant que ma lecture de cette série s'arrêtera définitivement ici et que je ne saurai probablement jamais la fin (je sais, je suis pessimiste mais à moins que les bibliothèques continuent à faire l'acquisition de la suite, lorsqu'elle paraîtra...enfin bref, vous me raconterez !). A découvrir !
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Seuls, tome 8 : Les arènes

Eh moi qui ne voulaient pas lire les dix tomes que j'ai emprunté à la médiathèque trop vite, voilà le résultat, je termine déjà le huitième tome mais on, il faut dire que quand on a commencé à se plonger dans cette série, il est difficile de s'arrêter.



Ici, changement d'univers, les enfants de Fortville et les autres découvrent de nouveaux enfants...Comme eux semblerait-il sauf que ces derniers se basent un peu sur le système romain et ne sont pas prêts à les accepter comme ça. Il va d'abord falloir qu'ils fassent leurs preuves en étant plongés..;dans les arènes. Saul a l'air d'être exempté de tout cela car considéré comme l'élu du bien mais reste encore à savoir à découvrir celui qui est du côté du mal. Ici, il faut à tout prix que nos amis remportent les jeux qui leurs sont imposés afin de pouvoir être accepté dans la 7ème famille...Aah, ah, tiens tiens enfin un peu d'éclaircissement au sujet de ces quinze famille dont Yvan avait parlé dans un tome précédent. Mais que représentent-elles au juste ?



Éclaircissement sur certains points mais encore beaucoup de questions à résoudre et la première, de taille, nos cinq amis ainsi que le maître des couteaux et la petite Lucie (qui n'est encore qu'un bébé rappelons le) réussiront-ils à passer cette terrible épreuve des arènes ?



Un graphisme toujours aussi bien travaillé et un scénario qui laisse toujours autant de suspense, ce qui fait que l'on devient rapidement accro !
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Seuls, tome 1 : La disparition

Ayant vu il y a quelque temps l'adaptation en film "Seuls au monde" (et ce à deux reprises), j'ai eu envie de découvrir les bandes dessinées qui en sont à l'origine. Profitant de quelques jours de vacances avant les fêtes, j'ai donc emprunté directement les dix tomes (je ne sais pas si la série que nous possédons à la médiathèque est compète ou non et je n'ai pas envie de le savoir pour l'instant, ce n'est qu'une fois arrivée au bot de mes lectures que je le découvrirai) afin de me ré-imprégner un peu de l'ambiance.



Dodji, Leïla, Terry, Camille et Yvan sont des enfants issus de milieux complètement différents et ayant des goûts qui le sont tout autant. Pourtant, ils ont quelque chose en commun. Lorsqu'ils se sont réveillés un beau matin, tout leur entourage avait disparus et ils se sont retrouvés... seuls. Cependant, lorsqu'on est cinq, même si on est encore des enfants, bien qu'à des âges différents, on n'est plus réellement seuls, si ? Sans adultes, ils vont devoir apprendre à se débrouiller et faire face au monde hostile qui les entoure et notamment à certains animaux on ne peut plus dangereux...



Un graphisme très bien travaillé et un scénario, même si je pense déjà connaître l'issue, qui s'avère assez prometteur. Je verrai bien ce que les autres tomes me réservent encore comme surprises car j'espère bien qu'il y en aura et que le fait d'avoir vu le film d'abord ne m'aura pas tout gâché, niveau suspense !
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Seuls, tome 2 : Le maître des couteaux

Leïla, Dodji, Yvan, Camille et Terry ont quitté les bureaux du père d'Yvan et ont finalement emménagé à l'hôtel "Le Majestic". Leïla et Dodji, venus récupérer quelques affaires chez cette dernière, croisent sur la route du retour un rhinocéros qui leur fonce droit dessus. Heureusement pour eux, ils se sont aménagé un coin où les animaux sauvages n'ont pas accès. Une fois à l'hôtel, Leïla rouspète Terry qui continue de piller les magasins de peluches et de jouets qui remplissent plusieurs chambres qu'il s'est aménagées. Il faut dire que la vie ensemble n'est pas facile tous les jours et ils n'ont pas le même entrain à s'occuper des tâches quotidiennes. Tandis que Camille s'amuse à se vêtir de jolies robes, Yvan traîne au bord de la piscine à appeler tout le bottin pour s'assurer qu'il n'y a personne d'autre qu'eux. Un peu éméché, il est tout content de montrer à Leïla le flingue qu'il a trouvé dans le bureau de son père. Dodji se fâche aussitôt dès qu'ils les voient tous les deux à s'amuser à tirer n'importe comment. C'est alors qu'une violente dispute a lieu entre Leïla et Dodji. Ce dernier frappe la jeune fille et s'enfuit...



Dans cette ville déserte où seuls ces 5 enfants ont l'air d'être les seuls survivants, le climat devient plus oppressant, notamment avec le maître des couteaux. Après avoir pris possession des lieux, les caractères s'affirment et la vie en communauté ne semble pas si facile que cela. Les esprits s'échauffent immanquablement et même si leur point commun est de comprendre ce qui a pu se passer cette fameuse nuit, les divergences font leur apparition ainsi que les querelles. L'on en apprend un peu plus sur le passé de Dodji grâce à cette petite séquence émouvante. Les dialogues sont justes et les dessins à-propos. L'on reste encore une fois sur notre faim et l'on regrette finalement le trop peu...



Seuls, Le maître des couteaux... tranchant...
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Seuls, tome 1 : La disparition

Hier encore, j'étais un gamin dans toute sa splendeur. Nourri aux jeux vidéo, dans ma période rebelle " d'tout' façon vous pouvez pas comprend' !!?!#@vdm.com ! " , studieux, rejeton de divorcés voire abandonné tout court dans un orphelinat, peu importe, ma vie avait un sens, un semblant de normalité.

Aujourd'hui, tout a disparu. Je suis seul. Nous sommes Seuls. Pas encore vraiment un club ni unis comme les doigts de la main, juste cinq enfants apeurés errant désormais dans une ville fantôme.



Mouais, pas vraiment convaincu.

Première question qui me turlupine, Chattam n'aurait-il pas eu vent de cette BD avant d'entamer Autre-Monde ? Le mimétisme initial frôlant dangereusement le plagiat éhonté.

Un premier tome sur 22 prévus initialement au rythme métronomique d'un par an, pas sûr d'avoir et la patience et l'envie d'en découvrir le fin mot de l'histoire l'année de mes 60 balais...à moins de résilier mon abonnement à Psychologie Mag, j'hésite encore...

Vehlmann ( scénario ) et Gazotti ( dessin ) délivrent une galette à la recette éculée et aux dialogues gentillets et légers manquant férocement d'humour.

Un volume fondateur clairement typé jeunesse visant à asseoir cinq personnalités et l'émergence d'un leader.

Pas un seul embryon d'explication quant au pourquoi du comment – je rappelle qu'il s'agit quand même de fourguer 22 volumes à terme donc piano piano sur l'intrigue – mais un chapelet de situations extraordinaires toutes magistralement surmontées. Papa McGyver s'rait fier de moi !

Le dessin et l'encrage maîtrisés n'enlevant en rien ce sentiment de déjà lu, la fin n'en étant pas une me laissa sur la mienne au point de ne pas vouloir renouveler l'expérience Seuls là, maintenant, tout de suite, dans l'immédiat...par contre demain j'suis dispo...
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Seuls, tome 12 : Les révoltés de Néosalem

Dans ce douzième tome, nous retrouvons Saul qui organise de nouveaux jeux où les perdant·e·s mourront. Il choisi de sortir Leïla de son trou pour la faire participer. L'histoire se concentre ainsi sur elle, et les autres intrigues passent au second plan.



Même si j'ai adoré les premiers volumes de la série, je dois admettre qu'elle s'essouffle un peu, devenant moins intéressante et de plus en plus tirée par les cheveux... Même si j'aime beaucoup ce que Fabien Vehlmann et Bruno Gazzotti ont fait, j'espère voir une fin prochaine à la saga !



Malgré tout, j'ai bien aimé ce douzième tome, où il y a pas mal d'actions et qui nous permet aussi de voir la cruauté des Familles et de Saul, mais j'aimerais juste que l'intrigue avance un peu plus vite.
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Seuls, Tome 7 : Les terres basses

Avec la série Seuls, on ne s’ennuie jamais, c’est facile à lire, détendant et en même temps très intéressant. Autant j’avais eu un peu de mal avec les 4 premiers tomes, je trouvais ça un peu trop pour petit, autant depuis la fin du premier cycle, la série à franchi un cap.



Ce septième tome continue donc sur ce qui a été mis en place depuis le tome 5. Les choses sérieuses ont vraiment commencées, et même si l’humour est toujours présent, les gamineries ont presque disparues, ce qui n’est pas plus mal.



L’apparition de la mystérieuse brume, des zombies et la ville qui s’enfonce permet de nombreuses scènes d’action, certaines un peu flippantes par moment, avec l’homme des miroirs.



Sans être scotché pendant la lecture, je dois avouer que je prend de plus en plus de plaisir et j’espère que l’auteur sait ou il va, car les mystères sont nombreux, mais les résolutions, ou les explications, sont elles bien plus rarissime.



Allez, j’enchaine sur le tome 8 !
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Seuls, tome 2 : Le maître des couteaux

Cool, un peu de changement par rapport à l'adaptation cinématographique § Il est vrai que "le maître des couteaux" apparaît bel et bien dans cette dernière mais pas du tout pour les mêmes motifs (encore faut-il y en avoir lorsqu'on s'acharne à vouloir tuer cinq enfants, nos cinq héros en leur lançant des couteaux dessus) mais je n'en dirais pas plus afin de ne pas vous gâcher le suspense. Toujours est-il qu'après s'être installés dans un hôtel cinq étoiles, Le "Majestic" et après que Leïla ait laissé un mot à sa faille (au cas où ils reviendraient), nos cinq dorénavant amis (quand on est seuls au monde, on ne fait pas trop les difficiles), à savoir Leïla, Dodji, Terry, Yvan et Camille se croyaient enfin à l'abri. Cependant, en tant que personnes responsables car ce sont les plus âgés de la bande, Leïla et Dodji savaient qu'ils ne pourraient pas rester éternellement ici et qu'ils leur faudrait bouger. C'est pourquoi ils sont en train de préparer un camion qui leur permettra de prendre l'air pendant qu'Yvan s'amuse à appeler tous les noms qui figurent sur le bottin afin d'être sûr qu'il ne reste plus âme qui vive et après avoir récupérer le pistolet de son père qui pourrait, sait-on jamais, s'avérer leur être utile ! Malheureusement pour eux, à force de s'être trop amusés avec, celui-ci va leur faire défaut lorsqu'ils vont réellement en avoir besoin.



Celui que je trouve le plus attachant dance ce deuxième tome est Terry, le plus jeune de la bande, avec son insouciance et son éternel besoin de jouer. Il ne se rend pas réellement compte de ce qui leur arrive et de la gravité de la situation (et c'est tant mieux) car il s'évade avec la collection de jouets on ne peut plus colossale qu'il a réussi à accumuler en se servant (un peu trop) dans les magasins. De toute façon, vu qu'il n'y a plus d'adultes pour les surveiller, autant en profiter un peu, non ? Oui, mas c'est bien beau tout ça mais à un moment ou à un autre, il va peut-être falloir revenir sur Terre et trouver une solution à leur situation, qui bien que enviable par moments, à de quoi sérieusement faire flipper, non ? Quelles vont être les prochaines étapes pour nos cinq gamins... A découvrir très prochainement dans les prochains tome ...



Un graphisme toujours aussi bien travaillé et un scénario de plus en plus...inquiétant ? alarmant ? Cela dépend du point de vue mais ce qui est sûr, c'est que le suspense maintient son lecteur en alerte !
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Seuls, Tome 3 : Le clan du requin

Alors que le pauvre Yvan se plaint d'avoir été ligoté par ses amis, les autres se lamentent de devoir toujours manger des boites de conserve. Dodji, quant à lui, est remonté dans le bus anglais qu'ils se sont aménagé afin de jeter un œil aux alentours. Il aperçoit dans ses jumelles une meute de chiens sauvages qui se dirige droit sur eux et prévient aussitôt ses compagnons. Même pas le temps de détacher Yvan, il leur faut absolument courir se réfugier dans le véhicule et barricader les portes. Ils reprennent alors la route toujours en recherche d'autres êtres vivants. C'est alors qu'ils aperçoivent une voiture leur faisant des appels. Ils les suivent et se retrouvent ainsi en compagnie d'autres enfants qui ont pris leur quartier dans un parc d'attraction qui appartenait au papa de Saul, le chef du clan du requin. Heureux de constater qu'ils ne sont plus seuls, ils profitent de l'accueil et des attractions, notamment du grand requin blanc. Les autres enfants, ayant récupéré un des chiens de la meute, le donnent à manger à l'animal qui s'empresse de n'en faire qu'une bouchée. C'en est trop pour Camille qui décide de quitter l'arène. Bien vite, les 5 enfants se rendront compte du caractère charismatique et autoritaire de Saul qui semble imposer sa loi...



Dans ce troisième volet, le mystère s'épaissit, les personnages sont plus que jamais complexes et tourmentés et les rivalités entre clans apparaissent. Le parc d'attraction sera le théâtre de règlements de comptes, d'affrontements et de prise de pouvoir. Ce tome, plus profond qu'il n'y paraît, aborde des sujets tels que la dictature (notamment avec Saul qui s'intéresse à Hitler), la place des femmes dans la société ou bien les enfants surdoués. Le dernière page laisse évidemment planer le doute et la suspicion et promet certainement de nouveaux rebondissements.



Seuls, Le clan du requin... prenez garde...
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