A présent il ne pouvait plus contenir le poison qui lui infectait le sang, ce venin qui incendiait et ravageait ses chairs, ses entrailles. Il lui fallait s'ouvrir en deux et se dégorger de ce pus immonde qui coulait en lui, vomir de trop-plein de rage et de honte qu'il aurait tant aimé cracher à la gueule du monde avant de sombrer. (p95)