« […] si l'on peut avoir un regard critique sur la manière dont les [philo-]complexes gèrent leurs émotions en réaction à leur environnement, il nous paraît important de noter que leur perception des interactions, de ce qui sous-tend réellement certains non-dits ou des intentions véritables de leurs interlocuteurs est généralement très juste. C'est leur réaction émotionnelle qui est souvent inappropriée et non pas leur sensibilité aux fondements des interactions avec autrui. » (pp. 84-85)