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3.5/5 (sur 6 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Tarbes , le 2/10/1851
Mort(e) à : Paris , le 20/03/1929
Biographie :

Ferdinand Foch, maréchal de France, de Grande-Bretagne et de Pologne, né le 2 octobre 1851 à Tarbes et mort le 20 mars 1929 à Paris, est un officier général et académicien français. Il fut le commandant-en-chef des forces alliées sur le front de l'Ouest pendant la Première Guerre mondiale.
En novembre 1871 il intègre l'École polytechnique.
Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division ; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Pendant la Grande Guerre, il manifeste un culte de l'offensive qui aboutit parfois à de sanglants échecs.
Foch arrêta l'avance des forces allemandes pendant la grande offensive du printemps 1918 pendant la seconde bataille de la Marne en organisant la contre-attaque qui changea le cours de la guerre. Il reçut la reddition des Allemands en novembre 1918.


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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Ferdinand Foch
Il n'y a pas d'homme cultivé, il n'y a que des hommes qui se cultivent.
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Ferdinand Foch
Le divertissement est le meilleur régime contre le poids de l'existence.
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C’est de la Somme aux Vosges, dit le communiqué de ce jour, que s’étend le front de l’invasion. Le territoire de la Belgique, comme le nord de la France jusqu’à cette rivière, était donc aux mains de l’ennemi. Sa marche vers Paris et le coeur du pays se poursuivait en outre à une allure vertigineuse. Nos armées du centre et de la gauche (3e, 4e, 5e et britannique) étaient en pleine retraite ; une offensive générale engagée sur la frontière avait été un échec pour nos armes ; nos troupes se repliaient, violemment poursuivies par des masses lancées à une vitesse déconcertante ; elles étaient constamment menacées d’être débordées à l’ouest. La liaison entre elles était également compromise. Sur leur direction de retraite, elles ne pouvaient trouver que des tronçons de ligne à utiliser pour la résistance. Les vallées des rivières sont en effet pénétrantes et conduisent à la région parisienne, telles l’Oise et l’Aisne, plus à l’est, la Meuse.
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Ferdinand Foch
Pressé fortement sur ma droite, mon centre cède, impossible de me mouvoir, situation excellente, j'attaque.
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Le 21 mars 1918, à 4 heures du matin, sur tout le front compris entre la vallée de la Scarpe et celle de l’Oise, l’artillerie allemande entrait soudainement et violemment en action à 9 heures, l’infanterie ennemie, à la faveur d’un épais brouillard, abordait les positions sur lesquelles, depuis le printemps de 1917, étaient établies les armées anglaises : au nord, 3e armée (général Byng), entre Arras et la région du Catelet ; au sud, 5e armée (général Gough), de la région du Catelet à Barisis-Aux-Bois. La 3e armée, sur son front de quarante kilomètres d’étendue, disposait de dix divisions en première ligne et de six en réserve. La 5e armée, pour défendre un front de soixante kilomètres, avait onze divisions en ligne, trois divisions d’infanterie et trois de cavalerie en réserve. En face d’elles, les masses allemandes d’attaque étaient groupées en trois armées : au nord, dans la région d’Arras, la XVIIe armée (Otto Von Below) ; au centre, entre Cambrai et le Catelet, la IIe armée (Von Der Marwitz) du groupe d’armées du kronprinz de Bavière ; au sud, appuyée à la vallée de l’Oise, la XVIIIe armée (Von Hutier) du groupe d’armées du kronprinz impérial.
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Ferdinand Foch
Ne me dites pas que ce problème est difficile. S'il n'était pas difficile, ce ne serait pas un problème.
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