Fern Michaels

[Parce que dans ma chronique, je raconte TOUTE l'histoire de ce "roman", je ne publie ici qu'un extrait de mon article. Si vous voulez savoir la suite, vous pouvez la trouver sur le blog]



Dire que Sauvage Irina est une histoire d'amûr, c'est comme louer la dimension romantique de Massacre à la tronçonneuse : incompréhensible.



Tout commence pourtant avec des stéréotypes cohérents avec la romance : une héroïne belle et sauvage, un beau mâle puissant qui ne croit pas en l'amour. C'est ensuite que les choses se gâtent. Irina Vaschenko est donc une cosaque qui ne vit que pour les chevaux qui sont le bien le plus précieux de sa tribu. Non seulement elle est belle toussatoussa mais en plus c'est la fille du Kat -le chef- le plus puissant. Il faut dire que ce dernier est le seul à connaître le secret pour avoir l'élevage le plus renommé de cozars, de chevaux. Un beau parti quoi. Un soir, alors qu'un serviteur muet Stepan est parti se promener avec une monture, une tempête de neige survient. Irina, poussée par l'inquiétude, décide de partir à la recherche de ces derniers. Dans la tempête donc. Rien de traumatisant, l'héroïne de romance aime bien prendre des risques idiots... Elle se dirige alors vers Volin où réside la famille de Stepan. C'est là qu'elle va rencontrer Tibor Amur, un Mongol. Là tu imagines peut-être quelque chose de fort et romantique... Genre Tibor vient au secours de la belle perdue dans la violence hivernale de la plaine. Sauf que nan, trop pas. Le guerrier a fait halte avec ses collègues pour la nuit. Il a froid, il a faim et il soupire de ne pas pouvoir bénéficier de la compagnie d'une femme. Soudain il aperçoit un cavalier solitaire, Irina. Tadam. Il se méfie, craignant des problèmes. Direct, Tibor la provoque en parlant de se battre. Puis il lui propose de manger avec eux. La jeune femme refuse et s'enfuit mais le Mongol la poursuit et la rattrape. Ils en viennent aux mains mais Irina tente encore une fois de partir. Et là :



Avant qu'elle ait eu le temps de se relever, un corps solide s'abattit sur elle, la clouant au sol de tout son poids. Le souffle de Tibor s'accélérait. Qu'il l'excitait, ce doux corps de fille prisonnier du sien !



Le héros tente alors d'embrasser Irina qui le mord. Ils s'insultent un peu... Alors que la jeune femme est maintenue par les collègues du Mongol, ce dernier lui déclare :



« Je ne suis pas cruel. Dur et exigeant peut-être, mais les femmes ont besoin de sensations fortes. Je ne fais pas souffrir mes partenaires. » Un homme charmant. Elle le mord encore, on comprend pourquoi. Puis :



« Un beuglement de rage déchira la nuit. En deux longues enjambées, il l'avait rattrapée. Elle se senti décoller, puis atterrit sur la fourrure. Elle résista au Mongol enragé de toutes les forces qui lui restaient mais un coup à la tête... lui fit perdre conscience. Tibor la prit avec brutalité, sauvagerie, plusieurs fois de suite. »



Outre le style déplorable de l'auteur, je suppose que tu mesures toute la portée de ce passage... Notre belle héroïne vient de se faire brutalement violer par le héros. Plusieurs fois. Là, je me suis demandée s'il n'y avait pas une erreur dans le résumé : Tibor, l'infâme violeur ne pouvait pas être le premier rôle masculin d'une romance. Pas possible.
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Lorsque Leland, le huitième mari de Teresa Loudenberry - Toots pour les intimes-, meurt , elle décide de revoir ses meilleures amies de lycée qu'elle n'a pas revue en chair et en os depuis six ans pour profiter de la vie. En effet, loin d'être chagrinée par la mort de son mari, elle se réjouit de son nouveau statut de veuve richissime.



Pendant ce temps, Abby, la fille unique de Toots a des problèmes à son travail. En effet, son patron est bourré de dettes de jeux, et il n'arrive plus à faire fonctionner le Tabloid " The informer". Abby qui adore son travail de journaliste People a peur de perdre son travail à cause de la vente du journal. Toots et ses amies décident d'agir en cachette pour le bien d'Abby , mais tout ne se passe pas comme prévu..



Le point fort de ce roman, est les personnages, en particulier les quatre sexagénaires toutes plus folles les unes que les autres! L'auteure réussit avec brio à nous présenter quatre femmes aux personnalités différentes.

Tout d'abord, nous avons :



Teresa Loudenberry , en quelque sorte la "chef" de la bande. A maintes reprises elle prend des décisions sans consulter ses amies. Cependant, grâce à sa richesse, elle n’hésite pas à gâter ses amies.

C'est aussi une femme spontanée, bien dans sa peau. Elle est âgée de 65 ans mais compte déjà huit maris à son palmarès. C'est une mère poule.



Ses trois amies d'enfances et marraines d'Abby sont:



Ida, atteinte de TOC, elle ne peut s'empêcher de faire le ménage dix fois par jour, elle ne vit plus, absorbé par sa maladie. C'est le personnage que j'ai le moins aimé, car c'est aussi la moins présente. A cause de ses TOC elle passe le clair de son temps enfermé dans sa chambre, de peur d'attraper des maladies. Même si elle essaye de se soigner en allant voir un psy, le chemin de la guérison sera surement long pour elle.



Mavis, est la personne la plus gentille du roman. C'est une personne simple, qui vit modestement de sa retraite de prof d'anglais. Heureusement, Coco, son chien est là pour l'occuper. Étant en sur-poids, Toots la dissuadé de faire un régime.



Enfin , ma préférée, Sophie est la personnalité forte du groupe. C'est une femme franche, parfois grossière mais toujours là pour ses amies.

Son mari est très malade, ce qui la réjouit fort de pouvoir bientôt toucher l'assurance vie. Cependant, elle a de bonnes raisons de réagir comme cela, lorsque l'on apprend ce que son mari lui a fait subir des années durant.



En conclusion, c'est un livre plein d'humour , avec notamment des expressions drôles, comme " vient lécher mon vieux cul fripé".

D'autre part, c'est un livre sur l'importance de l'amitié et de la famille et jusqu'où nous sommes prêt à aller pour eux.

Enfin, ce fut une lecture idéale pour les vacances, car c'est un vrai cocktail détente que nous offre l'auteure grâce à son écriture simple et fluide. J'espère que la suite me plaira tout autant!

Myra vient de perdre sa fille dans un accident causé par un diplomate qui ne sera jamais poursuivis pour répondre de ses actes. Deux ans plus tard au bord se voyant sombrer dans la dépression, elle va avoir l’idée de créer un cercle secret. Un roman simple et efficace à la fois, une lecture rapide et parfaite pour passer un week-end cocooning. Tout d’abord j’ai apprécié l’idée d’un groupe féminin pour réparer les injustices et les préjudices dont elles ont été victimes. Le personnage de Charles devient quand à lui essentiel en apportant ses compétences insoupçonnées qui seront bien utiles aux 7 femmes dans leur entreprise de vengeance, puisqu’il s’agit bien de cela. A partir de ce moment, il m’a fallu prendre un peu de recul tant les plans élaborés manquent de crédibilité, on reste surtout dans un fantasme de vengeance et après tout pourquoi pas. Ce qui m’a en revanche gênée c’est le manque de personnalité des personnages, pas moyen d’entrée en empathie avec elles, elles semblaient si superficielles. Les dialogues sont cousus de fil blanc mais malgré tout j’ai poursuivie ma lecture sans me poser trop de questions. J’étais curieuse de voir ce qu’allaient mettre en place ces 7 femmes lésées par le système judicaire américain. De ce point de vue je n’ai pas été déçue par leurs imaginations et par leur revanche. Originale et parfois drôle j’ai eu le sentiment que ce livre devrait plaire plus aux femmes qu’aux hommes, près tout on y raconte des histoires de femmes. Vengeance à temps partiel est le premier d’une série nommée Sisterhood, je ne crois pas que je lirai les tomes suivants, car même s’ils apportent un divertissement certain, j’attends plus de profondeur et de crédibilité à l’histoire et aux personnages. Ceci dit, pour passer un moment sans prise de tête, c’est le livre qu’il vous faut. Bonne lecture.
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Le commentaire de Lynda :



Après la lecture de ce roman, je crois que les miracles de Noël existent.

Deux adultes, d'abord Ivy qui depuis l'accident qui a coûté la vie à son mari et ses deux enfants, a pour compagnie à plein temps, la bouteille de boisson, jusqu'à se retrouver ivre, la plupart du temps.

Et puis de l'autre côté, il y a Daniel et sa petite fille de onze ans Holly. Un papa beaucoup trop sévère, et la petite Holly n'est pas heureuse, de plus qu'elle trouve un certain réconfort dans la musique, mais Daniel, est stricte là-dessus, pas de musique dans la maison. Comme la vie aurait été différente, si sa maman était encore auprès d'eux.

Et puis une simple rencontre viendra bousculer le destin et le chemin pour ces 3 personnes.

Malgré le fait que Daniel et Ivy, sont deux êtres complètement désemparés, ne sachant pas comment remonter à la surface après ces épreuves qui les ont déchirés, bien que Daniel a toujours sa petite fille, mais la peine l'empêche de voir, qu'il a un petit trésor sous les yeux qui ne demande tout simplement que d'être heureuse et retrouver le bonheur avec lui.

Croyez-vous aux miracles de Noël, qui sait si un miracle ne pourrait pas venir illuminer la vie de Daniel et Ivy, et du même coup celle de Holly.

C'est un roman de Noël, un roman où la magie de Noël peut survenir, c'est ce que Fern Michaels nous offre, une histoire magique qui fait du bien à l'âme, on dirait presque un conte de Noël, du moins, moi, c'est comme ça que je le ressens.

La rencontre entre Ivy et Daniel, saura-t-elle panser les blessures profondes que ces deux-là n'ont toujours pas réussi à guérir, la magie saura-t-elle redonner le sourire et le bonheur à cette petite fille.

Pour le savoir, il vous faudra lire cette belle histoire de magie de Noël, de surprises, de douceurs, tout simplement une histoire de Noël.
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Que feriez-vous si votre fille était morte suite à un accident de voiture mais que le chauffard n'ira pas en prison pour son crime sous prétexte qu'il a l'immunité diplomatique ? Pour ma part, je ne sais pas mais Myra, deux ans après ce drame, n'arrive toujours pas à se remettre de la perte de son enfant chérie. Elle est au bord de la dépression nerveuse, elle se laisse dépérir mais une idée mûrie dans son cerveau : créer un cercle très très secret où seulement quelques élues pourraient intégrer son groupe...







Un roman court, simple et efficace ça vous dit ? Ce livre pourrait en effet faire l'affaire ! J'ai beaucoup aimé cette idée de groupe réservée aux femmes pour se battre contre l'injustice, n'importe laquelle d'ailleurs qui est faite aux femmes. Les préjudices et les injustices sont malheureusement trop nombreux, les femmes subissent et ne disent rien mais parfois lorsque la coupe est pleine, il est bien de la vider avant de sombrer.







Dans ce groupe de femmes, réservé aux femmes, un intrus s'y est glissé mais il faut dire qu'il saura se rendre très utile pour ces dames qui ne connaissent pas toutes les ficelles de la vengeance... Nous allons suivre sept femmes, prêtes à relever les manches et à se venger. On dit que le temps guéri les blessures mais on dit également que la vengeance est un plat qui se mange froid ! Ici, il se pourrait bien qu'on le mange congelé ou tiède...







J'ai beaucoup aimé suivre les idées farfelues de ces dames qui laissent libre cours à leur imagination débordante afin de se venger. Certains plans manquent de crédibilité mais c'est ce qui démontre parfaitement l'amateurisme des personnages. Après tout, elles ne se sont jamais vengées, elles ne sont pas démoniaque de nature, il faut apprendre ! Elles voient les choses en grand, un peu trop d'ailleurs mais c'est ce qui est drôle et plaisant.







Mon bémol va reposer sur le fait que je n'ai pas réussi à avoir de l'empathie pour toutes ces femmes qui cherchent à se venger. C'est dommage, je pense qu'il y a eu un problème de traduction ou alors que l'auteur n'a pas assez travaillé ses personnages.







En revanche, ce que j'ai beaucoup aimé c'est de suivre leurs idées machiavéliques de la vengeance qui les animent. Ils me tardent de pouvoir lire la suite, en effet, il s'agit d'un premier volet qui malgré quelques petits défauts semble prometteur.







Tout ça pour vous dire que j'ai passé un agréable moment livresque avec ce roman féminin qui nous raconte l'histoire de ces dames qui sont en quête de vengeance, de réparation des préjudices subis... A lire !
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Petit roman à l’eau de rose qui aurait pu être écrit en une page. Il n’y a pas d’histoire. Ce n’est qu’une suite de narration de la vie quotidienne du personnage central avec des détails sur « elle prend la tasse de café dans l’armoire ». Je l’ai lu jusqu’au bout car j’aime bien cet autrice mais avec ce livre, elle ne m’a aucunement rejointe de quelque façon que ce soit. On verra pour le prochain livre.

Le commentaire de Lynda :

Un typique roman de Noël, sans cassage de tête, qui fait du bien tout simplement à cette période de l’année.

Lauren et ses parents tiennent boutique appelée Le Coffre aux Trésors, la période des fêtes est une période assez spéciale pour eux. Mais depuis quelques années, les choses semblent se dégrader et le magasin devient moins rentable qu’il l’était.

Pour aider ses parents, Lauren, qui est écrivaine, cherche un moyen de les aider, et c’est par l’entremise de son agent, que ça se présentera. En fait, on lui offre d’écrire les mémoires d’un homme d’affaires assez connu.

Heureuse, jusqu’à ce qu’elle apprenne l’identité de cet homme. Elle accepte à contrecœur, sachant que cet homme dirige une compagnie, qui en train de faire mourir tous les petits commerces comme celui de ses parents.

Mais ce ne serait pas une lecture de Noël, s’il n’y avait pas un peu de magie dans l’air, n’est-ce pas ?

Et cette magie s’appelle John, pilote et fils du magnat pour qui elle doit travailler.

Je n’en dirai pas plus bien sûr, mais je peux vous dire, que c’est un roman qui fait du bien. De belles émotions, un petit nuage de magie, comme on en voit dans les films de Noël, d’ailleurs ce livre, pourrait très bien devenir un beau film à regarder.

Les romans de Fern Michaels sont reconnus à travers le monde, et bien que je ne l’ai pas lu très souvent, c’est une plume que j’aime, une plume qu’il fait bon lire, et encore plus quand il s’agit d’un livre sur un thème comme celui-ci.

Une chose est certaine, j’ai passé un excellent moment de lecture, une détente certaine avec cette histoire, en plein ce que l’on a besoin pour relaxer !
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Très très mal traduit, totalement insignifiant et rempli de préjugés et de clichés. C’est triste car l’histoire avait pourtant du potentiel! Ça ne me donne pas le goût d’explorer d’autres livres de cette auteure. Plusieurs phrases m’ont fait grincer des dents et lever un sourcil. Les remarques et commentaires sur l’apparence et le poids sont récurrents et totalement déplacées en 2022. De plus, le cliché de la femme très menue et des hommes avec un physique d’Apollon sont très dépassés! Très décevant.

Sur le papier, cette romance a tout pour plaire. L'héroïne courageuse et téméraire qui se fait capitaine pirate, le mari qui tombe amoureux d'elle sous ses deux identités : celle de la femme pirate et de l'épouse espagnole.... Sauf que le mari est un salaud fini, l'héroïne, une inconstante et le récit, une sorte de puzzle dont les pièces peinent à s'emboîter. Pas du tout conquise, j'ai terminé ce récit agacée par l'ensemble, insipide et incohérent.

Ce roman est comme un bon chocolat chaud réconfortant. J’ai beaucoup aimé le monde dans lequel je me suis retrouvée lors de ma lecture. On y suit Holly et son papa très trop intransigeant, qui sont seuls depuis que la maman de la petite est décédée huit ans plus tôt. Et en parallèle, il y a Ivy, qui a plongé dans l’alcool pour engourdir sa tristesse suite à une épreuve horrible. Comment la vie se présentera-t-elle pour ces gens? Aura-t-elle finalement un peu de positif à leur offrir? Cette petite romance de Noël se lit en un clin d’œil et vous vous sentirez envahi de la joie du temps des fêtes rapidement!

Bonne lecture!

Ce fut un plaisir de retrouver ce club de justicières improbables. La bonne nouvelle, c'est que la série compte déjà deux autres tomes.

Un roman original, drôle et parfois même, touchant. Une lecture de détente ou de défoulement.

Hollywood. Ricky Lam est un acteur très en vogue. Et pourtant c est un homme ravagé par l'alcool et la drogue, et Philip, son frère et agent, lui impose un ultimatum : soit Ricky accepte de se faire traiter pour venir à bout de ses addictions, soit Phillip tire un trait sur leur relation. Quinze ans plus tard, Ricky mene une vie saine, pourtant les rapports avec son frère sont toujours compliqués. Et lorsque Phillip decede brutalement, Ricky va de surprise en surprise

Quelle était la raison de l étrange comportement de Phillip ? Et le connaissait-il si bien qu' il le croyait. Secrets de famille, dollars à foison, heritages, amours contrariées au pays du cinéma. Un moment de lecture agréable, sans plus..

Un livre un peu longuet où la vengeance sert de moteur à toute l'histoire.

Un roman qui se passe en mer, entre viols et abordages, entre calme plat et mer démontée, entre des hommes frustres, courageux parfois, souvent voraces et une femme, intrépide et vindicative.

S'il y a une passion ici, c'est celle de la mer, du grand large, de cette liberté qui vous prend quand les voiles prennent le vent et que la proue file sur les vagues.

Beaucoup de violence, physique mais aussi verbale ; pas d'érotisme ici, juste des actes volés ; pas de romance non plus même si l'amour trouve enfin sa place dans les dernières pages.

Un côté positif quand même, l'auteure s'est super bien documentée sur l'île de Java et la compétition entre Hollandais, Espagnol et Anglais pour la domination de cette région du monde et le commerce des épices au début du XVIIème siècle.

C'est un roman rouge mais où le rouge symbolise le sang, la rage et la haine car les passions du cœur sont ici clairement trop captives...

Je place cette lecture dans le cadre du challenge multi-défis 2016 pour l'item « Un roman dans lequel la mer occupe une place essentielle ». Un peu déçue par les longueurs et les répétitions mais par contre, les batailles navales très réalistes valent le détour.

Je ne sais pour quelle raison mais j'ai eu beaucoup de mal à accrocher à l'histoire. J'avais l'impression d'être devant un de ces téléfilms nuls qui passe sur M6 en journée, l'histoire m'a ennuyé. J'ai été déçue, je m'attendais à plus d'humour, même si je reconnais qu'il y en a puisque j'ai souris à certains passages, et la romance n'est pas non plus ultra présente, même si ce n'est pas ça que je cherchais en priorité en lisant ce livre cela m'a aussi déçue.



Toots m'a en fait énervé, sous prétexte qu'elle a plein d'argent et qu'elle veut faire plaisir à tout le monde, elle impose les choses et tout le monde trouve ça normal ! Elle oblige ses copines à venir la rejoindre et les entraîne dans son plan pour aider sa fille et personne ne bronche, bah vi elle paye tout...

J'ai trouvé la fille de Toots et son ex beau-fils totalement inintéressant la romance entre eux tourne trop autour du pot et quand enfin il se passe quelque chose c'est la fin du livre...

Par contre, j'ai bien aimé les copines de Toots, en particulier Sophie que j'ai trouvé super marrante et pourtant je dirais que c'est elle qui a le plus souffert dans sa vie même si les autres ne sont pas gâtées. J'adore la manière dont elle "secoue" Ida qui en a bien besoin même si je reconnais que son "problème" n'est pas évident à gérer.



L'auteur ne m'a pas donné envie de lire la suite, j'ai trouvé ça beaucoup trop mou, c'est plus une mignonne histoire d'amitié entre sexagénaires qu'une romance et l'humour n'est pas aussi présent que ce à quoi je m'attendais. Bref, je ne recommanderais pas spécialement la lecture de ce roman.
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